Journal des demoisellesBureau du journal, 1879 |
From inside the book
Results 1-5 of 82
Page
... une seule fois Au- bigné ; plus d'une fois , au contraire , Aubigné nomme Marguerite dans les siens , et ce n'en est pas mieux pour elle . Mais à cause précisément de ce contraste , il peut paraître intéressant de remettre en présence l'un ...
... une seule fois Au- bigné ; plus d'une fois , au contraire , Aubigné nomme Marguerite dans les siens , et ce n'en est pas mieux pour elle . Mais à cause précisément de ce contraste , il peut paraître intéressant de remettre en présence l'un ...
Page 5
... un si bon frère , qui reconnaîtrait le na- turel féroce auquel nous associons d'ordinaire le nom de Charles IX ? Le ... l'un et de l'autre plus au long . La reine de Navarre , cette Jeanne d'Albret , qui , au dire d'Aubigné , « n'avoit ...
... un si bon frère , qui reconnaîtrait le na- turel féroce auquel nous associons d'ordinaire le nom de Charles IX ? Le ... l'un et de l'autre plus au long . La reine de Navarre , cette Jeanne d'Albret , qui , au dire d'Aubigné , « n'avoit ...
Page 6
... L'un verse le nectar divin et l'autre boit : L'un rayonne la flamme et l'autre s'en pénètre . Levez les yeux , voyez le sublime appareil Qu'a placé dans les cieux la main du divin Maitre : Être aimé , c'est la lune ; aimer , c'est le ...
... L'un verse le nectar divin et l'autre boit : L'un rayonne la flamme et l'autre s'en pénètre . Levez les yeux , voyez le sublime appareil Qu'a placé dans les cieux la main du divin Maitre : Être aimé , c'est la lune ; aimer , c'est le ...
Page 12
... un cœur si dévoué et si affectueux , une raison si solide , elle lui avait été une si tendre compagne , que l'amour conjugal était venu , avait cimenté des liens sacrés , et duré constamment jusqu'à la mort de l'époux , et au delà ...
... un cœur si dévoué et si affectueux , une raison si solide , elle lui avait été une si tendre compagne , que l'amour conjugal était venu , avait cimenté des liens sacrés , et duré constamment jusqu'à la mort de l'époux , et au delà ...
Page 13
... un gracieux salut à Lucie et à toutes ses compagnes , et madame Thory dit à sa fille , en lui donnant le bras avec ... l'une , émue , rouge , tremblante , c'était la mère ; l'autre , modeste et assurée , c'é- tait la fille . Madame Thory ...
... un gracieux salut à Lucie et à toutes ses compagnes , et madame Thory dit à sa fille , en lui donnant le bras avec ... l'une , émue , rouge , tremblante , c'était la mère ; l'autre , modeste et assurée , c'é- tait la fille . Madame Thory ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Agrippa d'Aubigné aime Amaury Aubigné beau belle Berthe blanche bleu Blorage bord Bouton-d'Or boutons brodé c'était cachemire Catherine de Médicis Chapeau charme cher cheveux chose cœur corsage costume côté Courseulles cousin dame dentelle devant Dieu dit-il drap élégante enfants famille femme fils Finoël fleurs Florence flûte François Ier frère garçon garni gilet Henri Henri III Henry Hermine heureux homme j'ai Jean jeune fille jolie jour jupe jupon l'oncle Abel laine laisser lectrices Limours Louisa loutre Lucie Lucy Ludre madame d'Hivray madame Delétang mademoiselle main maison maman manches Marguerite mari Marthe ment mère mode Nanon Navarre noir nuances orné passé pauvre pékin pensée père petite fille plissé plume Raoul regard reste Richard rien robe rose rue Amelot rue de Rohan Rue Drouot satin Scabieuse sentiment sera seul Sissi sœur soir Solange Sylvie tête Thory tion toilette trouve tulle velours vieille voix yeux
Popular passages
Page 253 - L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
Page 253 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 252 - Ainsi le grand vieillard, en images hardies, Déployait le tissu des saintes mélodies. Les trois enfants, émus à son auguste aspect, Admiraient, d'un regard de joie et de respect, De sa bouche abonder les paroles divines, Comme en hiver la neige aux sommets des collines. Et partout accourus, dansant sur son chemin, Hommes, femmes, enfants, les rameaux à la main, Et vierges et guerriers, jeunes...
Page 140 - L'esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu,'à en faire trouver aux autres : celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit l'est de vous parfaitement.
Page 141 - Zénobie, qui agitent votre empire, ni la guerre que vous soutenez virilement contre une nation puissante depuis la mort du roi votre époux, ne diminuent rien de votre magnificence. Vous avez préféré à toute autre contrée les rives de l'Euphrate pour y élever un superbe édifice : l'air y est sain et tempéré, la situation en est riante, un bois sacré l'ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syrie qui habitent quelquefois la terre, n'y auraient pu choisir une plus belle demeure; la...
Page 253 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 141 - L'on mange ailleurs des fruits précoces, l'on force la terre et les saisons pour fournir à sa délicatesse : de simples bourgeois , seulement à cause qu'ils étaient riches , ont eu l'audace d'avaler en un seul morceau la nourriture de cent familles. Tienne qui voudra contre de si grandes extrémités, je ne veux être, si je le puis, ni malheureux , ni heureux : je me jette et me réfugie dans la médiocrité.
Page 253 - Les enfants qui suivaient ses ébats dans la plaine., Les vierges aux belles couleurs, Qui le baisaient en foule, et sur sa blanche laine Entrelaçaient rubans et fleurs, Sans plus penser à lui le mangent s'il est tendre. Dans cet abîme enseveli, J'ai lemcmc destin.
Page 254 - Ces reptiles hideux, sifflant dans la poussière, En vain sèment le trouble entre son ombre et moi : Scélérats ! contre vous elle invoque la loi.
Page 253 - Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière.