pour la légitimité des peuples, m pour ta reg. mité des rois. Nous reconnaîtrons l'ordre actuel choses avec le désir de l'améliorer peu à peu ans secousses. Nous admettrons le fait pour ver au droit. e gouvernement se tromperait étrangement s'il it en nous un nouvel adversaire, décidé d'avance combattre pour le renverser. Ce ministère ou autre, que nous importe! Nul de nous ne veut ministre ou directeur-général. Notre avenir, us, c'est de lier notre sort et notre fortune au des Communes, d'obtenir, avec le temps, et change de notre bonne foi, la confiance de ceux uels nous nous adressons. Il y a dans le rôle nous envions assez d'éclat et de profit pour aire de plus ambitieux que nous. Que le mire donc se nomme Polignac ou Sébastiani, le ou Laffite, nous nous en soucions peu : les ; ne sont rien. Les actes sont tout: c'est à eux nous nous attacherons, nous les étudierons soin; puis nous en ferons connaître les conences, les louant ou les blâmant comme nous irera notre conscience, mais toujours avec ice et calme, en couvrant même la censure de expression respectueuse que l'on doit à l'aulégalement constituée. ue no volanowan aux habitans de la plupart des départemens. (voir, pour plus de détails, le chapitre intitulé : Plan de Rédaction.) Nous regardons comme l'an de nos principaux Nous voulons enfin que la France se connaisse |