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Nos concitoyens protestants eux-mêmes nous savent gré de faire revivre dans nos constructions en bois les gracieuses formes inventées par leurs pères; ils avouent qu'au fond nous sommes plus norvégiens qu'eux-mêmes. Pour y arriver, nous n'avons qu'à dépenser un peu de goût, car une belle construction ne coûte pas plus qu'une laide. Nous avons bâti dans le même style notre église de Stavanger, et les églises nouvelles de Drammen et de Porsgrund, que nous verrons bientôt, sont dans le même genre.

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En poussant notre promenade à 43 kilomètres seulement, nous arrivons à la pittoresque ville de Fredrikshald, cienne forteresse, située au bord de la mer et protégée par d'énormes rochers à pic. Là, nous avons depuis longtemps une grande église et un joli presbytère en pierre ceux-là. Mais là également, ce que nous appelons hôpital n'est qu'une vilaine maisonnette en bois. Depuis des années les médecins réclament contre ce triste état des choses. Les pauvres Sœurs se sont mises au jeûne pour créer un petit fonds de construction. Une religieuse norvégienne y a versé son patrimoine. Le reste a été emprunté; l'automne prochain, nous l'espérons, Fredrikshald aura son hôpital en pierre. Une fois debout, il se soutiendra bien lui-même, car les malades norvégiens ne se montrent pas ingrats envers les Sœurs qu'ils voient se sacrifier pour eux. Il est vrai que, de temps à autre, quelque fanatique s'attaque à elles; mais le public s'en moque et continue à les aimer.

Parmi les nombreux amis que nous avons en Norvège, M. le docteur Scharlach, agent général de la Société Th. Cook et fils pour la Scandinavie, occupe une place importante. Etant tombé malade, il fut soigné et guéri par nos Sœurs de Bergen, et depuis ce temps sa reconnaissance ne connaît plus de bornes. Il s'est même fait quêteur pour elles en Angleterre. Le père profite naturellement de l'estime qu'a pour ses filles ce généreux protestant. Bien des fois il m'a offert un voyage gratuit, et, lorsqu'en 1895, il apprit que je désirais aller à Bergen par le Valder avec un évêque étranger, il mit gracieusement à notre disposition un magnifique landau. Jamais je n'ai fait de plus beau voyage.

La promenade que nous allons entreprendre se fera gratuitement; car notre ami m'a donné un billet pour quatre personnes, et je suis heureux d'en profiter afin d'explorer certaines parties du pays que je n'avais pas encore pu voir jusqu'ici. Nous sommes cependant deux seulement, car, en dehors de M. le curé de SaintHalvard, aucun de nos prêtres ne peut quitter son poste.

(A suivre.)

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Muscogee est une jolie ville formée d'une centaine de résidences. Elles étaient toutes en bois ; mais, l'année dernière, un violent incendie en brûla les trois quarts; on l'a reconstruite en briques.Ce qui donne à cette place son importance, c'est qu'elle est en quelque sorte la capitale des cing nations dites civilisées, les Cherokees, les Creeks, les Chocktaws, les Chickasaws et les Séminoles. Civilisées, elles le sont, si c'est être civilisé que de porter culotte et redingote,et de singer plus ou moins heureusement la constitution des Etats-Unis, dans le gouvernement de la tribu.Les Cherokees, par exemple, ont un chef du pouvoir exécutif, élu pour quatre ans, comme le Président. Il doit être àgé d'au moins trente-cinq ans. A lui de signer les nouvelles lois, ou d'y mettre son veto et de faire exécuter celles qui sont déjà inscrites dans le Code. Il est assisté d'un cabinet composé de 5 membres. La nation est divisée en neuf districts qui, ensemble, élisent 40 députés, pour un terme de deux ans. Tout citoyen est électeur à 18 ans : les scrutins se font à haute voix, les secrétaires désignés prenant note de l'électeur et de son candidat. Toutes les charges sont électives, même celle de juge, tant à la Cour suprême qu'aux tribunaux inférieurs.

A peu près la moitié des Cherokees parlent anglais; beaucoup savent lire et écrire cette langue et ils ont des écoles très prospères, presque toutes aux mains des ministres protestants. Le temps n'est sans doute pas éloigné où le Cherokee cessant d'être parlé tombera dans l'oubli. Ce sera regrettable, d'abord parce que c'est une des langues indiennes les plus riches et les plus harmonieuses,et aussi parce qu'avec elle disparaîtra une des merveilles les plus étonnantes que le génie de l'homme ait jamais inventées, l'alphabet de Sequoyah, malheureusement trop peu connu du monde civilisé et qui mériterait d'être mieux apprécié.

Au commencement de ce siècle, pendant que les Cherokees étaient encore dans la Georgie, ils firent prisonnier un blanc, et trouvèrent une lettre dans sa poche. Celuici leur expliqua tout à son avantage le mystère de la << feuille qui parle ».

Grand fut l'étonnement de ces pauvres Indiens; les uns accueillirent les explications du captif avec des rires d'incrédulité, les autres dirent que c'était un message du Grand-Esprit. Toutefois l'un d'eux, nommé Sequoyah, saisit

(1) Voir les Missions catholiques du 5 janvier.

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Voudra-t-on me croire si j'affirme que l'alphabet de Sequoyah est supérieur au nôtre? C'est l'opinion de tous ceux qui l'ont étudié avec quelque attention, et cela est démontré par les merveilleux résultats qu'il obtint. Si simple est cet alphabet, et si parfaitement en harmonie avec la langue qu'il représente, que, une fois qu'on l'a appris, on peut tout de suite lire; et un art qui demande au moins deux ans de travail à nos enfants de langue anglaise est acquis en quelques semaines par des enfants sauvages. Quelques-uns des jeunes guerriers apprirent à lire en trois jours; dans leur joie et leur enthousiasme on les vit abandonner la chasse, la pêche et les jeux pour se livrer au plaisir si nouveau d'écrire ce qu'ils entendaient dire autour d'eux. Quelques-uns entreprirent de longs voyages exprès pour se trouver loin des leurs et avoir occasion d'exercer leur merveilleux talent en envoyant de leurs nouvelles. Et non seulement les enfants et les jeunes gens de la tribu; mais, chose inouïe, les hommes aussi qui avaient dépassé l'âge mûr, et les vieillards eux-mêmes, grands-pères et grand' mères, réussirent à apprendre à lire.

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SEQUOYAH, LE CADMUS INDIEN.

eux, ont trouvé le moyen de fixer ce qu'ils savent sur le papier, comme on prend un animal sauvage et on le réduit en servitude. » Il comprit que les groupes de lettres représentaient des mots entiers, tandis que les lettres représentaient des sons, et il se mit en tête, chose presque incroyable, de doter sa nation d'un alphabet. Pendant douze ans, on le vit occupé à tracer sur des écorces de bouleau des caractères bizarres, et il devint la risée de tout son peuple. Comme les hommes de génie avant lui, comme Archimède, Galilée, Christophe Colomb, le Dante, parmi lesquels je ne crains pas de ranger ce Cadmus américain, il avait foi en lui-même et persévéra jusqu'à ce que le succès eut montré qu'il avait raison contre tous. Il était âgé de 60 ans et sa tête était blanche, quand il surmonta les dernières difficultés, en 1821.

ALPHABET DE SÉQUOYAH

RDW WGS W PAPY Z B P G M S T V &
WBAA OGRAJ Y T T C P O VILO
GRhAHTE OT OB O PJENI O
Ꮫ ᏳᎭ ᏗᏰ Ꮸ Ꭵ Ꭴ Ꮣ Ꮣ Ꮥ Ꮱ Ꭾ Ꮀ Ꮋ Ꮭ ᏍᏩ

HLGPJO&

1 A bref. 2 A long. 3 Lah. 4 Tsee. 5 Nah. 6 Weeh. 7 Weh. 8 Leeh. 9 Neh. 10 Mooh. 11 Keeh. 12 Yeeh. 13 Seeh. 14 Clanh. 15 Ah. 16 Luh. 17 Leh. 18 Hal. 19 Woh. 20 Cloh. 21 Tah. 22 Yahn 23 Lahn. 24 Hee. 25 Ss (sifflant). 26 Yoh. Un (en français). 28 Hoo. 29 Goh. 30 Tsoo. 31 Maugh. 32 Sch. 33 Saugh. 34 Cleegh. 35 Queegh. 36 Quegh. 37 Sah. 38 Qual. 39 Gnaugh (nasal) 40 Kaah. 4: Tsahn. 42 Sahn. 43 Nech. 44 Kal. 45 Taugh. 46 Keh. 47 Taah. 48 Khan. 49 Weeh. 50 Eeh. 51 Ooh. 52 Yeh. 53 Un. 54 Tun. 55 Kool. 56 Tsol. 57 Quoh. 58 Noo. 59 Na. 60 Loh. 61 Yu. 62 Tseh. 63 Tee. 64 Wahn. 65 Tooh. 66. Teh. 67 Tsah. 68 Un. 69 Neh. 70. 71 Tsooh. 72 Mah. 73 Cloah. 74 Haah. 75 Hah. 76 Meeh. 77 Clah. 78 Yah. 79 Wah. 80 Teel. 81 Clegh. 82 Naa. 83 Quh. 84 Clah. 85 Maah. 86 Qulin.

Comment Sequoyah avait-il obtenu un tel résultat ? La première tentative avait été tout à fait originale. Quand ses profondes méditations l'eurent amené à résoudre le mystère de la feuille qui parle », quand il eut compris enfin que les signes représentaient des sons, et leur assemblage des paroles, il n'eut pas d'abord l'idée de se servir de signes arbitraires, mais bien de signes naturels. Il crut trouver dans les sons de la nature des analogies avec les sons de sa langue maternelle, et se mit d'abord à représenter ces derniers par une image grossière des oiseaux ou des autres animaux qui reproduisaient le même son. Il s'aperçut bien vite qu'il n'arriverait pas par ce moyen. Il se tourna alors vers les signes arbitraires.

Il avait fixé, et cela avec une exactitude remarquable, le nombre des sons de la langue Cherokee à 86. Pour représenter ces 86 sons, Sequoyah s'est emparé des 24 lettres du monde civilisé, leur a attribué arbitrairement à chacune une valeur syllabique, n'ayant nul rapport avec celle que nous leur attribuons,puisqu'alors il ne savait pas l'anglais, et, pour multiplier le nombre des lettres autant qu'il en était besoin, il fit subir aux premières des modifications, en leur ajoutant divers appendices. Cet alphabet a donc 86 lettres; mais chacune a une valeur syllabique, et une fois que l'on connait ces lettres, on peut sans autre apprentissage les assembler dans la lecture: en ces deux points consiste la supériorité de l'invention de Sequoyah, et je ne puis m'empêcher de me demander sérieusement si nous ne pourrions pas, sur ce modèle, perfectionner l'instrument que les siècles nous ont transmis, pour perpétuer le discours et fixer la pensée. Je jette cette idée au courant de la plume; qui sait si elle ne sera pas plus tard le germe d'une découverte? Il serait piquant de voir les Européens, et les Yankees surtout, si pleins de mépris pour les PeauxRouges, leur devoir une des plus belles conquêtes dans le domaine de l'intelligence.

Reconnaissant enfin le vrai caractère et les courageux efforts de Sequoyah, la nation le proclama à la porte

de la Loge du Grand Conseil Professeur, Philosophe, Prophète, Chef et Ami du Grand-Esprit. Un peu plus tard on fit frapper une médaille d'argent qui lui fut remise solennellement par le principal chef et qu'il porta à son cou, tout le reste de sa vie.

Sequoyah était vraiment un homme de génie. Au cours d'un long voyage, il avait eu l'occasion d'entendre parler bien des langues différentes. Il lui vint à l'esprit de rechercher le moyen de concilier ces différences et de former une langue commune à tous les hommes, au moins à tous les Indiens. Lui qui n'avait jamais entendu prononcer le mot de philologie, il conçut l'audacieux projet de pénétrer dans ses mystères les plus redoutables et de former « une chaîne des langues ».

Plus que sexagénaire, il commença un long voyage à travers les tribus de l'Ouest, précédé par sa grande renommée, vénéré de toutes les tribus où il passait, recueillant les matériaux, comparant les données. Il s'avança ainsi jusqu'au pied des Montagnes Rocheuses.

On ne connaîtra malheureusement jamais les résultats de ses recherches et de ses spéculations; il mourut de fièvre et de fatigue à San-Bernardino (Nouveau Mexique) et comme Moïse, on ne sait pas même où son corps a été enseveli. Et son âme? Dieu est plein de miséricorde et lui

de son alphabet, pût être une cause de discorde entre les enfants de Dieu et l'instrument de leurs divisions. D'ailleurs il n'était pas le premier sauvage intelligent qui se scandalisât des contradictions de ces sectes prétendues chrétiennes, et qui leur préférât, en conséquence, la religion de ses pères. Il croyait au Grand-Esprit et à la terre des bienheureux : puisse-t-il y avoir été admis!

Avant Sequoyah les sauvages avaient déjà senti la nécessité d'inventer un moyen pour perpétuer la connaissance de certains faits.

Leurs peintures grossières sur les wigwams et sur leurs vêtements ont la prétention de retracer leurs exploits à la

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CHANT INDIEN ET LETTRES SYMBOLIQUES SUR ÉCORCE DE BOULEAU tiendra compte de ce qu'il n'avait pas connu l'Eglise catholique. Il ne consentit jamais à s'unir à aucune secte protestante. Il ne pouvait pas comprendre que la Bible, la parole de Dieu, qui fut un des premiers livres écrits à l'aide

SYMBOLES GRAVES PAR LES INDIENS SUR DES ROCHERS

OU DES ARBRES.

guerre et à la chasse. Mais comment fixer les traditions qui ont un intérêt général? De même comment retenir les termes des traités, faits avec d'autres tribus ou le gouvernement des Etats-Unis ? Pour cela ils ont inventé le Wampum. C'est une espèce de ceinture ou de chapelet où se trouvent suspendus des objets à chacun desquels est attachée la récitation d'une légende. Un certain nombre d'hommes sont désignés pour réciter les légendes à jours fixes devant toute la tribu. On comprend combien ce mode primitif de transmission était borné et laissait à désirer.

Les Creeks et les Seminoles formaient autrefois une seule tribu avec les Cherokees; de même, les Chocktaws avec les Chickasaws.

Il paraît que les Chocktaws ont eu pendant longtemps l'habitude d'aplatir la tête de leurs enfants, en forme de coin ou de mitre orientale, comme font encore aujouid'hui les Indiens Flatheads. Cette coutume bizarre donne

tion était loin d'ajouter à leurs charmes. J'appris bientôt que c'était la punition d'une faute grave contre les mœurs. Hélas! si l'on infligeait dans le monde civilisé la même pénitence à toutes les femmes qui oublient leurs devoirs. Et si on l'infligeait aussi à tous les hommes coupables?... D'ailleurs les Indiens punissent les hommes convaincus de ces crimes d'une autre manière : quelquefois par des coups de verge administrés en présence de la tribu, d'autres fois par la déchéance des droits de guerrier, ou même par la mort. (A suivre).

CRANES DE FLAT-HEADS. - Procédé employé pour aplatir la tête des enfants chinook.

au sommet de la tête une déviation monstrueuse, mais ne semble pas nuire le moins du monde au développement intellectuel de ces Indiens. Ils ne sont en rien inférieurs

FEMME TETE PLATE ET SON ENFANT.

aux autres. D'ailleurs cette coutume est-elle plus bizarre que celle des Chinois, par exemple, qui ligottent étroitement jusqu'à les estropier les pieds des femmes et les condamnent à rester d'une petitesse ridicule? Est-elle plus insensée et plus cruelle que la mode de nos belles dames européennes qui se serrent la taille au point de gêner la respiration et de déformer leur corps?

Puisque j'en suis sur ce chapitre des difformités, mentionnons ici ce que j'ai oublié de noter au sujet des tribus de l'Ouest, les Comanches en particulier. Je vis parmi eux quelques femmes qui avaient le nez coupé et cette mutila

BIBLIOGRAPHIE

Vie du Père Emile Saladin, de la Société des Missions Etrangères de Paris, missionnaire apostolique à Siam (IndoChine), par M. le chanoine GUERS, missionnaire apostolique, ancien aumônier à l'armée du Rhin et en Tunisie; auteur des Soldats français dans les prisons de l'Allemagne, etc., etc. Un vol. in-8 avec portrait. Prix : 4 francs; franco, 4 fr. 50. Librairie BLOUD et BARRAL, 4, rue Madame, Paris.

C'est l'histoire de l'un de ces admirables prêtres qui se dévouent avec tant de zèle dans les missions lointaines pour faire avancer le règne de Jésus-Christ. Le pieux et savant auteur de ce beau livre nous montre son héros, dans sa studieuse adolescence, passée aux Petits Séminaires de Saint-Pierre à Rodez et de Notre-Dame des Champs à Paris, puis au Grand Séminaire d'Issy, de Saint-Sulpice, et enfin à celui de la rue du Bac. Il nous le fait suivre pas à pas au delà des océans d'Europe, d'Afrique, d'Asie, à travers les fleuves, les bois, les monts, les vallées, les canaux, les brousses, les golfes, affrontant les boas, les crocodiles, les fauves, les pirates, caché parmi les roseaux et les joncs, blotti dans les huttes, les cavernes et les tombeaux. Il nous le fait admirer recevant les faveurs du ciel, s'en allant, sublime de simplicité comme de dévouement, seul, évangéliser tout le continent malais privé de missionnaires depuis saint François Xavier, et mourant à la fleur de l'âge, en vrai prédestiné, au moment où la mitre des pontifes allait ceindre son front. Sur ce tombeau prématurément ouvert, l'élite du clergé de France, par ses cardinaux, archevêques, évêques, chanoines, curés, religieux, vient jeter des fleurs. Leur témoignage dit assez haut quelle belle place occupe le Père E. Saladin parmi nos plus vaillants apôtres du XIXe siècle.

Tout entier, ce livre est plein de récits attachants, instructifs, édifiants, parfois dramatiques. A la jeunesse de nos écoles, collèges et séminaires, à laquelle il est spécialement dédié, on ne saurait offrir de lecture plus attrayante et plus capable de produire de salutaires impressions.

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Anonyme de la paroisse de Chappes, diocèse de Clermont.. J. R., en mémoire de M.Jean Rouche, Lyon....

24

Un religieux prémontré, du diocèse de Bayeux.. Soeur Louise, du diocèse de Châlons...

Un abonné de Malesherbes, diocèse d'Orléans

M. Edouard Lefort, du diocèse de Cambrai..

M. e chanoine Bruch, du diocèse d'Agen...

M. l'abbé Desbois, du diocèse de Rennes.
Anonyme de Bordeaux...

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En mémoire de M. Remondin, curé de Kochetaillée (Loire).. A. V., Lyon......

100 >>

A Mgr Bottero, évêque de Combaconam.

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Pour les missions les plus nécessiteuses (Mgr Favier) Anonyme de Marseille, demande de prières......

40

H. V. L., diocèse de Montpellier....

25

M. O. Humbert, du diocèse de Saint-Dié, demande de prières Anonyme des Vans, diocèse de Saint-Dié

10

M. l'abb Pringent, miss. apost., du diocèse de Saint-Brieuc. A M. Grangeon (Cochinchine orientale). pour fonder une bourse dans son école de catéchistes. Un prêtre, A. B., diocèse de Namur....

10 >>

1.000 »

5

Anonyme du Landerou, diocèse de Lausanne....

5

Un prêtre du diocèse de Saint-Dié, demande de prières..

Anonyme du diocèse de Carcassonne...

M. l'abbé Mantelin, du diocèse de Viviers..

M. l'abbé Gerbelle, du diocèse d'Aoste....

Mile d'Autane, du diocèse d'Avignon...

Anonyme du diocèse de Belley.

Mile Félicie Colot, Nancy..

Anonyme du diocèse de Bayonne, demande de prières pour

une défunte.....

Anonyme de komans, diocèse de Valence..

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Pour les affamés de la Cochinchine (M. Allys). M. Degusseau, dsocèse de Poitiers, demande de prières..... Pour l'œuvre des pauvres parias (M. Deniau, Coïmbatour).

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Anonyme du pays d'Arvor, demande de prières....... Pour les pauvres veuves de l'Inde (Mgr Pelvat.) Anonyme du pays d'Arvor, de nande de prières.....

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25 »

5

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Anonyme du diocèse de sez..

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R. L. J. M. M. diocèse de Marseille..

Pour la mission la plus nécessiteuse de Chine (Mgr Dunand).

5 D

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Anonyme de Bourg-d'Iré, diocèse d'Angers.. M. Xavier de Chavaudon, diocèse de Troyes.... Ano.yme d'Arles, demande de prières....

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