Le Correspondant, Volume 144Charles Douniol, 1886 - French periodicals |
From inside the book
Results 1-5 of 83
Page 9
... sociétés coopé- ratives , mais les mots dont il se servait , les colères et les espé- rances que ces mots devaient ... société , la famille , la propriété , fu- rent audacieusement proclamées . Qu'elles osassent ainsi s'étaler , c ...
... sociétés coopé- ratives , mais les mots dont il se servait , les colères et les espé- rances que ces mots devaient ... société , la famille , la propriété , fu- rent audacieusement proclamées . Qu'elles osassent ainsi s'étaler , c ...
Page 10
... société entière est en travail , c'est que , sous vos couches officielles où vous donnez l'exemple des intrigues et du désordre , règne une fermentation universelle qui atteste le besoin qu'a la société actuelle de sa transformation et ...
... société entière est en travail , c'est que , sous vos couches officielles où vous donnez l'exemple des intrigues et du désordre , règne une fermentation universelle qui atteste le besoin qu'a la société actuelle de sa transformation et ...
Page 11
... société ; il se tirait d'embarras en concluant à une vaste enquête . A la fin d'août , la grève avait gagné les ... sociétés secrètes , des bandes se formaient , qui parcouraient la ville , forçant les ouvriers qui travaillaient encore à ...
... société ; il se tirait d'embarras en concluant à une vaste enquête . A la fin d'août , la grève avait gagné les ... sociétés secrètes , des bandes se formaient , qui parcouraient la ville , forçant les ouvriers qui travaillaient encore à ...
Page 13
... société d'où seraient écartées les misères du monde réel . Sans remonter jusqu'à Platon et sa République , ou à Morus et son Utopie , on venait de voir à l'œuvre les saint - simoniens . Mais tous ces réformateurs avaient été des ...
... société d'où seraient écartées les misères du monde réel . Sans remonter jusqu'à Platon et sa République , ou à Morus et son Utopie , on venait de voir à l'œuvre les saint - simoniens . Mais tous ces réformateurs avaient été des ...
Page 14
... société 2. C'était lui qui , employant le premier une formule beaucoup répétée depuis , avait dénoncé le régime actuel du travail comme « l'exploitation de l'homme par l'homme » . Il imputait les inégalités et les souf- frances aux ...
... société 2. C'était lui qui , employant le premier une formule beaucoup répétée depuis , avait dénoncé le régime actuel du travail comme « l'exploitation de l'homme par l'homme » . Il imputait les inégalités et les souf- frances aux ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
allemande âme anglais assez aurait avaient beau Bismarck bonheur c'était cause Chambre chancelier Charlotte charme Chevreul chose cœur comte côté coup Davanne devant Dieu dire donner duc d'Aumale duc de Broglie Duluc enfants esprit eût femme fille force général Boulanger Gladstone gouvernement guerre home rule homme idées irlandais j'ai jamais jeune jour journaux l'Angleterre l'armée l'Autriche l'empereur l'état l'Irlande laisser Lamartine lettre lord lord Salisbury Louis Blanc Louis XVIII Mâcon Madeleine main Malmédy maréchal Marinette Martoulet ment mère ministre Mme de Lamartine monde Monsieur mort n'avait n'était Naïs Napoléon Napoléon III nationale Noël Nonette ouvriers parler passé pauvre pays pendant pensée père personne peuple philosophie poésie poète politique premier prince Proudhon Prusse prussien qu'un question question irlandaise raison Raymond République reste rien roman Russie s'est s'était Saint-Point savait semble sentiment serait seulement siècle sociale société sorte surtout terre tion trouver Vogüé wallon yeux
Popular passages
Page 425 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur! Eh quoi! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez? Parlez: nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez?
Page 213 - La propriété, c'est le vol! il ne se dit pas, en mille ans, deux mots comme celui-là. Je n'ai d'autre bien sur la terre que cette définition de la propriété : mais je la tiens plus précieuse que les millions des Rothschild, et j'ose dire qu'elle sera l'événement le plus considérable du gouvernement de Louis-Philippe.
Page 425 - AINSI, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 445 - C'était le seul anneau de ma chaîne brisée, Le seul coin pur et bleu dans tout mon horizon, Pour que son nom sonnât plus doux dans la maison, D'un nom mélodieux nous l'avions baptisée. C'était mon univers, mon mouvement, mon bruit, La voix qui m'enchantait dans toutes mes demeures, Le charme ou le souci de mes yeux, de mes heures, Mon matin, mon soir et ma nuit...
Page 376 - Quant à moi, doyen de l'état-major général, ayant rempli, en paix comme en guerre, les plus hautes fonctions qu'un soldat puisse exercer, il m'appartient de vous rappeler que les grades militaires sont au-dessus de votre atteinte, et je reste le général Marie d'Orléans, Duc d'Aumale (1).
Page 479 - ... l'ennemi et rendu la place qui lui était confiée, sans avoir épuisé tous les moyens de défense dont il disposait, et sans avoir fait tout ce que lui prescrivaient le devoir et l'honneur. Art. 234. Tout général, tout commandant d'une troupe armée qui capitule en rase campagne est puni : 1°...
Page 442 - Au murmure plaintif des vagues apaisées, Aux rayons endormis de l'astre élyséen ; Sous ce ciel où la vie, où le bonheur abonde, Sur ces rives que l'œil se plaît à parcourir, Nous avons respiré cet air d'un autre monde...
Page 436 - Je te dirai le fin mot à toi seul : c'est par religion que je veux absolument me marier et que je m'y donne tant de peines. Il faut enfin ordonner sévèrement son inutile existence selon les lois établies, divines ou humaines, et, d'après ma doctrine, les humaines sont divines ; le temps s'écoule, les années se chassent, la vie s'en va, profitons du reste ; donnons-nous un but fixe pour l'emploi de cette seconde moitié, et que ce but soit le plus élevé possible, c'est-à-dire le désir de...
Page 219 - Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la force du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien! ce nom incommunicable, désormais voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu , c'est sottise et lâcheté; Dieu , c'est hypocrisie et mensonge ; Dieu , c'est tyrannie et misère; Dieu , c'est le mal.
Page 426 - T'OI que j'ai recueilli sur sa bouche expirante •*• Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint, don d'une main mourante, Image de mon Dieu ; Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j'adore, Depuis l'heure sacrée où, du sein d'un martyr, Dans mes tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir...