Oeuvres complètes, Volume 5 |
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Page 27
Le sommeil avait fui de mes yeux , et Atala était dans mon ceur comme le
souvenir de la couche de mes pères . « Le dix - septième jour de marche , vers le
temps où l'éphémère sort des eaux , nous entrâmes sur la grande savane
Alachua .
Le sommeil avait fui de mes yeux , et Atala était dans mon ceur comme le
souvenir de la couche de mes pères . « Le dix - septième jour de marche , vers le
temps où l'éphémère sort des eaux , nous entrâmes sur la grande savane
Alachua .
Page 28
Quand je ne serai plus , aucun ami ne mettra un peu d'herbe sur « mon corps
pour le garantir des mouches . Le corps d'unétranger « malheureux n'intéresse
personne . » « Ces mots attendrirent Atala . Ses larmes tombèrent dans la
fontaine .
Quand je ne serai plus , aucun ami ne mettra un peu d'herbe sur « mon corps
pour le garantir des mouches . Le corps d'unétranger « malheureux n'intéresse
personne . » « Ces mots attendrirent Atala . Ses larmes tombèrent dans la
fontaine .
Page 67
Nayré de douleur , je promis à Atala d'embrasser un jour la religion chrétienne .
A ce spectacle , le solitaire , se levant d'un air inspiré , et étendant les bras vers la
voûte de la grotte : « Il est « temps , s'écria - t - il , il est temps d'appeler Dieu ici ...
Nayré de douleur , je promis à Atala d'embrasser un jour la religion chrétienne .
A ce spectacle , le solitaire , se levant d'un air inspiré , et étendant les bras vers la
voûte de la grotte : « Il est « temps , s'écria - t - il , il est temps d'appeler Dieu ici ...
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Contents
Préface de la première édition dAtala | 3 |
Préface dAtala et de René | 9 |
ATALA | 19 |
8 other sections not shown
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Common terms and phrases
Adario aimé âme amour arrivé ARZANE Atala avaient bientôt bois bord bras bruit c'était cabane cæur Céluta Chactas chant charme chef cher chercher chose ciel cœur commençait conseil côté couche coup cour demande dernier désert devant Dieu dire disait donner douleur enfants faisait femme fille fils fleurs fleuve fond force forêts frappé frère d'Amélie front Génie guerriers heureux hommes Indiens j'ai jette jeune joie jour l'amour l'autre l'homme laisse larmes lève lieu loin main malheur marche mari mère Mila milieu monde mort mourir n'avait n'était NADAB Natchez nation nature nouveau nouvelle nuit Ondouré Outougamiz parler paroles passer passions patrie pays peine pensée père peuple pieds place pleurs porte pouvait premier présent qu'un quitter regards René répondit reste rien s'était Sachem sais sang Sauvages sauver secret semblait sentiments sera seul seur silence Soleil sort terre tête tombe tombeau tour trouver venait vent vieillard voix voyait yeux