Les tragi-comiques: Poèmes. Série I.Calmann Lévy, 1879 - 198 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 7
Page 9
... domestiques , Et je mourrai dans des désespoirs frénétiques . GONTRAN . C'est navrant . GASTON . Ah ! tenez , quand je pense , mon cher , 1 . S Il décroche un stylet de la panoplie . Qu'avec un Amour , amour , quand tu nous tiens ... 9.
... domestiques , Et je mourrai dans des désespoirs frénétiques . GONTRAN . C'est navrant . GASTON . Ah ! tenez , quand je pense , mon cher , 1 . S Il décroche un stylet de la panoplie . Qu'avec un Amour , amour , quand tu nous tiens ... 9.
Page 10
... pense , Gontran , que , sans sortir d'ici , Je pourrais lestement quitter ce pauvre monde , Endormir ma douleur dans une paix profonde , Et dire à ma Louise un assez doux adieu , Rien qu'en pressant du doigt ce bout de fer ... Le coup ...
... pense , Gontran , que , sans sortir d'ici , Je pourrais lestement quitter ce pauvre monde , Endormir ma douleur dans une paix profonde , Et dire à ma Louise un assez doux adieu , Rien qu'en pressant du doigt ce bout de fer ... Le coup ...
Page 57
... je devais aider l'accusé ? -Je le pense ! .. Je crois tout intérêt de la société , Par toi , son avocat public , représenté ; Celui de l'accusé comme un autre ! Folie ! Sa vindicte , voilà l'intérêt qui me lie Le Christ de Bonnat 57.
... je devais aider l'accusé ? -Je le pense ! .. Je crois tout intérêt de la société , Par toi , son avocat public , représenté ; Celui de l'accusé comme un autre ! Folie ! Sa vindicte , voilà l'intérêt qui me lie Le Christ de Bonnat 57.
Page 75
... pense Si tu viens à douter du ciel , ta récompense , Si tu te crois néant du jour que tu mourras , Pourquoi n'oses - tu pas te jeter dans nos bras ? Nous avons une foi , nous , nous avons un culte , Et ton Dieu mort , perdu sous le ...
... pense Si tu viens à douter du ciel , ta récompense , Si tu te crois néant du jour que tu mourras , Pourquoi n'oses - tu pas te jeter dans nos bras ? Nous avons une foi , nous , nous avons un culte , Et ton Dieu mort , perdu sous le ...
Page 168
... pense que je rêve ! J'en vais devenir folle après un pareil deuil ! Sa femme ! .. c'est ainsi que Juliette lève , Pour être à Roméo , la planche du cercueil ! Tra ra , tra deri da , je ris , je me sens ivre ; Un jeune rossignol chante ...
... pense que je rêve ! J'en vais devenir folle après un pareil deuil ! Sa femme ! .. c'est ainsi que Juliette lève , Pour être à Roméo , la planche du cercueil ! Tra ra , tra deri da , je ris , je me sens ivre ; Un jeune rossignol chante ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accords d'aromes ALFRED âme AMOUR Aristote assez BARONNE Bolgg BON DIEU BON DOCTEUR BOULEVARD DES ITALIENS brenn C'était CALMANN CEDORIX cent mille chant cher chose CHRIST DE BONNAT ciel Claudius Popelin cœur coup d'or DELPHES Dieu juste Dieu merci dire dit-il enfants escrime Est-ce eût femme fille garçon GASTON Gaulois gens GONTRAN Grecs groin Guillaume Tell haut homme infâme j'ai j'aime j'avais j'en jeune jour Kéraunos l'autel l'Église là-dessus laissant Laisse-le lance latin LÉVY LIBRAIRIE NOUVELLE Louise LYRES ET CASSEROLES magistrat mains maudit Molière Monsieur mort Moysin musiciens musique n'ai NINETTE NINON PALAIS D'ÉTÉ passé Pausanias pauvre Payez père PLAINTE D'ALFRED pleurs porte prêtre qu'à qu'est-ce qu'un Quid de l'homme reste riche rien rire robe rue du Bac rue Saint-Honoré s'en salon sang serait seul Silvio sœur sort Temple tomber raide TRAGI-COMIQUES tranchet VICTOR MASSÉ vieille VIEUX SOLDAT voilà vois vrai yeux
Popular passages
Page 2 - Dans le puits de l'oubli et au sépulcre encloses, Et que par les escrits le mal ressuscité Infectera les mœurs de la postérité : Mais le vice n'a point pour mère la science Et la vertu n'est pas fille de l'ignorance...
Page 34 - Brise cette voûte profonde Qui couvre la création ; Soulève les voiles du monde, Et montre-toi, Dieu juste et bon ! Tu n'apercevras sur la terre Qu'un ardent amour de la foi, Et l'humanité tout entière Se prosternera devant toi.
Page 48 - Que il (le magistrat) soit fors et estables et de bon corage, non pas de moe ne de vaine gloire.