Harmonies de la nature, Volume 1 |
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... tronc des chênes , il le puise jusque dans le soleil . Il s'en sert pour ar- racher de la terre le fer qui doit la féconder . C'est alors qu'avec le fer et le feu , comme avec le sceptre de la nature , il s'avance à la conquête du monde ...
... tronc des chênes , il le puise jusque dans le soleil . Il s'en sert pour ar- racher de la terre le fer qui doit la féconder . C'est alors qu'avec le fer et le feu , comme avec le sceptre de la nature , il s'avance à la conquête du monde ...
Page 12
... troncs même de quelques arbres , comme dans celui du palmier - sagou ; dans les graines d'une infinité de plantes , telles que les légumineuses , et surtout dans celles des graminées , comme les riz , les maïs , les blés , etc. Elle y ...
... troncs même de quelques arbres , comme dans celui du palmier - sagou ; dans les graines d'une infinité de plantes , telles que les légumineuses , et surtout dans celles des graminées , comme les riz , les maïs , les blés , etc. Elle y ...
Page 18
... tronc des arbres , et que ses rayons colorent de blanc , de jaune , d'orangé , de rouge , de pourpre , et de bleu le sein de leurs fleurs , suivant leurs genres , pourquoi ne transmettroient - ils pas les saveurs acides , sucrées ...
... tronc des arbres , et que ses rayons colorent de blanc , de jaune , d'orangé , de rouge , de pourpre , et de bleu le sein de leurs fleurs , suivant leurs genres , pourquoi ne transmettroient - ils pas les saveurs acides , sucrées ...
Page 49
... troncs . Ces cercles sont tou- jours en nombre égal à celui des années que les arbres ont vécu , c'est - à - dire , à celui des ré- volutions annuelles de l'astre du jour . Ils sont vivaces , c'est - à - dire qu'ils vivent depuis une ...
... troncs . Ces cercles sont tou- jours en nombre égal à celui des années que les arbres ont vécu , c'est - à - dire , à celui des ré- volutions annuelles de l'astre du jour . Ils sont vivaces , c'est - à - dire qu'ils vivent depuis une ...
Page 51
... tronc de tous les arbres par toute la terre , la lune , de son côté , paroît étendre son influence sur les herbes . J'ai remarqué dans les racines de celles de nos jardins des couches concentriques en nombre toujours égal à celui des ...
... tronc de tous les arbres par toute la terre , la lune , de son côté , paroît étendre son influence sur les herbes . J'ai remarqué dans les racines de celles de nos jardins des couches concentriques en nombre toujours égal à celui des ...
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Common terms and phrases
agréable alimens âme amours animaux Apollon arbres avoient avoit bananier blé bois bords botanique calebassier charmes châtaigniers chêne ciel cieux cime climats cocotier conjugale connoître Corydon couches couleurs croissent croître dattier Dieu différens dilatation Divinité doute eaux églogue élémens enfans espèces étoient étoit feuilles feux de l'amour Finlande fleurs fleuves foible forêts forme fruits genres gétaux glaces glaïeuls globe goût graminées HARMONIES AÉRIENNES harmonies végétales hauteur hémisphère herbes hommes îles insectes J'ai l'air l'astre du jour l'atmosphère l'eau l'Énéide l'Ile l'Océan lataniers légumineuses mers mière montagnes morales mousses nature neiges non-seulement Nord oiseaux palmiers parfums paroît paysage pétales peuples peupliers pieds plantes poëtes poissons pole prairies premiers puissance végétale qu'un quadrupèdes racines raison rameaux rapports rayons du soleil renferme réverbères rivages rochers rose sapins saveurs semblables semences sentiment seul sites sommet souvent sphère Spitzberg sucre tempêtes terre Thyrsis tiges tion Tityre trachées tronc végé vents verdure vert VIRGINIE zone torride
Popular passages
Page 277 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 278 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 277 - La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 403 - Le chêne au tronc roide ne courbe que ses branches , l'élastique sapin balance sa haute pyramide , le peuplier robuste agite son feuillage mobile , et le bouleau laisse flotter le sien dans les airs comme une longue chevelure.
Page 277 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 404 - C'est un fond de concert qui fait ressortir les chants éclatants des oiseaux, comme la douce verdure est un fond de couleurs sur lequel se détache l'éclat des fleurs et des fruits.
Page 275 - Ce fut sur son charmant rivage, Que sa fille volage Me promit de m'aimer toujours. Le zéphyr fut témoin, l'onde fut attentive, Quand la nymphe jura de ne changer jamais; Mais le zéphyr léger et l'onde fugitive Ont bientôt emporté les serments qu'elle a faits.
Page 14 - ... être aussi les prototypes de leur genre : tels sont la poule dans les gallinacées, la vache dans les herbivores, le renne dans les cerfs, le chien dans les carnivores, etc. Mais ne sortons point ici des limites de l'harmonie végétale. On peut conclure de tout ce que nous venons de dire, qu'il ya encore beaucoup de végétaux utiles qui nous sont inconnus; car il s'en faut bien que chaque genre de végétaux nous fournisse , par toute la terre , une espèce en rapport immédiat avec nos besoins....
Page 403 - Le respect , l'amitié , la colère, semblent passer tour à tour do l'un à l'autre , comme dans le cœur des hommes ; et ces passions versatiles ne sont au fond que les jeux des vents. Quelquefois un vieux chêne élève au milieu d'eux ses longs bras dépouillés de feuilles et immobiles. Comme un vieillard, il ne prend plus de part aux agitations qui l'environnent : il a vécu dans un autre siècle.
Page 198 - ... les émanations particulières d'avec celles des gens qui traversent son chemin. Quelques philosophes n'ont pas manqué, à cette occasion, d'exalter le chien aux dépens de l'homme, privé de cet avantage. Certainement un homme ne...