Harmonies de la nature, Volume 1 |
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Page xvii
... seul le ciel seul peut donner . Que dis - je ! le siècle même qui vit naître les rai- sonnemens les plus trompeurs de l'athéisme , fut temoin du triomphe des idées reli- gieuses . Ce que la philosophie avoit attaqué comme de vaines ...
... seul le ciel seul peut donner . Que dis - je ! le siècle même qui vit naître les rai- sonnemens les plus trompeurs de l'athéisme , fut temoin du triomphe des idées reli- gieuses . Ce que la philosophie avoit attaqué comme de vaines ...
Page xxxvi
... . Cette dernière puissance est la plus forte de la nature : c'est celle de la pensée ; elle embellit ou bouleverse l'univers , et les au- tres puissances lui sont soumises . L'homme le est le seul de tous les êtres à qui xxxvj PRÉAMBULE .
... . Cette dernière puissance est la plus forte de la nature : c'est celle de la pensée ; elle embellit ou bouleverse l'univers , et les au- tres puissances lui sont soumises . L'homme le est le seul de tous les êtres à qui xxxvj PRÉAMBULE .
Page xxxvii
Bernardin de Saint-Pierre Louis-Aimé Martin. le est le seul de tous les êtres à qui l'Eternel ait confié le feu ; il le dérobe au caillou , fait jaillir du tronc des chênes , il le puise jusque dans le soleil . Il s'en sert pour ar ...
Bernardin de Saint-Pierre Louis-Aimé Martin. le est le seul de tous les êtres à qui l'Eternel ait confié le feu ; il le dérobe au caillou , fait jaillir du tronc des chênes , il le puise jusque dans le soleil . Il s'en sert pour ar ...
Page xlviii
... seul titre pour les publier . Je voulois rendre hommage à sa mémoire comme j'avois toujours rendu hommage à ses talens ; je croyois même acquitter une dette sacrée , celle de la reconnoissance . Dès ma plus tendre jeunesse , ses ...
... seul titre pour les publier . Je voulois rendre hommage à sa mémoire comme j'avois toujours rendu hommage à ses talens ; je croyois même acquitter une dette sacrée , celle de la reconnoissance . Dès ma plus tendre jeunesse , ses ...
Page 6
... seul jet les flancs cristallisés du pole et ses vastes campagnes de neige , de ton voile de safran et de vermillon . Mère du printemps , couronne de tes roses naissantes ma tête , couverte de soixante - trois hivers ; console - moi des ...
... seul jet les flancs cristallisés du pole et ses vastes campagnes de neige , de ton voile de safran et de vermillon . Mère du printemps , couronne de tes roses naissantes ma tête , couverte de soixante - trois hivers ; console - moi des ...
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Common terms and phrases
agréable alimens âme amours animaux Apollon arbres avoient avoit bananier blé bois bords botanique calebassier charmes châtaigniers chêne ciel cieux cime climats cocotier conjugale connoître Corydon couches couleurs croissent croître dattier Dieu différens dilatation Divinité doute eaux églogue élémens enfans espèces étoient étoit feuilles feux de l'amour Finlande fleurs fleuves foible forêts forme fruits genres gétaux glaces glaïeuls globe goût graminées HARMONIES AÉRIENNES harmonies végétales hauteur hémisphère herbes hommes îles insectes J'ai l'air l'astre du jour l'atmosphère l'eau l'Énéide l'Ile l'Océan lataniers légumineuses mers mière montagnes morales mousses nature neiges non-seulement Nord oiseaux palmiers parfums paroît paysage pétales peuples peupliers pieds plantes poëtes poissons pole prairies premiers puissance végétale qu'un quadrupèdes racines raison rameaux rapports rayons du soleil renferme réverbères rivages rochers rose sapins saveurs semblables semences sentiment seul sites sommet souvent sphère Spitzberg sucre tempêtes terre Thyrsis tiges tion Tityre trachées tronc végé vents verdure vert VIRGINIE zone torride
Popular passages
Page 277 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 278 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 277 - La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 403 - Le chêne au tronc roide ne courbe que ses branches , l'élastique sapin balance sa haute pyramide , le peuplier robuste agite son feuillage mobile , et le bouleau laisse flotter le sien dans les airs comme une longue chevelure.
Page 277 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 404 - C'est un fond de concert qui fait ressortir les chants éclatants des oiseaux, comme la douce verdure est un fond de couleurs sur lequel se détache l'éclat des fleurs et des fruits.
Page 275 - Ce fut sur son charmant rivage, Que sa fille volage Me promit de m'aimer toujours. Le zéphyr fut témoin, l'onde fut attentive, Quand la nymphe jura de ne changer jamais; Mais le zéphyr léger et l'onde fugitive Ont bientôt emporté les serments qu'elle a faits.
Page 14 - ... être aussi les prototypes de leur genre : tels sont la poule dans les gallinacées, la vache dans les herbivores, le renne dans les cerfs, le chien dans les carnivores, etc. Mais ne sortons point ici des limites de l'harmonie végétale. On peut conclure de tout ce que nous venons de dire, qu'il ya encore beaucoup de végétaux utiles qui nous sont inconnus; car il s'en faut bien que chaque genre de végétaux nous fournisse , par toute la terre , une espèce en rapport immédiat avec nos besoins....
Page 403 - Le respect , l'amitié , la colère, semblent passer tour à tour do l'un à l'autre , comme dans le cœur des hommes ; et ces passions versatiles ne sont au fond que les jeux des vents. Quelquefois un vieux chêne élève au milieu d'eux ses longs bras dépouillés de feuilles et immobiles. Comme un vieillard, il ne prend plus de part aux agitations qui l'environnent : il a vécu dans un autre siècle.
Page 198 - ... les émanations particulières d'avec celles des gens qui traversent son chemin. Quelques philosophes n'ont pas manqué, à cette occasion, d'exalter le chien aux dépens de l'homme, privé de cet avantage. Certainement un homme ne...