Memoires: Section des lettres, Volume 8 |
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... rien qui n'y soit digne d'estime , de louange et d'admiration . Naturellement le héros de ce poème incomparable en jugeait de même . « M. le Prince , dit Tallemant , savait par cœur toute l'ode que Chapelain fit pour lui ; il la portait ...
... rien qui n'y soit digne d'estime , de louange et d'admiration . Naturellement le héros de ce poème incomparable en jugeait de même . « M. le Prince , dit Tallemant , savait par cœur toute l'ode que Chapelain fit pour lui ; il la portait ...
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... rien tant que le silence » . Mais il n'en est pas ainsi de l'autre . << Il lui en coûte de rompre en visière avec un ... rien qui soit capable de plaire au monde délicat dont vous me parlez , rien qui puisse donner dans la veue de vostre ...
... rien tant que le silence » . Mais il n'en est pas ainsi de l'autre . << Il lui en coûte de rompre en visière avec un ... rien qui soit capable de plaire au monde délicat dont vous me parlez , rien qui puisse donner dans la veue de vostre ...
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... rien déguiser , que je me rencontray dans une compagnie de gens sçavans , où quelqu'un leut une ode que ce premier homme du temps a faite pour Monsieur le Prince ; et comme chacun disoit son avis de ces vers , M. le marquis de M ... et ...
... rien déguiser , que je me rencontray dans une compagnie de gens sçavans , où quelqu'un leut une ode que ce premier homme du temps a faite pour Monsieur le Prince ; et comme chacun disoit son avis de ces vers , M. le marquis de M ... et ...
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... rien découvert de cette affection bizarre et pouvois - je deviner qu'un homme dont je ne suis pas abusé vous fût si cher ? Encore suis - je en doute s'il est votre ami , quoique vous me l'écriviez et peut estre qu'on vous en fait ...
... rien découvert de cette affection bizarre et pouvois - je deviner qu'un homme dont je ne suis pas abusé vous fût si cher ? Encore suis - je en doute s'il est votre ami , quoique vous me l'écriviez et peut estre qu'on vous en fait ...
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... rien imaginer de plus beau que votre soleil , qui au travers de vos espaces immenses fait ici - bas tout ce que nous y voyons , » Seulement par le feu qu'il preste à ses rayons ' . » Les trois C ... , c'étaient Comminges , Costar et le ...
... rien imaginer de plus beau que votre soleil , qui au travers de vos espaces immenses fait ici - bas tout ce que nous y voyons , » Seulement par le feu qu'il preste à ses rayons ' . » Les trois C ... , c'étaient Comminges , Costar et le ...
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Common terms and phrases
acte août Arch assemblée auec avaient avoit avril Balzac Boursault catholique chanoine chapelle Charancy chevalier de Méré chose clergé Colbert comédie Conseil consuls curé d'Aix décembre Délib devant dévots Dieu diocèse de Montpellier dire donner ecclésiastiques église épiscopale esprit essence eté Eveque évêque de Viviers Faculté fille Frontignan Gigean Ginestet Grasset homme Ibid idées identité j'ay Jansénistes janvier Jean Gigord jésuites Josse jugements l'abbé l'assemblée l'Église l'essence l'être absolu l'être contingent l'évêché l'évêque de Montpellier l'existence l'Hérault l'identité l'intendant Languedoc Lansargues Lavérune lettre livres Louis XIV Mauguio meme ment Mesnard Millau mois Molière Monsieur Mudaison nécessaire Nouvelles ecclésiastiques ordonnance parler paroisse Pascal pénitents Plassac Poussan prélat premier prêtres prieur principes de raison professeurs protestants province religieux religion rien Rouergue Saint Saint-Priest Saint-Sauveur seigneur séminaire serait seulement sorte suivant Tartuffe théologie tion Toulouse tres uotre uous Valgorge vicaire général VIII Villeneufve zèle
Popular passages
Page 211 - Je sais un paysan qu'on appelait Gros-Pierre, Qui, n'ayant pour tout bien qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, Et de monsieur de L'Isle en prit le nom pompeux.
Page 189 - Comme l'histoire le raconte, et comme je l'ai appris de mes pères, dans l'origine le peuple souverain créa des rois par son suffrage, et il préféra particulièrement les hommes qui surpassaient les autres en vertu et en habileté. En effet, chaque peuple a élu un roi pour son utilité. Oui, les princes sont tels, non afin de tirer un profit du peuple et de s'enrichir à ses dépens, mais pour, oubliant leurs intérêts, l'enrichir et le conduire du bien au mieux.
Page 236 - ... au vulgaire l'art de parler d'une manière intelligible; une chose dite entre eux peu clairement en entraînait une autre encore plus obscure, sur laquelle on enchérissait par de vraies énigmes , toujours suivies de longs applaudissements, par tout ce qu'ils appelaient délicatesse , sentiments , tour et finesse d'expression ; ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus, et à ne s'entendre pas eux-mêmes.
Page 274 - Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant, j'ai cru que, dans l'emploi où je me trouve, je n'avais rien de mieux à faire que d'attaquer, par des peintures ridicules, les vices de mon siècle...
Page 294 - n'empêche pas d'en commettre de mauvaises , que son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne put souffrir" cette ressemblance du vice avec la vertu, qui pouvoient être pris l'un pour l'autre.
Page 317 - M"e de Longueville, à M. le prince de Conti son frère, au cardinal Mazarin, surtout abandonné aux jésuites; tout sucre et tout miel, lié aux femmes importantes de ces temps-là, et entrant dans toutes les intrigues ; toutefois grand béat. C'est sur lui que Molière prit son Tartuffe, et personne ne s'y méprit.
Page 338 - La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui, en jouant son Malade imaginaire ou son Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d'heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de Celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez...
Page 217 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé...
Page 294 - ... quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur, il la défendit pourtant en public, et se priva soi-même de ce plaisir, pour n'en pas laisser abuser à d'autres, moins capables d'en faire un juste discernement.
Page 38 - Vous souvenez-vous de m'avoir dit une fois que vous n'étiez plus si persuadé de l'excellence des mathématiques ? Vous m'écrivez à cette heure que je vous en ai tout à fait désabusé, et que je vous ai découvert des choses que vous n'eussiez jamais vues si vous ne m'eussiez connu. Je ne sais pourtant, monsieur, si vous m'êtes si obligé que vous pensez.