| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...d'un" père dont l'amour de la patrie était la plus forte passion, je m'en enflammais à son exemple , je me croyais Grec ou Romain ; je devenais le personnage dont je lisais la vie : le récit des traits de constance'et d'intrépidité qui m'avaient frappé me rendait les yeux étincelans et la voix forte.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1791 - 326 pages
...récit des traits de conftance & d'intrépidité qui m'avoient frappé me rendoit les yeux étincelans & la voix forte. Un jour que je racontais à table l'aventure de Scevola, on fut eiErayé de me voir avancer A 6 & tenir la main fur un réchaud pour repréfenter fon... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pages
...père dont l'amour de la patrie était la plus forte passion , je m'en enflammais à son exemple ; je me croyais Grec ou Romain ; je devenais le personnage...constance et d'intrépidité qui m'avaient frappé me rendaient les yeux étincelants et la voix forte. Un jour que je racontais à table l'aventure de Scévola... | |
| Bailly de la Londe - 1842 - 636 pages
...père dont l'amour de la patrie était • la plus forte passion, je m'en enflammais à son exemple, •je me croyais Grec ou Romain ; je devenais le personnage...d'intrépidité qui m'avaient frappé, me rendait les yeux êtîn• alans et la voix forte. Un jour que je racontais à table Pa• remure de Scévola, on fut... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French language - 1849 - 638 pages
...père dont l'amour de la pairie était la plus forte passion , je m'en enflammais à son exemple , je me croyais Grec ou Romain ; je devenais le personnage...rendait les yeux étincelants et la voix forte. Un Joirf q\je je racontais à table l'aventure de Scévola, on fut effrayé de mj voir avancer et tenir... | |
| Félix Danjou - Paganism - 1852 - 126 pages
...vie. Sans cesse occupé de Itoinc et d'Athènes , vivant pour ainsi dire avec leurs grands hommes, jo me croyais grec ou romain , je devenais le personnage dont je lisais la vie. Lerécitdes traits de constance et d'intrépidité qui m'avaient frappé me rendait les yeux ctincclants... | |
| Émile de Girardin - France - 1855 - 524 pages
...pour ainsi dire avec leurs grand.- hommes, je me croiais Grec ou Romain, je devenais le IXTsonnage dont je lisais la vie. Le récit des traits de constance...me rendait les yeux étincelants et la voix forte, l'n jour que je racontais à table l'aventure de Scévola, on fut effrayé df me voir avancer et tenir... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...d'un père dont l'amour de la patrie était la plus forte passion, je m'en enflammais à son exemple, je me croyais Grec ou Romain, je devenais le personnage...l'aventure de Scévola, on fut effrayé de me voir avanceret tenir la main surun réchaud, pour représenter son action. J'avais un frère plus âgé... | |
| Gaberel - Geneva (Switzerland) - 1858 - 178 pages
...m'enflammais à son exem« pie : sans cesse occupé d'Athènes et de Rome, je devenais le per« sonnage dont je lisais la vie ; le récit des traits de constance et d'in• trépidité qui m'avaient frappé, me rendaient les yeux étincelants, « la voix forte. Un... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 772 pages
...d'un père dont l'amour de la patrie était la plus forte passion, je m'en enflammais à son exemple, je me croyais Grec ou Romain, je devenais le personnage dont je lisais la vie1. > L'esprit de ces anciens républicains respire dans tous ses écrits. Il s'indigne de ce que... | |
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