Le dernier chant du pélerinage d'Harold

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Dondey-Dupre, 1825 - 178 pages
A continuation of Byron's Childe Harold's piligramage, which contains de death of Harold, and also the last days and death of Byron himself.
 

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Popular passages

Page 54 - N'ayant pour tout dessein qu'un éternel caprice; Ne commandant ni foi, ni loi, ni sacrifice; Livrant le faible au fort et le juste au trépas, Et dont la raison dit :
Page 61 - Adieu ! Pleure ta chute en vantant tes héros ! Sur des bords où la gloire a ranimé leurs os , Je vais chercher ailleurs (pardonne, ombre romaine !) Des hommes, et non pas de la poussière humaine!...
Page 121 - Dans ton sein, que tant de vie inonde, L'être succède à l'être, et la mort est féconde ! Le temps s'épuise en vain à te compter des jours, Le siècle meurt et meurt, et tu renais toujours...
Page 176 - II était à peu près midi ; les médecins eurent » une consultation , et il fut décidé de donner à » milord du quinquina dans du vin. Il y avait huit » jours qu'il n'avait rien pris que ce que j'ai dit, » et qui ne pouvait le soutenir. A l'exception de » quelques mots que je répéterai à ceux auxquels » ils étaient adressés , et que je suis prêt à leur » communiquer , s'ils le désirent , il fut impossible » de rien entendre de ce que dit milord après avoir
Page 97 - Le voilà : prenez donc ! armez-vous ! que la terre Du sang de ses bourreaux enfin se désaltère ! Si le glaive jamais tremblait dans votre main, Souvenez-vous d'hier, et songez à demain ! Pour confondre le lâche et raffermir les braves, Le seul bruit de leurs fers suffit à des esclaves ! Moi, pour prix du trésor que je viens vous offrir, Je ne demande rien, que le droit de mourir, De verser avec vous sur les champs du carnage Un sang bouillant de gloire et digne d'un autre âge, Et de voir,...
Page 58 - Italie ! Italie ! adieu, bords que j'aimais ! Mes yeux désenchantés te perdent pour jamais ! O terre du passé, que faire en tes collines? Quand on a mesuré tes arcs et tes ruines, Et fouillé quelques noms dans l'urne de la mort, On se retourne en vain vers les vivants : tout dort , Tout, jusqu'aux souvenirs de ton antique histoire, Qui te feraient du moins rougir devant ta gloire ! Tout dort ! et cependant l'univers est debout...
Page 164 - Manœuvrant directement vers le point d'où le « canon s'était fait entendre , il aborde l'énorme ci« tadelle flottante , en enfonçant son mât de beaupré « dans un de ses sabords , et le vaisseau s'embrase « avec une telle rapidité, que, de plus de deux mille « individus qui le montaient, le capitan-pacha et une « trentaine des siens parviennent seuls à se dérober à « la mort. « Au même instant, un second vaisseau est mis en « feu par le brûlot de Cyriaque, et la rade n'offre...
Page 151 - bientôt des lamentations d'une autre espèce : ce sont « les myriologues. Ordinairement c'est la plus proche « parente qui prononce le sien la première. Après elle « les autres parentes, les amies, les simples voisines...
Page 91 - Semez, semez de narcisse et de rosé, Semez la couche où la beauté repose ! Vole au vallon , courbe un myrte en cerceau , Pour ombrager ton enfant qui sommeille; Le moissonneur prépare sa corbeille, La jeune mère arrondit son berceau ! Semez, semez de narcisse et de rose.
Page 185 - PANDECTES de Justinien mises dans un nouvel ordre, avec les lois du Code et les Novelles qui confirment, expliquent ou abrogent celles des Pandectes , par RJ Pothier; traduites par M.

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