Histoire De L'Esprit Humain Ou Memoires Secrets Et Universels De La Republique Des Lettres, Volume 11Haude et Spener, 1767 - Literature |
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affez ainfi Algaroti amour Anglois Atrée auffi auroit auteur avoient avoit beau beauté belles Boileau Britannicus c'eft c'eſt c'étoit Campiftron caufe Céfar chofes Cinna cœur comédies compofé confidérable connoître Corneille Crebillon critique deffus dernieres Deshoulieres Despréaux difoit dire écrit efprit eftimé endroits eſt étoit eût Evremont fage faifoit fang fans fatire fcéne feconde femble fentimens fentiment fervir fes pieces feul fimple foibleffe foin foit fon frere font Fontaine Fontenelle fous fouvent fpectateurs fpirituellement françois ftile fublime fuis fuivi fujet fur le théatre gens Gilles Boileau goût Grecs homme illuftre jufte l'amour l'efprit laiffe Longin Lucain Lutrin Malherbe maniere Mithridate Moliere mort n'eft n'eſt noble paffer paroiffent paroît penfe perfonnages perfonne Phedre philofophe plaifir plufieurs poëme poëte poëtique poffible préaux premiere puiffe Quinaut Racan Racine raifon refte rien romans Rouffeau s'eft ſes Silvanire ſon teffe tendreffe Thomas Corneille Tiridate tragédie verfification Voltaire yeux
Popular passages
Page 98 - Rome, l'unique objet de mon ressentiment! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant! Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore!
Page 175 - La nature, marâtre en ces affreux climats, Ne produit, au lieu d'or, que du fer, des soldats : Son sein tout hérissé n'offre aux désirs de l'homme Rien qui puisse tenter l'avarice de Rome.
Page 295 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 282 - Des vainqueurs fumants de carnage , Un peuple au fer abandonné ; Des mères pâles et sanglantes, Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné.
Page 133 - Papillon du Parnasse , et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; . Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet: A beaucoup de plaisir je mêle un peu de gloire.
Page 85 - Il sait votre dessein, jugez de ses alarmes. Ma Mère est devant vous, et vous voyez ses larmes.
Page 269 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique.
Page 97 - II vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel, pourvu que je me venge...
Page 283 - Montrez-nous, guerriers magnanimes, Votre vertu dans tout son jour : Voyons comment vos cœurs sublimes Du sort soutiendront le retour. Tant que sa faveur vous seconde , Vous êtes les maîtres du monde . Votre gloire nous éblouit: Mais, au moindre revers funeste, Le masque tombe, l'homme reste...
Page 297 - Pavie. Mais , s'il demande à quel emploi - . Tu m'as occupé , dans le monde , Et quel bien j'ai reçu de toi , Que veux-tu que je lui réponde î - "La réponfe du Cardinal fut un Rien prononce très-brufquement.