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Les projets qu'il faisoit pour l'affermisement VOLT. » de sa puissance. » AFFETE, LE, adj., où il y a de l'affectation. Mine affetée, discours affête, manières DICT. DE L'ACAD. affetées, paroles affetées.

COR.
BOIL.

Et sans l'indigne appât d'un coup d'œil affété. Je laisse aux doucereux ce langage affeté. (Ce terme commence à vieillir. ) AFFETERIE, s. f., manière affétée de parler ou d'agir, par envie de plaire. Il y a trop d'afeterie dans tout ce qu'elle fait. Les ofteries d'une précieuse. L'affelerie du style. DICT. DE L'ACAD.

AFFICHE, &. f., placard, feuille écrite ou imprimée que l'on etteche dans les carrefours, pour avertir le public de quelque chose. Affiche de comédie.

«Le nom de ce panégyriste semble gémir sous » le poids des titres dont il est accable; leur » grand nombre remplit de vastes affiches, qui » sont distribuées dans les maisons, ou qu'on » lit par les rues en caracteres monstrueux. LA BRUYÈRE.

Et n'a point de portail où jusques aux corniches. Tous les piliers ne soient enveloppés d'affiches. BOIL. AFFICHER, v. a., attacher un placard pour avertir le public de quelque chose. Afficher un monitoire, une ordonnance. On dit, au figuré, afficher le bel esprit, c'est-à-dire, se donner our bel esprit, vouloir passer pour bel esFrit. On dit aussi afficher sa honte, c'est-àdire, rendre publique une action on des sentimens qui déshonorent. Il s'emploie aussi avec le pronom personnel, s'afficher pour bel esprit, pour savert. Dans ce sens, il ne se dit guère qu'en mauvaise part.

DICT. DE L'ACAD, « Quoi, mes pères, afficher vous-mêmes » dans Paris un livre si scandaleux ? »

PASCAL.

« L'archevêque de Paris fit afficher une cen>>sure publique des livres qu'on examinoit. » VOLTAIRE.

AFFICHER QUE.

« Charles XII fit afficher qu'il n'étoit venu
VOLT.
» que pour donner la paix. »

Où qu'en toutes saisons sur les murs de Paris,
On ne voit affichés de recueils d'amourettes.. BOIL.

AFFIDÉ, ÉE, à qui on se fie pleinement.
Envoyer un homme affidé. Il lui fit dire par
DICT. DE L'ACAD.
une person ne odie,

AFF

Vous ne comptiez même pour rien les >> favoris et les ministres les plus affides, dont >> vous vous serviez pour tromper les autres. » FENELON.

AFFILER, v. a., donner le fil à un instrument qui coupe, Taiguiser. Affiler le tranchant d'un couteau, d'un sabre. DICT. DE L'AC.

« Le glaive, qui a tranché les jours de la >> reine, est encore levé sur nos tètes : nos » péchés en ont affilé le tranchant fatal.»> BOSSUET.

«Il est une autre sorte de médisans qui » portent le trait jusqu'au cœur ; mais, parce plus affilé, » qu'il est plus brillant » voient pas la plaie qu'il a faite. >>

MASSILLON.

ne

AFFILIATION, s. f., espèce d'adoption. Il se dit en parlant d'une compagnie ou communauté qui en a affilié d'autres. Il y a afiliation entre l'Académie francoise et celle de DICT. DE L'ACAD. Marseille. AFFILIER, v. a., adopter. L'Académie froncoise s'est affilié quelques académics de province. DICT. DE L'ACAP. AFFINITÉ, s. f., alliance, degré de proximité que le mariage fait acquérir à un homme et à une femme avec les parens de sa femme avec ceux de son mari. Il a épousé ma sœur. il y a affinité entre lui et moi. Les divers degres DICT, DE L'ACAD. d'affinité

On appelle affinité spirituelle celle qui se contracte dans les cérémonies du baptème entre les parrains et les marraines, et les personnes dont ils ont tenu les enfans, et encore entre les parrains et les marraines et leurs filleuls DICT. DE L'ACAD. ou filleules.

AFFINITÉ, conformité, convenance, rapport. Ces deux mots ont beaucoup d'affinité. La géométrie et la physique ont une grande affinité. Il y a de l'affinité entre la pensée et la peinture. Affinité entre les caractères. L'affinité des creaDICT. DE L'ACAD.

tures.

« Outre le rapport que nous avons du côté » du corps avec la nature changeante et mor>>telle, nous avons, d'un autre côté, un rapune secrete affinité avec » port intime et Boss. >>> Dieu. >> AFFINITÉ, liaison que des personnes out ensemble. Il y avoit une grande affinité entre eux. DICT. DE L'ACAD.

AFFIRMATIF, IVE, adj., qui affirme. Discours affirmatif. Parler d'un ton affirmotif. C'est-à-dire, parler d'une maniere trop décisive. On appelle en logique proposition affi malive toute proposition par laquelle on affirme une chose

On dit aussi : C'est un homme fort affirmatif. En cela, il est un peu affirmatif. (Voyez un exemple de Pascal, ci-après, au mot f firmation.)

AFFIRMATION, s. f., terme de logique. L'affirmation est opposée à la nég vion,

«Les discours d'humilité sont matière d'or»gueil aux gens glorieux, et d'humilité aux » humbies; ainsi, ceux de pyrrhonisme et » de doute sont matière d'affirmation aux af» firmatifs. »

PASC.

AFFIRMATIVE, s. f., proposition par la» quelle on allicine. It, sont toujours d'avis

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« Il lui déclare affirmativement que ses forces >> sout suffisantes pour faire son voyage. » PASC.

AFFIRMER, v. a. assurer qu'une chose est vraie. Oseriez-vous bien affirmer cela? DICT. DE L'ACAD.

« Toutes les fois qu'une proposition est in» concevable, il faut en suspendre le jugement et » ne pas la nierà cette marque, maisen examiner >> le contraire, et si on le trouve manifeste>>ment faux, on peut hardiment afirmer la » première, toute incompréhensible qu'elle est. » Si les nouvelles expériences leur avoient été >> connues, peut-être auroient-ils eu sujet d'affir»mer ce qu'ils ont eu sujet de nier. » PASC.

Oni, j'ose hardiment l'affirmer contre toi.
AFFIRMER QUE.

BOIL.

« Il vous dira que c'est une erreur de s'i»maginer qu'un Artaxerce ait été appelé » Longuemain, parce que les bras lui tom» boient jusqu'aux genoux, et non à cause » qu'il avoit une main plus longue que l'autre, » et il ajoute qu'il y a des auteurs graves qui affirment que c'étoit la droite. » LA BRUY. AFFIRME, KE, part.

« Des faits affirmés par des hommes graves. » LA BRUYÈRE.

On dit en logique qu'une proposition affirme, » pour dire simplement qu'elle exprime qu'une » chose est. Toute proposition affirme ou nie. » AFFLICTION, s. f., de plaisir et d'abattement d'esprit. Grande, extreme affliction. Affiction sensible. Cela lui causa une affliction morielle. DICT. DE L'ACAD.

« Quand nous sommes dans l'affliction, à » cause de la mort de queique personne. » Le temps amortit les afflictions. »

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-

PASC.

<< Et sous des formes différentes je vis une » affliction sans mesure. N'attendez pas que »je vous représente l'affliction de toutes ces >> dames, etc. Il paroit toujours dans l'af»fliction. » Boss. Quelque prétexte que nous donnions à » nos afflictions, ce n'est souvent que l'intérêt » et la vanité qui les causent. Elles s'effor» cent de se rendre célèbres par la montre >> d'une inconsolable affliction. » LA ROCH. « Ce n'est guère par vertu 011 par force » d'esprit que l'on sort d'une grande affliction. » Il n'y a qu'une affliction qui dure, qui est » celle qui vient de la perte des biens; le

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temps qui adoucit toutes les autres, aigrit

>> celle-ci. Les enfans rient et pleurent fa>> cilement; ils ont des joies immodérées et » des afflictions amères sur de très-petits su>> jets. - Son affliction augmente. » LA BR.

«Ne vous reconnoissez-vous pas dans l'af »fliction que j'ai décrite? Le soleil ne doit >> pas se coucher plus de sept fois sur notre af»fliction. C'est-là que l'infirmité est guérie, FLECH. » que l'affliction est consolée. »>

« Calypso ressent une nouvelle fureur en. » voyant que l'affliction augmente la beauté » d'Eucharis. >> FEN.

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Sen

«Consoler Paffliction d'un chrétien. »sible aux afflictions de ceux qui l'outragent. >> Ce monde, où tout est travail et affic» tion d'esprit.- Un royaume que vous laissez. » dans l'affliction. Nos afflictions étoient les >> siennes. Dieu les livre au travail, à la » peine, à la misère et à l'affliction. » Si vous pouvez trouver dans ma compassion Quelque soulagement pour votre affliction. Dieu qui voyez mon trouble et mon affliction. AFFLICTION, disgrace, malheur, peine. Les afflictions qu'il plait à Dieu de nous envoyer. DICT. DE L'ACAD.

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COR.

RAC.

« Les afflictions temporelles couvrent les » biens éternels où elles conduisent. - Il n'est » pas juste que nous soyons sans ressentiment » et sans douleur dans les afflictions et les acQue je >>cidens fàcheux qui nous arrivent. >> m'estime heureux dans l'affliction!» PASC. << Les forts d'Israël et les hommes d'une sain»teté extraordinaire étoient nourris dès-lors » du pain d'affliction. » Boss. « Avec quelle constance elle supporta les » pertes,. les afflictions et les disgraces, com»pagnes inséparables des grandes fortunes! » Vous avez discerné, dans les afflictions, ce » qu'elles ont de triste, ce qu'elles ont de >> salutaire. La soumission aux ordres de » Dieu que St.-Louis témoigna dens l'affic» tion de sa défaite, de så prison, de sa >> maladie. >>> FLÉCHIER. «La prospérité nous élève, l'affliction nous » abat. Les afflictions nous rebutent, les » prospérités nous élèvent. L'affiction est >> un titre qui doane droit d'aborder un bon >> prince. Nos afflictions ont mille ressources » qui manquent à bien d'autres. Les infor» tunes qui bénissent Dieu dans leur affiicUn crime qui perpétue presque tou>> jours avec lui l'affliction et la misère pu>>blique dans les empires. » MASS. « On ne le vit pas succomber un moment à VOLT. » ses afflictions. » AFFLIGEANT, ANTE, adj., qui afflige. Une nouvelle bien affligeante.

» tion.

« Il tombera par nécessité dans les vues af»figeantes de l'avenir. »

PASC. A-t-elle cru

«Des langueurs affligeantes. » que sa croix étoit trop dure ou trop affio» geante? >>

FLECH.

«Leurs infirmités sont plus affligeantes. » MASSILLON. AFFLIGER, . a. causer de la douleur, de la peine, du déplaisir. Son molheur m'afflige.

Cette nouvelle l'a extremement

« Cette mort qui nous affig.

Vous n'ètes

>> pas moins Dieu quand vous affligez, et quand » vous punissez, que quand vous consolez, etc. )) - Peu de chose nous console, parce que peu » de chose nous afflige. ( Voyez present. ) Pasc. «Elle ne craint ni d'offenser le puissant, ni » d'affliger le pauvre et le foible. » Boss.

« L'envie lui déplait, mais ne l'afflige pas. >> Les uns craignent de les affliger (les rois), les >> autres cherchent à leur plaire. » FLECH.

<< Plus il aime le monde, plus un désir con» tredit l'afflige. » MASS.

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« Elle s'afflige, elle se rassure. » Boss. « Titius essuie ses larmes : c'est à Marius à » s'affiger.» LA BRUY

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<< Il pleura en secret, il s'affligea. » FLÉCH. « Chacun doit suivre courageusement sa desFEN. » tinée; il est inutile de s'affliger. »

C'est assez de constance en un si grand danger,
Que de le voir, l'attendre, et ne point s'affliger. Co.
Mais peut-être qu'aussi trop prompte à m'affliger.
Toujours avant le temps faut-il vous affliger?
Laissez-moi m'affliger.

S'AFFLIGER L'UN L'AUTRE.

RAC. RAC. le fils.

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RAC.

Ses gardes affligés, Imitoient son silence autour de lui rangés. Je cesserai pour eux de paroitre affligée. « Ce cœur affligé. Mon esprit affligé. » Mon ame affligée. » AFFLIGÉ DE.

RAC.

COR.

CORN.

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Affliger son corps par toutes sortes d'austéBoss.

» rités. »

« Les autres fléaux par lesquels le ciel afflige » la terre. » FEN.

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Le mot latin affligere, d'où vient le mot françois affliger, signifie le plus souvent, mettre à bas, abattre. Voltaire semble avoir pris le mot françois dans le sens latin, quand il dit dans Mérope.

Écartez ces terreurs dont le poids vous afflige.

AFFLUENCE, s. f., grande abondance de biens, grand concours de monde. Affluence de toutes sortes de biens. Grande affluence de peuple. « L'auguste maison d'Autriche où, durant » quatre cents ans, on ne trouve que des rois >> et des empereurs, et une si grande affluence » de maisons royales avec tant d'états et tant » de royaumes, etc. >>

Boss.

AFFLUER, c. n., se rendre en un mème canal. Il se dit proprement des eaux dont le concours et la chute se font dans un mème endroit. Il y a plusieurs ruisseaux et rivières qui affluent dans la Seine. DICT. DE L'ACAD.

AFFLUER, au figuré, abonder, arriver en abondance. Toutes sortes de biens affluent dans cette maison. Les vivres affluoient dans le camp.

AFFLUER, survenir en grand nombre. Les pélerins affluent à Rome de tous les endroits de la chrétienté pendant l'année sainte. DICT. DE L'AC. AFFOIBLIR, v. a., rendre foible. Il se dit d'abord de l'affoiblissement des forces du corps et de l'ame. Les debauches affoiblissent le corps. Le vin, pris avec excès, affoiblit le cerveau, affoiUit la vue. L'âge affiblit l'esprit, affoiblit la

memoire.

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COR.

Sa perte m'affoiblit, et son trépas m'afflige. Ce renfort accepté pourroit nous affaiblir. Un traitre en nons quittant, pour complaire à sa sœur, Nous affoit bien moins qu'un làche défenseur. RAC Plus on veut l'affoiblir, plus il croit et s'élance. BoIL. AFFOIBLIR, pris dans le sens précédent et suivi d'un nom de chose inanimée.

« Tous les efforts de la violence ne peuvent « affaiblir la vérité. » PASC.

On vit de part et d'autre tout ce qu'on » affoiblit en le répétant. - Tant les hommes » vont toujours en affoiblissant la vérité. »

BossUET.

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Par le sacrifice de tant de braves gens, il » affoiblit les forces de l'Empire. Après tous » ces prodiges de valeur qui ne servoient qu'à » affaiblir ses forces. - Pendant que l'Etat avoit » été ainsi déchiré au dedans, il avoit été atta» qué et affaibli au dehors. Pour élever une » puissance que sou inférêt étoit d'affoiblir. » Il ne put relever un parti qu'il avoit affoibli » lui-même par la destruction de leur infante>> rie. » VOLT.

Je vous ai montré l'art d'affoiblir son empire. COR. Tant de précautions affoiblit votre régne. RAC.

LAISSER AFFOIBLIR.

« C'étoit mal pourvoir à la sureté de ses con » quètes, que de laisser affoiblir le courage de Boss.. » ses sujets. >>>

« S'il étoit honnête de les empêcher de se dé»truire, il étoit avantageux de les laisser affui» blir. >> FLECH.

« Le peuple laissant affoiblir sa première in» dignation contre les coupables. » D'AG.

S'AFFOIBLIR, v. pr., en parlant de l'affoiblissement des forces. corps et de l'ame. Il s'affiblit. Son esprit s'affoiblit. Ses forces s'affaiblissent

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» face par-tout. Quoique par-tout affoibli, il ré>>sistoit ou protégeoit, ou attaquoit encore par» tout. Le roi, affoibli par les représentations >> des princes, des ministres, retira sa parole. » VOLT.

Quoi, pour Britannicus votre haine affoiblie.
AFFOIBLI DE, AFFOIBLI DU.

RAC.

« Affoibli du passé, accablé du présent, on » est encore effrayé de l'avenir. >> FLECH. Aujourd'hai même encore de deux sens affoitli. B.

Dans ce second exemple, affoibli de est pour affoibli par la perte de. C'est ainsi que Virgile dit de Sergeste, au cinquième livre de l'Enéide: Amissis remis atque ordine debilis uno. Affoibli d'un rang de rames.

(Voyez les noms: Appui, ardeur, bonté, cause, confiance, don, droit, éclat, empire, force, fumée, gloire, gouvernement, innocence, joie, justice, langage, liberté, lois, nation, parole, parti, passion, pontificat, puissance, raison, royaume, sens, sincérité, rigueur, voix.)

AFFOIBLISSEMENT, s. m., diminution des forces. Il se dit des forces du corps, de celle de lesprit, de celles d'un état, d'un parti, etc. L'affoiblissement du corps, l'affoiblissement de la vue. L'affaiblissement de la voix. L'affeiblissement d'un parti. L'uffoiblissement des forces enDICT. DE L'ACAD.

nemies.

» Dans l'affoiblissement où vous m'avez ré» duit. >>> PASC. Boss.

« L'affaiblissement de cette foi. » « L'affoiblissement de la discipline commune. » FLECHIER.

« La Savoie s'étoit réunie à la France, et con>> tribuoit en Italie à l'offiblissement de la puis»sance autrichienne.- Des batailles dont tout » le fruit étoit l'affoiblissement des deux partis. » Il croyoit voir dans l'affaiblissement de la mai» son d'Autriche la liberté de l'Italie. - Ceux » qui attribuoient l'affaiblissement des sources » de l'abondance aux profusions, etc. » VOLT. AFFRANCHIR, v. a., mettre en liberté. Affranchir un esclave. Il se dit au figuré de l'alfranchissement d'une servitude quelconque.

« Brutus et Cassius crurent affranchir leurs ci>>toyens en tuant César. - Arbace affranchit les >> Mèdes. >>

Boss.

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