COR. COR. COR. COR. COR. Сов. RAC. Out voulu s'ennoblir par de si hauts projets. Le sang abject et vil de ces deux malheureux. Et ne prendra jamais un cœur assez abject Pour se laisser réduire à l'hymen d'un sujet. Dis que le nom de sujet Réduit toute leur gloire en un rang trop abject. Je ne veux pas d'un sang abject comme le tien. Les exemples abjects de ces petites ames. Le sang le plus abject vous étoit précieux. Ce sang si précieux quand il devient coupable, Devient le plus abject et le plus condamnable. VOL. Au contraire, cet autre abject en son langage Fait parler ses bergers comme on parle au village. Bot. Il n'est pas inutile d'avertir les étrangers que cet adjectif ne se met jamais qu'après son substantif. ABJECTION, s. f., dernier degré d'abaissemeut, état de mépris où est une personne. Il est tombe dans une telle abjection, que, etc. Vivre dans l'abjection. DICT. DE L'ACAD. «Avec combien peu d'orgueil un chrétien se » croit-il uni à Dieu ? avec combien peu d'ab»jection s'égale-t-il aux vers de la terre!» PASC. « Elle rend respectable l'abjection et la » vreté. Un devoir d'aimer leur abjection et >> leur indigence. » MASS. pau ABJECTION, bassesse méprisable. L'abjection de ses sentimens et de ses mœurs. DICT. DE L'Ac. « Si l'abjection de son état n'avoit pas mis le * frein de la honte et du respect sur sa langue. » MASSILLON. ABJECTION signifie rebut dans cette phrase de Ecriture-Sainte: L'opprobre des hommes et l'abjection du peuple. DICT. DE L'ACAD. Ce mot n'est point employé en poésie. ABJURATION, s. f. action par laquelle on renonce à une fausse religion. Il se dit en parlant de celui qui abjure, et de la chose qu'il abiure. Abjuration publique, solennelle.—Abjurution de l'héresie. Recevoir l'abjuration de quelqu'un. DICT. DE L'ACAD. «Faire abjuration de son hérésie. »> FLÉCH. « Il fit son abjuration entre les mains du vainFONT. Si j'eusse vécu, je vous aurois reçu à l'abju queur. >> ration.» FEN. | gion ou à une manvaise doctrine par serment et acte public. » Boss. « Abjurer saintement leurs erreurs entre les >> mains de ses aumôniers. «Ils abjurèrent publiquement leur hérésie. » FLÉCHIER. Ce verbe s'emploie quelquefois sans régime. « Depuis qu'il eut abjure entre les mains de >> son évêque. » DICT. DE L'ACAD. « On prit en province beaucoup d'enfaus pour » les faire abjurer. » VOLT. ABJURER s'emploie figurément, pour dire simplement, renoncer à. « Abjurer une opinion, un sentiment. - Il a » abjure Aristote, Descartes (c'est-à-dire, il a » abjuré la doctrine de, etc.) » DICT. DE L'AC. « Après avoir abjuré sa vie passée. — On abPASC. » juroit le monde. » «Porphyre en abjurant le christianis e. » Bos. « Après avoir solennellement abjuré a foi de >> Jésus-Christ. >> FL CH. ABNÉGATION, sub. fém., le renoncement à soi-même et le détachement de tout ce qui n'a point de rapport à Dieu. «L'exercice de cette abnégation qui fait le sou>> verain mérite du juste. S'exercer dans la >> pratique de la plus parfaite abnégation. - La » pratique de cette abnegation chrétienne qui consiste à porter sa croix et à mortifier son es» prit et sa chair. La loi de J.-C. est une loi » d'abnégation et de travail. - Pratiquer la pa» tience, la soumission et l'abnégation chré» tienne. Tout ce qu'inspire l'esprit de péni»tence et de l'abénégation chrétienne. » BOUR. «La prière, la retraite, l'abnégation d'elle» mème furent les règles de ses mœurs. — Il faut » pratiquer l'abnégation chrétienne. - Une lon» gue pratique d'abnégation dans les plus légères » occasions, La mortification des sens, l'abné»gation de nous-mêmes, voilà ce qu'il vient >> montrer aux hommes. - Si votre vie n'est pas » une confession continuelle de son nom et » comme un martyre perpétuel de foi et d'abné»gation.». MASS. , ABOI, s. m., bruit que fait le chien en aboyant. L'aboi de ce chien est fort importun. DIC. DE L'A.. Bien que de leurs abois il perçassent les nues. LA F. Les chiens qui dans les airs poussoient de vains abois.C. ABOIS, au plur., se dit proprement de l'extrémité où le cerfest réduit quand il est sur ses fins: le cerf est aux abois. DIC. DE L'AC. « Un homme qui court le sanglier, qui le met » aux abois, qui l'atteint. » LA BRUY. Ayant couru mainte aventure, LA FONT. AUX ABOIS se dit figurément d'une personne qui se meurt; et, par extension, d'une place, d'un état, et même des choses inanimées. « Assez impitoyable pour voir périr un pau»vre à leurs yeux, pour le voir presque réduit » aux abois, et prêt à rendre l'ame. « BOUR. « Défendre et abolir le duel dans ses états. » L'impératrice abolit tout-à-fait cet usage. >> Les lois fondamentales et primitives de l'état » qu'une coutume injuste a abolies. — Abolir la >> circoncision. >> PASCAL. « Les Athéniens abolirent la royauté.- Abolir >> les sacrifices impurs des païens, Il ne son» geoit qu'à abolir le nom romain - Abolir les >> victimes anciennes. Il abolit la mémoire >> d'un si infame jugement. - Les histoires se>>ront abolies avec les empires. » Boss. « Après avoir aboli la fureur des duels. » FLEC. «Abolir les scandales, les abus. - Des mœurs >> que le temps et les usages ont universellement » abolies. - Croyez-vous que des larmes de quel» ques jours expient, effacent, abolissent devant >> Dieu des crimes? etc. » MASS. (Voyez crime.) « Il abolit l'autorité du sénat, les supersti»tions même furent abolies,- Quand il résolut » d'abolir en France le calvinisme. » VOL. Voltaire a construit ce verbe avec un nom de personne : « Lorsque les jésuites ont été abolis.» priviléges, que des usages contraires, si » on les toléroit, aboliroient aisément. - A ce » nombre prodigieux d'intelligences, répandues » par-tout, il en ajouta qui président aux mou» vemens célestes et qu'on croyoit abolies pour >> jamais. >> FONTEN. Et quelque grand qu'il fût, mes services prèsens ...... Abolissant enfin d'impuissans sacrifices. RAC. RAC. VOL. RAC. le fils. >>> etc. >>>> VOL. « Je demande s'il y a dans l'église des per¬ sonnes sur qui vous puissiez faire tomber un » si abominable reproche. » « Leurs abominables sacrifices. >> PASC. FLÉCH MOL. VOL. « Ah! quel abominable maître je suis obligé de > servir. » Voilà, je vous l'avoue, un abominable homme. MoL. L'abominable arrêt de ce conseil farouche. Fais, d'un mensonge indigne abominable auteur. VoL ABOMINATION, s. f. détestation, exécration. « Avoir en abomination. Il est en abomination > à tous les gens de bien. >> DICT, DE L'ACAD. « Combien doit-elle avoir en abomination les > chutes et les rechutes des, etc. » PASC. ABOMINATION, action abominable. Commettre des abominations. DICT. DE L'ACAD. a Il n'importe que les tables de J.-C. soient >> remplies d'abominations. - Des abominations » suggérées par le dragon. » PASC. - - « Les abominations où tu es tombée n'ont été » punies que par cinquante ans de captivité.>>Bos. a Que de chutes honteuses! que d'abomina» tions secrètes! - Au milieu des abominations » de cette ville criminelle. — Malgré les désor>> dres et les abominations de toute sa vie. - Les » temples, asiles de toutes leurs abominations. »- Un corps souillé de mille abominations. » Il a vu les abominations en honneur. Des abominations qu'on n'oseroit nommer. Quand les abominations de Sodome furent » montées à leur comble. >> MASS. « Le supplice du feu dont Le Voisin et ses » complices furent punis, mit fin aux recher>>ches et aux crimes. Cette abomination ne fut » que le partage de quelques particuliers et »ne corrompit point les mœurs douces de la >> nation; mais elle laissa dans les esprits un >> penchant funeste, etc. » VOLT. ABOMINATION. Culte idolâtre des Gentils. Les abominations des Gentils. DICT. DE L'ACAD. a Au temps d'Isaac et de Jacob l'abomination » s'étoit répandue sur toute la terre. » PASC. a L'abomination des idoles. Participer aux abominations de Samarie. Reprocher aux » rois d'Israel l'abomination de leur veau d'or, »> MASSILLON. -- ABOMINATION DE LA DÉSOLATION, expression de Ecriture-Sainte pour désigner les plus grands exces de l'impiété et la plus grande profanation. « Quand vous verrez l'abomination de la déso»lation que Daniel a prophétisée. Cette abo»mination (dit Bossuet) prédite par Daniel, est » la même chose que les armées autour de Jéru> salem..... - Le mot d'abomination, dans l'u> sage de la langue sainte, signifie idole. Les ar» mées romaines portoient dans leurs enseignes » les images de leurs Dieux et de leurs Césars. » Ces enseignes étoient aux soldats un objet de calte; et parce que les idoles, selon l'ordre de >> Dieu, ne devoient jamais paroître dans la Terre-Sainte, les enseignes romaines en étoient » haunies..... Quand Jérusalem fut assiégée, elle étoit environnée d'autant d'idoles qu'il y > avoit d'enseignes, et l'abomination ne parut > jamais tant où elle ne devoit pas être, c'est-à» dire dans la Terre-Sainte et autour du > temple. >> Boss. Ce mot n'est point employé par les poëtes. « Ce présent perdoit son prix par son abon» dance. - Dans l'abondance des délices de la vie. Quand les biens sont promis en abonPASC. -(( » dance. » « Un fleuve majestueux et bienfaisant qui » porte paisiblement dans la ville l'abondance Notre » qu'il a répandue dans les campagnes. » vanité se repaît de cette vaine abondance. >> Jouir d'une fausse abordance. » MASS. « On voit la paix et l'abondance dans la ville » et dans le pays. L'abondance est dans les » villes et dans les campagnes. L'abondance » avoit introduit trop de déréglement dans les Paroles qu'on voyoit sortir de l'a» bondance de son cœur. >> Boss. >> mœurs. « Les forces et l'art de la mer ont mis et la >> souveraineté et l'abondance dans un pays que, MASS. >>> etc. >>> « Il n'avoit pensé en mourant qu'à laisser la » paix et l'abondance à ses sujets. Ses peuples » vivoient dans la paix et dans l'abondance » Un fleuve qui porte par-tout la richesse et l'a>> bondance. Il fit, malgré les saisons, naitre » par ses soins l'abondance. Avares dans leur » abondance. - Craignant moins la nécessité que » l'abondance. Dans l'abondance de vos larmes » éteindre les feux d'une guerre que, etc. L'a>>bondance de ses aumônes. >> FLECH. -(( « Remarquer la joie et l'abondance répandues » dans la campagne. Ils jouissent de l'abon» dance. Il les laisse dans l'abondance, et cette » abondance ne les rend ni indociles ni insolens. Ils répandent par-tout la commodité et » l'abondance. Vous aurez au-dedans de ce » heau pays la paix, la gloire et l'abondance. Appliquez-vous à les mettre dans l'abon» dance. -Cette abondance fut diminuée par, Ils seront dans la paix et dans l'abon» dance. Préparer l'abondance. Il laissa les » peuples daus l'abondance. » « Rome goûta sous lui l'abondance, les plai» sirs et la paix. » - VOLT. a Leur portant la liberté, la paix et l'abon» dance. Des temps plus heureux ramènent » l'abondance. Rendez la paix à nos villes, » l'abondance à nos familles. Répandre l'a»bondance de ses dons sur tout l'univers. >> Voir revivre sous son règne l'abondance, la >> paix, etc. Ses inquiétudes naissent de son » abondance. Environné de gloire, de plaisirs » et d'abondance. Votre abondance est le pa>>trimoine des malheureux. Modérer l'abon» dance de ses larmes. Etre dans la famine et » dans l'abondance. Vivre dans l'abondance. Ne dans l'abondance, - Malheureux au mi» lieu mème de nos plaisirs et de notre abon» dance. Naitre au milieu de l'éclat et de l'a» bondance. Le retour de l'abondance. Le » règne de l'abondance L'abondance des uns » supplée à la nécessité des autres. » MASS. (Voyez le verbe mesurer et l'adjectif abondant). >> - -- EN ABONDANCE, pour abondamment. « Avoir en abondance. - Couler en abondance. -Donner en abondance, fournir en abondance, » se trouver en abondance.» FLECH., MASS., etc, « L'abondance où il se trouvoit, et par un >> grand patrimoine, et par l'emploi qu'il en » faisoit, augmenta encore par la sage simpli» cité de sa vie, et ne lui offroit pas inutile»ment les moyens de faire du bien,» FONT. » L'état de Florence jouissoit de la tranquil»lité et de l'abondance. Il a procuré à ces » peuples l'abondance qu'ils ne connoissoient >> plus. Loin que l'abondance et les délices » aient amolli les habitans. Mettre les ar»mées florissantes des alliés dans l'abondance. » VOLTAIRE. (Voyez canal. ) Elle trouve dans le simple retranchement » du superflu la source innocente de son abon » dance.» (Voyez grandeur. ) DAGUES. RAC. BOIL. Pour elles à sa porte élevant ce palais, Fera renaître pour jamais Les délices et l'abondance. Rouss. Cette mer d'abondance où leur ame se noie. Rouss. Tu feras fleurir l'abondance. Rous. Rous. ROUS. >> sert. Faites régner sur nous l'abondance et la paix. Rous. Une abonFONT. VOLT. « Ce qui nuit est plus abondant que ce qui Un nombre encore plus abondant. - .... Il arrive à cette ville immense, Où la liberté seule entretient l'abondance. Colbert, c'est sur tes pas que l'heureuse abondance, Fille de tes travaux, vint enrichir la France. VOL. VOL. » Paturage abondant. Nourriture, source, >> subsistance abondante,» BUFF. Biens plus Consola Douleur abondante. » dante. ». Tristesse trop abon MASS. Abondant se dit aussi d'un auteur. « Plus fécond, plus abondant que Platon.. >> Les scoliastes eux-mêmes demeurent courts, » si fertiles d'ailleurs, si abondans. » LA BR. «M. Parent étoit si abondant, que, etc. » FONT. C'est donc à tort que le Dictionnaire de l'Académie prétend qu'on peut bien dire cet auteur est abondant en paroles, en comparaisons; mais qu'on ne peut pas dire sans régime : C'est un auteur abondant. ABONDER, v. n., avoir en grande quantité, produire abondamment. Abonder en richesses. Cette province abonde en blé, en vin, en soldats. DICT. DE L'ACAD. « Il abonde en superfluités. » hommes abondent de biens. >> « Qui abondoient en grace et en >> prit saint. >> Si quelques LA BRUY. vertu de l'esMASS. « Les miracles y abondoient avec les vertus. >> Contente de son pays où tout abondoit. » Boss. « Que vos faveurs abondent où vos châtimens >> avoient abondé. » MASS. VOL. « Tout abondoit dans son camp. » Depuis que la richesse entre ses mains abonde. COR. Dans sa charité fausse où l'amour propre abonde. B. ABORD, s. m. Accès. Il se dit proprement des ports où les vaisseaux peuvent mouiller. Ce port est d'un facile abord, est de difficile abord. DICT. DE L'ACAD. « Un nouveau monde inconnu jusque-là, » d'un abord difficile. » FONT. « Cette ile dont l'abord est très-difficile. >> VOLT. Et d'un bras qui portoit la terreur et la mort, «A son abord en Afrique. » Boss. « L'abord étoit aisé: il n'y avoit de l'autre > côté de l'eau que quatre à cinq cavaliers. » Le port d'Archangel, dont l'abord exigeoit un >> circuit long et dangereux. >> Leur abord fut bien prompt,leur faite encor plus prompte. VOLT. COR. Ces rapides coursiers qui sous eux font la guerre, Pouvoient à leur abord épouvanter la terre. VOL. ABORD, se dit figurément en parlant des personnes qu'on aborde. L'abord de cette personne est fort difficile. Cette personne a l'abord facile, gracieux. Cet homme a l'abord rude, facheux. Craindre l'abord de quelqu'un. Abord doux, enDICT. DE L'AC. gageant. -- « Il est d'un abord farouche et difficile. LA BRU. « Il connoissoit les deux visages de la justice, >> l'un facile dans le premier abord, Tautre sé>> vère et impitoyable. Il pourroit sembler au >> premier abord, que la voix commune de la >> nature devroit décider cette question. » Bos. « Un abord charmant, quand il vouloit se » laisser approcher.-Ne cherchant pas dans un abord inaccessible, le secret d'ignorer les maux » publics. » MASS. Rouss. Et par cet abord plein de grâces. ABORD, une affluence, ou de personnes ou de choses qui arrivent. Il y a un grand abord de monde en cette maison, en cette ville. - Il y a un abord de toutes sortes de marchandises dans cette ville. DIC. DE L'ACAD. «La ville devoit à son temple ses priviléges, » et l'abord des étrangers dont elle étoit enri>> chie. >>> Boss. «La ville régnante, l'abord de toutes les na» tions, et qui rassemble le choix, comme le » rebut de toutes les nations. » MASS. D'ABORD, expression adverbiale, dès le premier instant, tout de suite, sans délai, aussitôt. «Ceux qui ne comprennent pas d'abord cette >> double infinité. » PASC. « Vous comprenez d'abord que ce n'est pas là » l'intention de l'église. » MASS. « Cette nation grave et sérieuse connut d'a>> bord la vraie fin de la politique. - Et d'abord >> il savoit connoitre, même sous les fleurs, la >> marche tortueuse de ce serpent.-Il attaque » Carthage-la-Neuve, et ses soldats l'emportent » d'abord. » Boss. « Je ne puis vous donner d'abord une plus » haute idée de mon sujet, qu'en, etc. » FLECH. « Ames oisives, sur lesquelles tout fait d'abord >> une vive impression. » LA BRUY. a Télémaque le reconnut d'abord. » FEN. « Si tout réussissoit d'abord au gré de notre » zèle. Ce talent de saisir d'abord le ridicule. » MASSILLON. RAC. L'amour m'en ent d'abord inspiré la pensée. D'ABORD, dans le commencement, dans les premiers momens, dans les premiers temps: dans ce sens il est ordinairement opposé aux adverbes, après, ensuite, enfin, à la fin. « D'abord il ne savoit quel parti prendre, >> mais il se résolut enfin, etc. » PASC. >> Commencemens heureux d'abord, pleins » ensuite de maux infinis. - David régna d'a» bord sur Judas, ensuite il fut reconnu par |