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(Voyez les noms aveu, bras, branche, couronne, glaive, gloire, grace, guérison, larme, lit, main, parole, passion, plainte, proie, secret, scandale, soupir, victoire, vie.)

ARRANGEMENT, s. m. ordre, état de ce qui est arrangé. Arrangement de livres. Arrungement de vases, de porcelaines, de tableaux. Il y a du goût dans l'arrangement de ces meubles. DICT. DE L'ACAD.

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,

« Lorsqu'il tira tout du néant et qu'il >> donna à tous les êtres cet arrangement que » la durée des siècles n'a pu altérer. Ils trou» vent dans l'arrangement d'une vie uniforme - Celui qui sut vet occupée, cette paix, etc. » tirer du premier chaos l'harmonie et l'ordre » de l'univers saura bien tirer du trouble » même et de la confusion où sont la plupart >> des peuples et des états de l'Europe, l'arran»gement qui doit y rétablir l'ordre et la tran>> quillité. >> MASS.

ARRANGEMENT, disposition, ordre qu'on observe dans un discours, en mettant chaque terme à la place qui lui convient. L'arrange ment des paroles contribue à la clarté, à la beauté du discours. DICT. DE L'ACAD.

« Cette méthode, qui par le seul arrangement >> des pensées et des preuves, opère infaillible»ment la conviction. » D'AGUES.

ARRANGEMENT, louable économie, esprit d'ordre dans la dépense. Cet homme manque d'arrangement. Il faut mettre de l'arrangement dans ses affaires.

ARRANGEMENT, conciliation. Faire un arrangement entre deux personnes. DICT. DE L'ACAD. ARRANGEMENT, mesure qu'on prend.

-

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. Dans

« Ce n'étoit pas rendre justice au prince Eu» gène, de supposer qu'une femme pût avoir » part à ses arrangemens de guerre. » l'impuissance où il étoit de faire des arran» gemens par lui-mème, il les recevoit de plu» sieurs mains subalternes. Epuisé des fati>>gues que demande l'arrangement d'un si grand » jour (d'un jour de bataille ). - Il prit ses » arrangemens en conséquence. »> ARRANGER, v. a., mettre dans l'ordre convenable. Arranger des livres. DICT. DE L'ACAD.

VOLT.

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<< Quinze cents chambres mêlées de terrasses » s'arrangeoient autour de douze salles. >> BossUET.

S'ARRANGER, en parlant du style. «Se former comme une espèce de moule où >> toutes nos pensées s'arrangent d'elles-mêmes. » D'AGUESSEAU.

Son sujet de soi-même, et s'arrange et s'explique. B. ARRANGÉ, ÉE, part.

« Et cette terre arrangée sous une telle main, >> reçoit la, etc. » (Voyez terre.) Et dans un sens figuré.

« Qu'ont gagné les philosophes avec leurs » discours pompeux, avec leurs raisonnemens » si artificieusement arrangés? » Boss.

ARRÈT, au propre. Jugement d'une cour d'une justice souveraine, par lequel une question de droit ou de fait est décidée. Arret du conseil. Arrêt du parlement. Arrét solennel. Arret de mort. Arret d'absolution. Poursuivre un arret. Prononcer un arrêt. Rendre un arrét. Dresser un arrét. Obtenir un arret. Casser un arrét. Se pourvoir contre un arrêt. Exécuter un arret. En execution de l'arrêt. Porter un arrét. L'arrêt porte DICT. DE L'ACAD. que, etc. « Assister à un arrêt de mort. - L'arret qui >> fut rendu le justifie pleinement.- Faire révoPASC. » quer cet arret. »

«Chacun voudroit lui dicter l'arret qu'il se » dresse lui-meme daus son esprit, selon sou » caprice. C'est là qu'il prononçoit des arrets » de miséricorde. Le vit-on donner arret >> contre arrét, et confondre les droits et les >> espérances des parties, etc. »> FLECH. « Il prononcera en souverain leur arret déci>> sif. Il perd la vie par un arret public » d'Athenes. - Un souverain dont la courone »> ne put mettre la tête sacrée à couvert de » l'arret inoni qui le condamna à la perdre. »

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ARRET, saisie, soit de la personne, soit des biens. On a fait arrêt sur sa personne et ses biens. Mettre en arrêt un homme entre les mains d'un huissier.

On dit en termes de guerre: Mettre aux arrêts, ordonner à un homme de guerre de ne pas sortir de chez lui, et garder ses arrêts, pour dire, ne point sortir du lieu où l'on est aux arrèts. Etre aux arrêts dans sa chambre. On dit: rompre les arrets, pour dire, sortir avant le temps du lieu où l'on est aux arrêts; et lever les arrêts, pour dire, en révoquer l'ordre.

On disoit anciennement: Mettre en arrêt. « Le roi le fit mettre en arrét dans votre mai» son. >>> PASC.

ARRÈT, se dit aussi de la pièce du harnois où un chevalier appuyoit et arretoit sa lance pour rompre en lice ou autrement. Mettre la lance en arrét.

Il se dit aussi d'une petite pièce de fer qui arrête le ressort d'une arme à feu, et qui l'empêche de se débander. Ce pistolet est en arret. Il se dit aussi d'une petite pièce qui empêche que le mouvement d'une horloge n'aille trop vite. L'arrêt d'une horloge.

ARRÊTÉ, s. m., résolution prise dans une compagnie. C'est un arrêté de l'assemblée. DICT. DE L'ACAD.

ARRÊTER, v. a., empêcher la continuation d'un mouvement, le cours, les progrès de quelque chose, l'écoulement de quelque matiere liquide. Arréter un homme qui s'enfuit. Arreter un cheval. Arrêter l'eau. Arrêter le sang.

DICT. DE L'ACAD.

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ARRÊTER, au fig., suivi d'un nom de chose. Réprimer, faire cesser, empêcher.

- Les

« Il est temps que j'arrete une fois pour toutes » cette hardiesse qui, etc. Cette disposition »arretera les plaintes et les murinures. >> remords de la conscience, qui arrêtent la plu» part des crimes dans leur naissance. >> PASCAL.

« Les conquêtes de Nabuchodonosor, et d'Ho»lopherne, son général, furent tout à coup » arretes par la main d'une femme. » Boss.

« Combien de désordres a-t-elle arretés, moins » par la force de ses corrections, que par la » persuasion de son exemple. Par la sévérité » de ses lois, il arretoit le désordre et l'impiété. >> Un rayon de majesté et de vertu que Dieu » fit luire sur son visage, arreta la fureur de » ces barbares. Pour arreter la fraude et la >> violence. Arreter le luxe des particuliers » et les dissipatious publiques. >> FLECH. « Arrêter la fureur et les ravages des deux » princes barbares. » MASS.

Et votre dureté
Auroit dù dans son cours arréter ma bonté.
La honte de mourir sans avoir combattu,
Arréte leur désordre.

Enfin, pour arrêter cette lutte barbare.
Enfin de la licence on arrêta le cours.
Il arrête le tonnerre

Dans la main du roi des dieux.

ARRÊTER, retarder.

RAC.

COR.

BOIL.

Rouss.

« Un style de déclamateur qui arréte l'action.» LA BRUYÈRE. ARRÊTER, fixer, retenir.

« Je vois des multitudes de religions sur la << terre ; mais elles n'ont ni morale qui puisse >> me plaire, ni preuves qui puissent m'arreter.»> PASCAL.

«Sans que vos discours arrêtent son esprit >> distrait. >> Boss. «Il essava de les arréter par un lien plus » fort. » (Voyez le mot avenir.) FEN. Mon esprit rompt le piège où l'on veut l'arrêter.

ARRÊTER, interrompre quelqu'un.

B.

« Le bon père m'arreta là-dessus. » PASC. «En cet endroit, Mentor arreta Idoménée. » FÉNÉLON.

ARRÊTER SUR. Arréter ses yeux, ses regards sur quelque chose. Arreter sa pensée sur quelque chose. DICT, DE L'ACAD.

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BossULT.
FEN.

COR.

« Le roi veut qu'on l'arrête. » Se voyant arrêté, la trame découverte. Je vois Pallas banni, votre frère arrété. Pharnace cependant, par son ordre arrété. RAC. ARRÊTER, résoudre, déterminer quelque chose. Qu'a-t-on arrété dans cette conference? On a arrélé que l'on commenceroit, etc. Il a arrété dans son esprit de donner sa démission. Arréter une marche, un plan de conduite. Voilà ce que nous avons arrété ensemble. DICT. DE L'AC. « Quand le temps arrêté par sa providence, » pour, etc. »> Boss.

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Apollon éperdu,

RAC.

Semble me dire, arréte, insensé, que fais tu ? BOIL. Arrête, peuple impie, arrête. ROUSS. S'ARRÊTER, v. pr., cesser d'aller. Il marchoit à grands pas, mais il s'arrêta tout d'un coup. Le soleil s'arrêta à la voix de Josué. DICT.

« Le soleil s'arrêta au milieu du ciel. » Boss.
« Vous l'abordez, et il ne s'arrête pas. — []
» tient le milieu en
se promenant avec ses
» égaux ; il s'arrête, et l'on s'arrête. » LA BR.
« Les créatures les plus insensibles s'arretent
» ou se meuvent à la volonté d'un homme
>> mortel. »
FLECH.

Ils s'arrêtent, non loin de ces tombeaux antiques.
Il fallut s'arréter, et la rame inutile.

S'ARRÊTER, au figuré.

RAC.

Qui s'ar

« Ils savent s'arrêter où il faut. » réte, fait remarquer l'emportement des au>> tres. - Si notre vue s'arrête là, que notre >> imagination passe outre. »

« Ses regardsne s'arrétoienten aucun endroit.»

PASC.

FENELON.

Ma cruauté se lasse, et ne peut s'arrêter.
Je m'arrête à l'instant, j'admire, et je me tais.
Là s'arrête Thémis. La piété charmée

COR.

Sent renaître la joie, etc.

BOIL.

temps dans un lieu sans en sortir. Nous nous
sommes arrétés quelque temps chez lui.
DICT. DE L'ACAD.

,

S'ARRÊTER À, ou sur se fixer, se déterminer. Après avoir écouté différentes propositions, il s'arréta à la première. DICT. DE L'ACAD. «Ils se sont attachés à ces objets, pour moi » je n'ai pu m'y arréter. »

PASC. « Voyez comme il s'arrête sur ce doux objet. » BOSSUET.

«Il passa à l'école de Platon, et s'arréta >> ensuite à celle d'Aristote. >>

LA BRUY.

« Passer au travers des choses créées, sans s'y FLÉCH.

» arrêter. »

S'ARRÊTER À, ne pas aller au-delà de. Il s'arrête à des apparences. DICT. DE L'ACAD.

« Ils ont voulu que les hommes s'arretassent à » eux. Les juifs s'arrétant au sens littéral. » PASCAL.

« Il est difficile que leur esprit ne s'arrête à » cette multiplicité d'affaires qui les occupe, » ou à la complaisance de cette autorité qui les » distingue. -Ledéfaut de trop s'arreter à leurs » propres lumières. >> FLECH.

Ses transports dès long-temps commençent d'éclater,
A d'inutiles cris puissent-ils s'arrêter,

Je ne m'arrétois pas à des vœux impuissans. RAC.
S'ARRÊTER À, avoir égard, faire attention.
Il ne faut pas s'arreter à ce qu'il dit. DICT.
« S'arreter aux nouvelles opinions des
» suistes. Dieu ne s'arrete qu'à l'intérieur
PASCAL.

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« Dois-je m'arréter ici à ces deux actions par» ticulières. >>> Boss. « Sans m'arrêter à ce qu'elle a d'antique et » de curieux (la cérémonie de la bénédiction >> des drapeaux.) » MASS.

S'ARRÊTER À, suivi d'un infinitif. «Des circonstances que je ne m'arrête pas à >> rapporter. Que l'homme ne s'arrête done >> pas regarder uniquement les objets qui » l'environnent. » PASC.

« Je m'arrête à considérer les vertus de Phi>> lippe. >> Boss.

« Je ne m'arrêterai pas ici à vous décrire sa >> conduite, etc. >> FLECH. S'ARRÊTER, en parlant de deux personnes dont l'une arrête l'autre.

L'un et l'autre rival, s'arrétant au passage,
Se mésurent des yeux, etc.
ARRÊTÉ, ÉE, part.

BOIL.

« Un torrent arrété par une forte digue. » FÉNÉLON. «Que de malheurs prévenus? que de crimes >> arretés?»> MASS.

(Voyez ci-dessus d'autres exemples au propre et au figuré.)

(Voyez armée, bras, circonstance, colère, complot, conquéte, coup, cours, déluge, dessein, douleur, époque, espérance, fuction, feu,

'ARRÊTER, larder, s'amuser, rester quelque flatterie, fortune, fondre, humeur, impétuosité,

insolence, louange, main, mal, murmure objet, passé, pente, piége, pleurs, poursuite progrès, protection, rapidité, regard, rebellion, sang, talent, temps, torrent, vertu, violence, usurpation, yeux.)

ARRIÈRE, adv. de lieu, s'emploie ordinairement avec la proposition en. Aller en arrière. Retourner en arrière. Faire un pas en arrière. DICT. DE L'ACAD.

«Dieu regarde la Pologne en pitié, sa » main puissante ramène en arrière le Suédois >> indompté. >> Boss.

Dieu ne veut point d'un cœur où le monde domine, Qui regarde en arrière. ...

Pégase s'effarouche et récule en arrière.

COR.

Et ton corps goutteux, plein d'une ardeur guerrière, Pour sauter au plancher, fit deux pas en arrière. BOIL. Vous les eussiez vu tous retournant en arrière. RAC

(Voyez carrière.)

Heureux alors, qui tournant en arrière

Un regard sur les pas de toute sa carrière.

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L. RAC.

ARRIÈRE- NEVEU 8. m. le fils du neveu. C'est son arrière-neveu. On dit dans le style soutenu : Les arrière-neveux, pour dire, la postérité la plus reculée. DICT. DE L'Ac. « Nos arrière-neveux venus de ces mariages >> qu'il favorise, lui devront tout, jusqu'à leur >> naissance. >> FÉN. Mes arrière-neveux me devront cet ombrage. LA F. ARRIVÉE, s. f., action d'arriver, le temps où une personne arrive en quelque endroit. Son arrivée m'a fait grand plaisir. Je me trouvai à son arrivée. Depuis son arrivée. DICT.

« A son arrivée (à l'arrivée du Messie) le >> sceptre devoit être ôté de la maison de Juda.» PASCAL.

« La cour qui lui préparoit à son arrivée les >> applaudissemens qu'il méritoit. A l'arrivée » de la reine, la rigueur se ralentit.-Comme >> un esclave qui craint l'arrivée d'un maître >> facheux. »

Boss.

Il se dit aussi des choses. A l'arrivée de ces marchandises.

ARRIVER, v. n. (dans son acception primitive), aborder, approcher de la rive. La tempéte nous obligea de relâcher, et nous arrivâmes à une plage déserte. Arriver au port. Il se dit en termes de marine, en parlant d'un vaisseau qui vient sur un autre. Ce vaisssau arriva sur l'autre et lui lacha toute sa bordée. Deux vaisseaux sont arrivés sur nous. DICT. DE L'ACAD.

ARRIVER, signifie plus ordinairement parvenir à un lieu où l'on vouloit aller. Arriver à Paris. Arriver de bonne heure. Arriver tard. Arriver dans sa patrie, dans sa maison. Il se dit aussi des marchandises qui viennent par terre ou qui abordent par eau. Dès que ces marchandises seront arrivées. DICT. DE L'ACAD.

ARRIVER, s'emploie d'abord sans régime. << Pendant que sa voix se ranime en louant » le roi, le prince de Conti arrive pénétré de » douleur et de reconnoissance. » Boss.

« Il arrive, a peine ose-t-il lever les yeux. » FÉNÉLON.

« Le priuce Eugène arrive à la hate. » VOLT. Et dans le sens figuré :

Tout d'un coup on voit arriver le moment

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« Colbert arriva au maniement des finances, » avec de la science et du génie. »

L'empire où sa vertu l'a fait seule arriver. Dans ce comble de gloire où je suis arrivée. (Voyez trouble, temple.)

VOLT.

COR.

RAG.

ARRIVER À, Suivi d'un nom de personne: « Celui-là est ouvert par mille foibles qui » sont connus; on arrive à lui par toutes les » femmes à qui il veut plaire. » LA BRUY. Pascal a dit: Arriver à Dieu. (Voyez aspirer.) ARRIVER À, Suivi d'un infinitif.

Ils ont voulu comprendre les principes des >> choses, et arriver jusqu'à connoitre tout. » PASCAL.

« Il arrive jusqu'à donner en revenu, à l'une » de ses filles, pour sa dot, ce qu'il désiroit >> lui-même d'avoir en fonds pour toute fortune >> pendant sa vie. »> LA BRUY. ARRIVER, en parlant des événemens, de ce qui se passe parmi les hommes.

« Tout ce qui est arrivé a été de tout temps » présent et préordonné en Dieu. - Ce que les » prophètes ont prédit devoit arriver. »

PASCAL.

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« Vons est-il jamais arrivé de repasser, etc. Lorsqu'il lui arrivoit de se laisser emporter » à sa passion. » MASS.

« Il arriva à la médecine, comme à la phi»losophie, d'atteindre à la perfection, etc. » VOLTAIRE.

IL ARRIVE QUE.

--

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« Il arrive souvent que l'on prend, etc. » peut néanmoins arriver que ce discours ne PASC. » sera pas entièrement inutile. »>

« De là il est arrivé qu'en méprisant la haine » de ceux, etc., dont il lui falloit combattre » les prétentions, il en acquéroit l'estime. » Il arriva à la fin que tous les sujets de l'em»pire se crurent romains. Il arriva dans ce » temps-là que le jeune Cyrus se révolta contre » son frère. >>> Boss.

«Si l'âge des hommes eût pu s'étendre à un » plus grand nombre d'années, il seroit arrivé » que leur vie auroit été cultivée par une doc»>irine, etc. Il peut arriver que la gloire sera » votre récompense. (Voyez ci-dessus un exem» pie d'un semblable futur après le que.) » S'il arrive que l'on plaise. » LA BRUY. «S'il arrive que vous condamniez cette action.>> VOLTAIRE.

S'il arrive qu'Auguste avec lui la punisse.
ARRIVÉ, EE, part.

COR.

« Les malheurs arrivés au Japon. Jusqu'à » sa mort arrivée en 1719, le 15 d'avril. » VOL. (Voyez année, avenir, aumone, bonheur

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