-

» l'Eglise que sans Dien on ne peut rien. » PASC. « Il apprend aux hommes cominent ils doivent » réprimer les abus. Son père Antonin lui » avoit appris qu'il valoit mieux sauver un >> seul citoyen que de défaire mille ennemis. Une longue expérience avoit appris aux » Romains que, etc.-La philosophie leur avoit » appris que, etc. Mon exemple doit vous » apprendre que, etc. Ils oublierent non» seulement leur ancienne langue, mais encore » le chaldéen, que la captivité leur avoit appris. - Un livre parfait, qui lui apprenoit tout » ensemble son origine, sa religion, sa police, » ses mœurs, sa philosophie, tout ce qui sert » à régler la vie, etc. Pour comble de mal» heur, les guerres d'Asie apprirent le luxe aux » Romains. Ils ont été obligés de recourir à >> l'arpentage, qui leur a bientôt appris la géo» métrie. »>

>>

Boss.

« Il leur est une leçon constante, qui leur » apprend qu'on peut vivre gaiement et laboLA BR.

>> rieusement. »

- La

« Il lui apprenoit ses devoirs.-Leur apprendre » l'art de se faire aimer. (Voyez art.) L'écri»ture ne nous apprend-elle pas que la piété >> n'est pas incompatible avec les armes. » foi nous apprend que, etc. La philosophie > nous apprend que l'esprit et la sagesse sont » de tout sexe. L'expérience nous apprend >> encore que Dieu suscite de temps en temps » des femmes fortes, etc. >> FLECH.

-

<<< Tant de malheurs ne vous ont pas encore » appris ce qu'il faut faire, etc. » FÉN.

« Ils apprennent les règles de la vertu à ceux >> qui les ignorent.— En surpassant même ses » sujets dans la simplicité de ses habits et dans » la frugalité de sa table, il nous apprenoit que >> l'usage n'est une loi que pour ceux qui l'ai»ment, et que ce sont les passions des hommes, » et non leur rang et leurs dignités, qui ont >> rendu le luxe et les profusions nécessaires. - Elle seule (la religion) vint apprendre aux » hommes que l'humilité, la charité, etc., » pouvoient être assises sur le trône. » iure le leur a appris (ce dogme) sans le secours >> des maitres. La structure admirable des » cieux le leur apprenoit assez. » Recule, ils t'ont appris ce funeste chemin. (Voyez pouvoir.)

- ((

-La na

MASS.

RAC.

Seuls dans leurs doctes vers ils pourront vous apprendre, Par quel art sans bassesse un auteur peut descendre.

........

Qu'un paresseux t'apprenne,

Antoine, ce que c'est que travail et que peine. Bo1L. Tout ce que m'ont appris mes oreilles, mes yeux. L. R. APPRENDRE À......À. Apprendre à quelqu'un à faire une chose, dans le sens précédent.

« On n'apprend pas aux hommes à être hon» nêtes gens, et on leur apprend tout le reste. Les maux qu'il m'a appris à souffrir par » son exemple. PASC. «Saint Grégoire les instruisoit par des lettres, » etc., et apprenoit à saint Augustin à trembler » parmi les miracles continuels que Dieu fai» soit par son ministère. La première guerre » punique apprit aux Romaifs à combattre sur » mer. — II ( Alexandre) laissoit des capitaines » à qui il avoit appris à ne respirer que l'am»bition et la guerre.--Une reine si prévoyante

APP

-

»ne songea pas qu'elle apprenoit à ses ennemis » à prendre sa ville. L'aumône lui apprenoit » se retrancher tous les jours quelque chose » de nouveau. »

Boss.

« Cetartambitieux, qui apprend aux hommes » à louer des hommes. Elle veut qu'on leur » apprenne à faire d'un supplice forcé, une ex» piation volontaire de leurs crimes. Après » avoir essayé d'apprendre à vivre à un roi » de Naples, etc. » (Voyez art.) FLÉCH.

« Il lui apprend à se supporter lui-mème.. » Par le regret que vous témoignez de la perte » d'Ulysse, vous m'apprenez vous-même à sen» tir le malheur de ne point retrouver mon » père. » FÉN.

« Il vous apprendra à devenir le plus grand >> roi de votre siècle.- Apprendre aux hommes » à s'exterminer les uns les autres.- Leur faire >> sentir qu'ils sont grands et leur apprendre à » l'oublier. — On leur apprit à connoître un » Dieu, à l'aimer, à le craindre. - Apprenant » aux Allemands à mêler la valeur qui leur » est commune avec nous, à l'humanité qui »> nous est propre. Ces paroles sont les pre>> mières qu'on nous apprend à former, avant » même qu'on nous ait appris à les entendre. Cette philosophie apprenoit à l'orgueil à >> cacher, et non à surmonter ses foiblesses. >> MASSILLON.

«Ne se rencontrer que pour se dire des riens, » que pour s'apprendre réciproquement des >> choses dont on est également instruit. » LA BRUYERE. S'APPRENDRE, dans un sens passif, être appris. « C'est là que s'apprennent tous les usages » du luxe, de la vanité, de l'ambition. » FLÉCHIER.

(Voyez art, artifice, chute, devenir, dignité, discipline, estime, fait, grandeur, guerre, Lurgue, langage, loi, maxime navigation, nowvelle, sagesse, science, principe, règle, texte

peu habile dans les choses dont elle se mêle. Ct homme n'est qu'un apprenti à la guerre. Cette femme n'est qu'une apprentie en intrigue. Il fait le docteur, ce n'est qu'un apprenti.

Ce terme est du style familier, badin et critique. Dans le style sérieux ou relevé, on dit nieux nocice. DICT.

APPRENTISSAGE, s. m., l'état, l'emploi, l'occupation d'un apprenti. Dans un tel métier, lapprentissage est difficile, long, laborieux. Mettre un jeune homme en apprentissage. Il fait son apprentissage sous un marchand. Etre en apprenLssage. Sortir d'apprentissage. Il se prend aussi pour le temps qu'on met à apprendre un métier. Durant son apprentissage. DICT. DE L'ACAD. « Il n'y a aucun métier qui n'ait son appren» tissage. » (Voyez métier.) LA BRUY.

de

On dit, faire l'apprentissage de la guerre, la politique, etc., pour dire, en prendre les premieres leçons. Faire l'apprentissage du mé Lier des armes, des travaux guerriers. On dit aussi, faire l'apprentissage du crime, de la perfilie, pour dire, en faire les premiers essais. DICT. « L'intendant à qui la divine providence » faisoit faire un léger apprentissage des affai>> res d'État. >>>

Boss.

« L'essai et l'apprentissage d'un jeune adoles» cent qui passe de la férule à la pourpre, est » de décider souverainement des vies et des for» tunes des hommes. >> LA BRUY.

« Il n'y a point pour eux d'essai ni d'apprentissage. Ces rechutes, ces agonies fréquentes > ne lui servoient-elles pas comme d'apprentis»sage à bien mourir. » FLÉCH.

« Dans les rigueurs de l'abstinence faire l'ap>prentissage du martyre. »

MASS.

Et qui sur un époux fit sou apprentissage,
A bien pu sur un fils achever son ouvrage.
CORNEILLE, (cinquième acte de Rodogune.)

Voudrois tu qu'à mon âge,

Je fisse de l'amour le vil apprentissage.

.. Qui, par un long usage,

Le Bosphore m'a vu, par de nouveaux appréis,

Ramener la terreur du fond de ses marais.
Faire de votre mort les funestes apprêts.

RAC

Mais je sais qu'ici-bas, sans faire tant d'apprêts, La vertu se contente, et vit à peu de frais. Tout, saus faire d'apprêts, s'y prépare aisément. BOIL. Princes, que pensez-vous de ces apprêts terribles. R. APPRÊT, se dit aussi de l'assaisonnement des viandes. L'apprêt des viandes coûte d'ordinaire plus que les viandes mêmes. DICT. DE L'ACAD. APPRÊT, se dit au figuré, de l'esprit, du style, des manières, pour désigner un peu d'affectation. Un esprit plein d'apprêts. Il y trop d'appret dans son style. L'appret de ses manières fatigue.

a

DICT. DE L'ACAD.

APPRÈTER, v. a., préparer, mettre en état. Apprêtez-moi tout ce qu'il faut pour mon voyage. Apprêtez le diner. Apprêtez à diner. Un peintre qui apprête des couleurs. DICT. DE L'ACAD.

« Il apprêtoit lui-même tout ce qu'il devoit » manger. - Elles font le pain, apprêtent à

» manger. >>>

FÉN.

Ta mort est résolue, on la jure, on l'apprête. COR. Avec un fer maudit qu'à grand bruit il appréte. BOIL. S'APPRÊTER, apprêter pour soi.

Je sais trop quel tourment je m'apprête moi-même. Je vous connois, je sais tout ce que je m'apprête. RAC. S'APPRÊTER, se préparer, se mettre en état de faire quelque chose.

On ne le trouve guère dans les orateurs. Où la haine s'apprête à couronner le crime.

Ce grand pouvoir lui pèse, il s'apprête à le rendre. C.
C'est alors qu'il s'apprête à me faire périr.
Ainsi le ciel s'apprête à vous rendre justice.
Dieu s'apprête à te joindre à la race parjure.
A snivre ce grand chef l'un et l'autre s'apprête.
S'apprête à réunir leurs soldats dispersés.

RAC.

BOIL

Rouss.

Des maximes du trône ai fait l'apprentissage.

RAC.

Et daigne détourner l'orage,
Qui s'apprête à fondre sur moi.

(Voyez foudre.)

S'APPRÊTER, sans régime, dans un sens passił, être apprêté.

J'ai vu Pyrrhus, Madame, et votre hymen s'apprête.
Je vous conduis au temple où son hymen s'apprête.
Je m'en vais seule au temple où leur hymen s'apprête.
Je l'ai vu vers le temple où son hymen s'apprête.
Ces quatre vers presque semblables se trou-
vent dans la tragédie d'Andromaque.

Mon sort est accompli, votre gloire s'apprête. RAC.
Il veut partir à jeun, il se peigne, il s'apprête. Bo1L.
Cependant tout s'apprête, et l'heure est arrivée,
Qu'an fatal dénouement la reine a réservée.

« C'est ainsi qu'avec une lyre il apprivoisoit >> les bêtes farouches. >>

FEN.

<< On la dompte (la panthère) plutôt qu'on ne l'apprivoise.» (Voyez ours, chose. BUFF. APPRIVOISER, au figuré, en parlant des personnes rendre plus doux, plus traitable. C'e toit un homme peu sociable, on a bien eu de la peine à l'apprivoiser. DICT. DE L'ACAD.

«Il y a des hommes superbes, que l'élévation » de leurs rivaux humilie et apprivoise. — J'é» vite par là d'apprivoiser un suisse, ou de flé>> chir un commis. - Ils deviennent si farou>>ches que leur chute seule peut les apprivoiser.» LA BRUYÈRE.

S'APPRIVOISER, v. p. « L'once s'apprivoise aisément (c'est-à-dire, >> on apprivoise aisément l'once.) » BUFF.

S'APPRIVOISER, au figuré. S'apprivoiser avec le danger, avec le vice, pour dire, s'accoutumer à la vue du danger, à l'exemple du vice.. DICT. DE L'ACAD.

«Se rassurer sur le théatre, s'apprivoiser » avec le public.- Il ne s'apprivoise pas avec les >> hommes."D LA BRUY.

APPRIVOISÉ, Éɛ, part.

Ce tigre, que jamais je n'abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnoît un vainqueur. RAC. APPROBATEUR, s. m. APPROBATRICE, §. f., celui on celle qui approuve par quelque témoignage d'estime. Une pareille conduite n'aura guer d'approbateurs. Elle est grande approbatrice de tout ce qui est nouveau. DICT. DE L'ACAD.

Le masculin est beaucoup plus usité que le féminin.

«Quand on n'a pour soi d'autre approbateur >> ni d'autre flatteur que soi-même. »

FLECH.

Le plus mauvais plaisant eut des approbateurs. BOIL. APPROBATIF, IVE, adj., qui marque de l'approbation. Sentence approbative. Geste, signe approbatif. DICT. DE L'ACAD.

APPROBATION, s. f., agrément, consentement qu'on donne à quelque chose. C'est une affaire conclue, pourvu que le père et la mère y veuillent donner leur approbation. DICT. DE L'AC.

« Vous imprimerez avec privilége et appro»bation de vos docteurs, qu'on peut etre sauvé, >>> etc. - Imprimer sans l'approbation des théo»logiens de votre compagnie. Des approba»tions écrites et signées de leurs mains. » PASC. «Si l'on ôte de beaucoup d'ouvrages, la pré» face, la table, les approbations, etc. » LA BRUYÈRE.

« Les bulles du pape, les lettres patentes de »sa majesté, les arrêts du conseil ont achevé > cet ouvrage, et votre approbation, Messei»gneurs, y mettra le'sceau.» FLECH.

(Discours à l'assemblée générale du clergé de France, sur l'érection de l'évêché d'Alais.)

APPROBATION, jugement favorable qu'on porte de quelqu'un, de quelque chose, témoignage qu'on rend au mérite de quelqu'un. Il a l'approbation de tous les honnêtes gens. Il mérite l'ap probation de tout le monde. Il a l'approbation générale. DICT. DE L'ACAD.

« Donner à cette doctrine une approbation

« On ne peut arracher de vous la moindre » approbation. Il aime votre approbation. » L'approbation la plus sûre et la moins équi» voque est le changement de mœurs, et la ré>> formation de ceux qui les lisent ou les écou» tent (qui écoutent les orateurs.)-Digne d'ap» probation.» (Voyez approuver.) LA BRUY. « Surprendre l'approbation des hommes. - Il » est sensible aux approbations sincères et dé>> sintéressées. Le plaisir des approbations et >> des louanges. La maligne et flatteuse appro»bation de ceux qui écoutent. (Voyez empoi» sonner). - L'estime et l'approbation dont vous » jouissez dans le monde. » FLÉCH.

DICT. DE L'ACAD.

« A son approche, Balas se troubla. - A ton » approche, je mettrai les rois en fuite. Se » réjouir à l'approche des ennemis. » Boss.

« L'ame qui sent l'approche de son juge. » MAS. APPROCHE, se dit aussi de tout ce qui avance ou paroit avancer vers nous. L'approche de la nuit lui fit doubler le pas. DICT. DE L'ACAD. Boss.

Dans l'approche du jour désiré. » En termes de guerre, on appelle approches au pluriel les travaux que l'on conduit par tranchées jusqu'au corps de la place qu'on assiége. Lignes d'approches. Les approches de cette place coutèrent bien du monde. Les ennemis firent plusieurs sorties pour empêcher les approches, pour éloigner les approches. Il fut tué aux approches de la place. Pour faciliter les approches. Afin de pousser davantage les approches. On dit d'une place de guerre, qu'elle est de difficile approche, proches. pour dire, qu'il est difficile d'en faire les apDICT. DE L'ACAD.

« Mille foudres en défendent l'approche.» MAS. APPROCHES, au figuré.

« Mais la mort cachoit ses approches.- Elle >> regarda sans se troubler toutes les approches » de la mort. >> Boss.

«Elle sent aux approches de la mort un re» doublement d'ardeur et de force. » FLECH. Quand de ce triste adieu je prévis les approches. De ce triste entretien détournons les approches. Pourvu que de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches. RAC. APPROCHER, v. a. avancer auprès, mettre proche, mettre près. Approcher une chose d'une autre. Approches la table. - Approcher le canon de la place, en approcher une batterie.

On dit figurément, qu'un prince, qu'un grand seigneur a approché quelqu'un de lui, pour dire qu'il l'a admis dans sa familiarite, qu'il lui a donné quelque emploi auprès de sa personne.

« Dans cette vue on approcha d'elle tout ce » que l'Espagne avoit de plus vertueux. » Quand ses jours défaillans et ses infirmités » mortelles l'approchoient du tombeau.--Com» bien de fois demanda-t-elle au ciel d'appro» cher la fille du trône où la mère avoit au>>trefois espéré de monter. Dieu vouloit ap»procher des rois une tête aussi capable de les FLECH.

>> servir. >>>

« Nous aperçûmes de loin la terre, et le veni » nous en approchoit. » FEN.

« Un mourant que les langueurs d'une lon»gue et paisible agonie ont si fort approché de » sa fin, que, etc.- Plus haut il nous fait re» monter, plus il nous approche de notre boue. » (Voyez éclat.) - Une charge qui l'approche de >> la personne du prince. Un autre (par sa » mort) vous approche d'une dignité.» (Voyez le mot pas.) MASS.

Plus la haute naissance approche des couronnes. COR.
Bajazet, en m'approchant de lui,

Me va contre lui-même assurer un appui.
Le frère rarement laisse jouir ses frères
De l'honneur dangereux d'ètre sortis d'un sang
Qui les a de trop près approchés de son rang.

RAC.

RAC.

Approche, puissant roi, grand monarque de l'Inde. Approchez, mes enfans: L'onde approche, se brise, etc. APPROCHER, au figuré. L'heure approche. Le temps approche. DICT. DE L'ACAD. « Se retirer quand la nuit approche. » PASCAL.

« Quand le temps de prêcher son évangile » approcha. - La Passion approchoit quand il >> leur dit : - Le temps approche que vos mai» sons demeureront désertes.-Le temps ap» prochoit où la vengeance divine, etc.—Le » terme fatal approchoit. - Malgré l'hiver qui » approche. » Boss. «Le jour du Seigneur approche. Votre >> heure dernière approche. »

、FLÉCH

<< Plus la mort approche, plus on court à » des jeux, etc.-Tous l'ont vue approcher, lors» qu'ils la croyoient encore loin.-Le monde MASS. » s'enfuit, et l'éternité approche. » L'heureux moment approche, où, etc. Sion, le jour approche, où le dieu des armées, Va, etc.

COR.

Tremble, son jour approche, et ton règne est passé. R. Quand Boirude qui voit que le peril approche. Bo1. La mort tardive alors n'approchoit qu'à pas lents. LR. APPROCHER DE, v. n., suivi d'un régime au propre.

« Le pauvre en approchoit avec confiance. »' BOSSUET. « On ́n'approche de vous, que comme du feu.» LA BRUYÈRE. «Leur majesté ferme la bouche à ceux qui en FLECH. » approchent. » ̧

<< Tous les chiens qui osoient en approcher » ( du sanglier) étoient déchirés. - N'approche » pas de lui, mon fils. Une caverne de la» quelle les timides mortels n'osoient approcher. » Un vaisseau qui n'osoit approcher de l'ile. — » Quand j'approchai de ces vieillards. >> FEN. APPROCHER DE, au figuré.

est

« Quand on approche de la mort. »> PASC. « Plus on approche de Dieu, plus on >> humble. » FLECH. «Ni les défiances, ni la crainte, ni les vains » désirs n'approchent de cet heureux séjour de >> la paix. >> FEN.

Aucun soin n'approchoit de leur paisible cour.
Est-il quelque verin, etc.

Dont la triste indigence ose encore approcher.
Quelle muse, etc.