Le cartésianisme: ou, La véritable rénovation des sciences. Ouvrage couronné par l'Institut. Suivi de la Théorie de la substance et de celle de l'infini |
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ou, La véritable rénovation des sciences. Ouvrage couronné par l'Institut. Suivi de la Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. Front Cover.
ou, La véritable rénovation des sciences. Ouvrage couronné par l'Institut. Suivi de la Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. Front Cover.
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... théorie de la substance , qu'il ne m'a pas été possible d'omettre , sous peine d'être trop insignifiant . Il est peu de théories aussi fécondes que la dernière , et qui jettent autant de lumière sur les plus importantes questions , ni ...
... théorie de la substance , qu'il ne m'a pas été possible d'omettre , sous peine d'être trop insignifiant . Il est peu de théories aussi fécondes que la dernière , et qui jettent autant de lumière sur les plus importantes questions , ni ...
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... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. ment de sa force , et attaque la scolastique comme la féo- dalité . Les tentatives directes commencent à Télésio , car on ne peut regarder comme telles les ...
... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. ment de sa force , et attaque la scolastique comme la féo- dalité . Les tentatives directes commencent à Télésio , car on ne peut regarder comme telles les ...
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... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. PREMIÈRE PARTIE PHILOSOPHIE CHAPITRE PREMIER Rappel de la pensée à elle - même par Descartes . Par où commencera Descartes ? Par où commencent et commenceront ...
... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. PREMIÈRE PARTIE PHILOSOPHIE CHAPITRE PREMIER Rappel de la pensée à elle - même par Descartes . Par où commencera Descartes ? Par où commencent et commenceront ...
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... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. pensée la notion que la pensée a de soi , il suit que Dieu , en se manifestant à la pensée , la rappelle à elle - même encore plus intimement , s'il est ...
... Théorie de la substance et de celle de l'infini Jean Baptiste Bordas-Demoulin. pensée la notion que la pensée a de soi , il suit que Dieu , en se manifestant à la pensée , la rappelle à elle - même encore plus intimement , s'il est ...
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Common terms and phrases
absolu action âme aurait avons c'est-à-dire calcul cause centre change chap choses claire commun connaissance conséquent considère contraire corps côté créatures créé d'être d'où Descartes déterminé Dieu différentes dire distance dit-il divine doit donne doute effet également enfin esprit éternelles exemple existe expliquer figure fonction fond force forces centrales forme général grandeur hommes humain Ibid idées infini l'âme l'autre l'esprit l'étendue l'être l'existence l'homme l'idée l'infini l'un l'univers Leibnitz lieu ligne livre lois lui-même lumière Malebranche manière matière mécanique ment monde mouvement moyen n'en nature naturel nécessaire Newton nombre objets parle particulier passe pensée perception perfection petits philosophie physique planètes porte possible premier produit propre puissance puisse qu'à qu'en qu'une quantité raison rapport rayons reste rien s'il science second sens sentiment serait seulement simple soleil sorte substance suit suivant suppose système terre théorie tion tourbillons Traité trouve vérité veut vient vitesse Voilà voit volonté vrai
Popular passages
Page 443 - C'est en effet parler de Dieu comme d'un Jupiter ou d'un Saturne et l'assujettir au Styx et aux destinées, que de dire que ces vérités sont indépendantes de lui. Ne craignez point, je vous prie, d'assurer et de publier partout que c'est Dieu qui a établi ces lois en la nature, ainsi qu'un roi établit les lois en son royaume.
Page 165 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis , ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance, j'entre en effroi comme un homme qu'on aurait porté endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s'éveillerait sans connaître où il est, et sans moyen d'en sortir.
Page 158 - ... notre volonté ne se portant à suivre ni à fuir aucune chose que selon que notre entendement la lui représente bonne ou mauvaise, il suffit de bien juger pour bien faire, et de juger le mieux qu'on puisse pour faire aussi tout son mieux, c'est-à-dire pour acquérir toutes les vertus, et ensemble tous les autres biens qu'on puisse acquérir; et, lorsqu'on est certain que cela est, on ne saurait manquer d'être content.
Page 171 - Qui ne fait ainsi n'entend pas la force de la raison. Il y en a qui faillent contre ces trois principes, ou en assurant tout comme démonstratif, manque de se connaître en démonstration ; ou en doutant de tout, manque de savoir où il faut se soumettre; ou en se soumettant en tout , manque de savoir où il faut juger.
Page 95 - Dieu est bien différente de celle qui est en nous, d'autant qu'il répugne que la volonté de Dieu n'ait pas été de toute éternité indifférente à toutes les choses qui ont été faites ou qui se feront jamais, n'y ayant aucune idée qui représente le bien ou le vrai , ce qu'il faut croire, ce qu'il faut fa ire ou ce qu'il faut omettre...
Page 656 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits; car il connaît tout cela, et soi; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 204 - Je ne puis pardonner à Descartes ; il aurait bien voulu, dans toute sa philosophie, pouvoir se passer de Dieu, mais il n'a pu s'empêcher de lui faire donner une chiquenaude, pour mettre le monde en mouvement : après cela, il n'a plus que faire de Dieu.
Page 430 - Mais les machines de la nature, c'est-à-dire les corps vivants, sont encore machines dans leurs moindres parties jusqu'à l'infini. C'est ce qui fait la différence entre la nature et l'art, c'est-à-dire entre l'art divin et le nôtre.
Page 607 - Au reste, je trouve qu'on pourrait ajouter à ceci une invention, tant pour composer les mots primitifs de cette langue que pour leurs caractères; en sorte qu'elle pourrait être enseignée en fort peu de temps, et ce par le moyen de l'ordre...
Page 138 - Ainsi il est bon de faire distinction entre la perception, qui est l'état intérieur de la monade représentant les choses externes, et l'aperception, qui est la conscience ou la connaissance réflexive de cet état intérieur , laquelle n'est point donnée à toutes les âmes, ni toujours à la même âme.