Le cartésianisme: ou, La véritable rénovation des sciences. Ouvrage couronné par l'Institut. Suivi de la Théorie de la substance et de celle de l'infini |
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... centrum , polus , zenith , nadir , tropicus , et quodvis ejusce ge- neris aliud . » ( Ibid . , cap . vI . ) ( 1 ) Dialecticæ , libri duo , 1556 . lièrement de ses harangues . Cette manière lui donne un 10 LE CARTESIANISME .
... centrum , polus , zenith , nadir , tropicus , et quodvis ejusce ge- neris aliud . » ( Ibid . , cap . vI . ) ( 1 ) Dialecticæ , libri duo , 1556 . lièrement de ses harangues . Cette manière lui donne un 10 LE CARTESIANISME .
Page 26
... Ibid . , t . I , p . 403 . ( 3 ) Ibid . , t . II , p . 305 . D ce que la vérité , sinon la réalité connue ? 26 LE CARTESIANISME .
... Ibid . , t . I , p . 403 . ( 3 ) Ibid . , t . II , p . 305 . D ce que la vérité , sinon la réalité connue ? 26 LE CARTESIANISME .
Page 30
... elle pas à douter de que ( 1 ) Desc , Euv . , t . II , p . 318 . ( 2 ) Ibid . , p . 333 . ( 3 ) Essai sur l'Int . , liv . IV , chap . III , art . 6 . leur existence ? Parce qu'on ne puise pas l'idée d'exis- 30 LE CARTESIANISME .
... elle pas à douter de que ( 1 ) Desc , Euv . , t . II , p . 318 . ( 2 ) Ibid . , p . 333 . ( 3 ) Essai sur l'Int . , liv . IV , chap . III , art . 6 . leur existence ? Parce qu'on ne puise pas l'idée d'exis- 30 LE CARTESIANISME .
Page 31
... esprit sur lui - même ou la vue de soi ? Que si cela passe tout ( 1 ) Rép . à Stillingfleet , œuv . de Locke , édit . de Thurot , t . V , p . 231 . ( 2 ) Ibid . à fait la portée de Locke , ainsi qu'il l'assure PREMIÈRE PARTIE . 31.
... esprit sur lui - même ou la vue de soi ? Que si cela passe tout ( 1 ) Rép . à Stillingfleet , œuv . de Locke , édit . de Thurot , t . V , p . 231 . ( 2 ) Ibid . à fait la portée de Locke , ainsi qu'il l'assure PREMIÈRE PARTIE . 31.
Page 43
... des Principes de Descartes démontrés d'une ma- ( 1 ) Princ . de la Phil . , deuxième partie , art . 1 . ( 2 ) Ibid . , art . 22 . nière géométrique : « Quoiqu'il admette l'existense d'une substance pensante PREMIÈRE PARTIE . 43.
... des Principes de Descartes démontrés d'une ma- ( 1 ) Princ . de la Phil . , deuxième partie , art . 1 . ( 2 ) Ibid . , art . 22 . nière géométrique : « Quoiqu'il admette l'existense d'une substance pensante PREMIÈRE PARTIE . 43.
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Common terms and phrases
âme Aristote Arnauld Biog Biot Bossuet c'est-à-dire calcul différentiel carré cause célestes centre chap choses connaissance conséquent considérer corps courbe créatures créer degré Descartes déterminé Dieu dire distance dit-il divine doute également Épicure équations esprits éternelles Eutocius Fénelon Fermat fluide fonction force centrifuge force vive forces centrales Galilée géométrie Hist Huyghens Ibid idées de grandeur idées de perfection infini Jean Bernoulli Képler l'âme l'attraction l'autre l'entendement l'espace l'esprit humain l'étendue l'être l'existence l'idée l'infini l'intelligence l'univers Leib Leibnitz ligne Locke lumière Malebranche manière massules mathématiques matière mécanique ment monade monde nature nécessaire Newton nombre non-seulement parfait pensée perception pesanteur phil philosophie physique planètes Plotin possible premier principe produit puissance qu'une quæ quantité de mouvement quod raison rapport rayons réfraction rien s'il science scolastique sens sensation serait seulement soleil Spinosa substance suppose système terre théorie tion tourbillons tractoire trouve vérité vitesse Voilà volonté vrai
Popular passages
Page 443 - C'est en effet parler de Dieu comme d'un Jupiter ou d'un Saturne et l'assujettir au Styx et aux destinées, que de dire que ces vérités sont indépendantes de lui. Ne craignez point, je vous prie, d'assurer et de publier partout que c'est Dieu qui a établi ces lois en la nature, ainsi qu'un roi établit les lois en son royaume.
Page 165 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis , ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance, j'entre en effroi comme un homme qu'on aurait porté endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s'éveillerait sans connaître où il est, et sans moyen d'en sortir.
Page 158 - ... notre volonté ne se portant à suivre ni à fuir aucune chose que selon que notre entendement la lui représente bonne ou mauvaise, il suffit de bien juger pour bien faire, et de juger le mieux qu'on puisse pour faire aussi tout son mieux, c'est-à-dire pour acquérir toutes les vertus, et ensemble tous les autres biens qu'on puisse acquérir; et, lorsqu'on est certain que cela est, on ne saurait manquer d'être content.
Page 171 - Qui ne fait ainsi n'entend pas la force de la raison. Il y en a qui faillent contre ces trois principes, ou en assurant tout comme démonstratif, manque de se connaître en démonstration ; ou en doutant de tout, manque de savoir où il faut se soumettre; ou en se soumettant en tout , manque de savoir où il faut juger.
Page 95 - Dieu est bien différente de celle qui est en nous, d'autant qu'il répugne que la volonté de Dieu n'ait pas été de toute éternité indifférente à toutes les choses qui ont été faites ou qui se feront jamais, n'y ayant aucune idée qui représente le bien ou le vrai , ce qu'il faut croire, ce qu'il faut fa ire ou ce qu'il faut omettre...
Page 674 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits; car il connaît tout cela, et soi; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 204 - Je ne puis pardonner à Descartes ; il aurait bien voulu, dans toute sa philosophie, pouvoir se passer de Dieu, mais il n'a pu s'empêcher de lui faire donner une chiquenaude, pour mettre le monde en mouvement : après cela, il n'a plus que faire de Dieu.
Page 430 - Mais les machines de la nature, c'est-à-dire les corps vivants, sont encore machines dans leurs moindres parties jusqu'à l'infini. C'est ce qui fait la différence entre la nature et l'art, c'est-à-dire entre l'art divin et le nôtre.
Page 627 - Au reste, je trouve qu'on pourrait ajouter à ceci une invention, tant pour composer les mots primitifs de cette langue que pour leurs caractères; en sorte qu'elle pourrait être enseignée en fort peu de temps, et ce par le moyen de l'ordre...
Page 138 - Ainsi il est bon de faire distinction entre la perception, qui est l'état intérieur de la monade représentant les choses externes, et l'aperception, qui est la conscience ou la connaissance réflexive de cet état intérieur , laquelle n'est point donnée à toutes les âmes, ni toujours à la même âme.