Théatre du Vaudeville, Volume 37

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Popular passages

Page 7 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 28 - Vu à la direction générale de la police du royaume conformément à la décision de Son Excellence en date de ce jour...
Page 28 - En la quittant répétait ce refrain : Mon bras à ma patrie, Mon cœur à mon amie, Mourir gaîment pour la gloire et l'amour, C'est le devoir d'un vaillant trouhadour.
Page 27 - De la reconnoiffance , bon Dieu ! ma chère , vous vous ne m'en devez point. Miftrifs LOVEMORE ; toujours à table. J'ai négligé le monde, tout ce qu'il a d'attrayant m'a peu flattée ; jVfixé mes regards fur vous fe\il.
Page 27 - Mais, quelle folie! ( il fe rinfe la touche ) Miftrifs LOVEMORE. Vos yeux font fatigués , vous refufez à la nature un repos qu'elle exige ; les mets les plus délicats ne flatent plus votre goût M. LOVEMORE. Pardonnez - moi , ma chère , j'ai très-bien dîné/ Miftrifs LOVEMORE.
Page 36 - ... bien! (ter) Comme en France On avance! Ah! que c'est bien! (ter) Je ne regrette rien. Quelle ardeur anime Le nouveau régime! Ah! que c'est bien! (ter) Je ne regrette rien. Tout en Visitant Les peuples du monde A la ronde, Je me souvenais Que j'avais Ri chez .les Français; Et quand, revenu Dans votre patrie Embellie, J'ai vu Ses Progrès, A chaque pas je répétais : Ah! que c'est bien! (ter) Comme en France On avance! Ah! que c'est bien! (ter) Je ne regrette rien...
Page 2 - Avant, pendant et après ; esquisses historiques. Par MM. Scribe et de Rougemont.
Page 27 - ... la mienne , & par mon économie , je vous ai fourni les moyens de vous éloigner davantage de moi, M. LOVEMORE...
Page 36 - J'ai -vu Ses Progrès , A chaque pas je répétais : Ah ! que c'est bien ! ( TER. ) Comme en France On avance ! Ah ! que c'est bien ! ( TER. ) Je ne regrette rien.
Page 17 - Lorsque leurs cœurs sont de glace , Lorsque la goutte tenace , A nos genoux les terrasse , Ils daignent se rapprocher : . „ Voyez donc la belle grâce ; II laut bien rester en place , Quand on ne peut plus marcher ! Mme DARCEY.

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