L'art de perfectionner l'homme: suivi d'un Essai sur les caractères, les moeurs et les complexions des hommes illustres de Plutarque, Volume 1Chez Deterville, 1809 - Mind and body |
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Page xxix
... si la mort est bien doulou- reuse . 368 CHAP . IV . Digression sur la félicité humaine ; que les voluptés physiques n'en peuvent être le but .... 374 LIVRE III . SECTION PREMIÈRE . Des passions et des DES CHAPITRES . ΣΧΙΣ.
... si la mort est bien doulou- reuse . 368 CHAP . IV . Digression sur la félicité humaine ; que les voluptés physiques n'en peuvent être le but .... 374 LIVRE III . SECTION PREMIÈRE . Des passions et des DES CHAPITRES . ΣΧΙΣ.
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... ; ils tombent malades , ils meurent , ou cet agent intérieur les guérit ; une machine , ne peut être : sujette à la mort ni à la guérison , car elle n'a 。. pas s un principe de vie . Tout , 2 DES PRINCIPES DE LA VIE .
... ; ils tombent malades , ils meurent , ou cet agent intérieur les guérit ; une machine , ne peut être : sujette à la mort ni à la guérison , car elle n'a 。. pas s un principe de vie . Tout , 2 DES PRINCIPES DE LA VIE .
Page 13
... mort . Un cadavre n'est plus un homme , mais la puissance qui faisoit raison- ner et penser ce cadavre est principalement l'homme . Nous ne sommes qu'usufruitiers du corps et n'en avons point la propriété : c'est un vêtement qui s'use ...
... mort . Un cadavre n'est plus un homme , mais la puissance qui faisoit raison- ner et penser ce cadavre est principalement l'homme . Nous ne sommes qu'usufruitiers du corps et n'en avons point la propriété : c'est un vêtement qui s'use ...
Page 24
... mort de l'autre . Trop de pensées nous affoiblissent ; notre ame s'obscurcit et s'éteint en quelque sorte par une vie toute animale . En diminuant notre sensi- bilité , en domptant nos appétits par la tem- pérance , en nous soumettant à ...
... mort de l'autre . Trop de pensées nous affoiblissent ; notre ame s'obscurcit et s'éteint en quelque sorte par une vie toute animale . En diminuant notre sensi- bilité , en domptant nos appétits par la tem- pérance , en nous soumettant à ...
Page 26
... mort à la vie ; si elle étoit corps , elle n'attaqueroit point sa propre existence et ne se détruiroit pas elle - même . Dans l'animal , rien ne combat contre lui - même , parce qu'il est un ; on ne le voit ni chercher à vaincre ses ...
... mort à la vie ; si elle étoit corps , elle n'attaqueroit point sa propre existence et ne se détruiroit pas elle - même . Dans l'animal , rien ne combat contre lui - même , parce qu'il est un ; on ne le voit ni chercher à vaincre ses ...
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Common terms and phrases
affections affoiblissent âge alimens animaux astres au-dedans au-dehors bilieux bilité calcul rénal carac caractère cause centre cerveau chair chaleur vitale CHAP CHAPITRE chauds choses climats cœur colère complexion connoissance connoître contraire corporelle corps corps malade de-là vient dissipe divine douleur effet élémens enfans équinoxes esprits vitaux étoit évaporer extérieurs femmes fibres fièvres flegmatique foible foiblesse fonctions forces vitales froid galité goût gueur habitans haine hommes humeurs humides individus inférieurs intel intelligence jeunesse joie l'ame sensitive l'amour l'animal l'esprit l'estomac l'homme l'humeur loppe lymphe maladies maux mélancolique membres ment moëlle épinière mœurs monde moral mouvemens mouvement nature naturel nerfs nourritures organes pables paroissent paroît passions pensée physiognomoniques pituiteux plaisir plaisirs plantes Plutarque pourroit principe sensitif puberté qu'une raison rapport rence rend rendent sang sanguin santé secs sens sensibilité sentiment seroit seul soleil sommeil spirituelles substance sur-tout systême teint tempéramens tempérament tion tristesse unisson universelle végétative vieillesse voluptés
Popular passages
Page 234 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie...
Page 182 - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Page 234 - ... soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent; tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'està-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet État devait périr par une seule bataille. En un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page 57 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd , et Pégase est rétif.
Page 170 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 98 - Autant les femmes bilieuses sont vives, autant les pituiteuses sont indolentes : les premières sont des brunes piquantes , qui pétillent de feu et d'esprit ; les dernières , des blondes d'un caractère doux, plein de candeur et de simplicité ; bonnes mères et bonnes nourrices, faciles même à se laisser tromper, simples, sans opiniâtreté ni malice; mais peu soigneuses , d'une conversation fade , ennuyeuse ; elles languissent dans l'oisiveté et acquièrent trop d'embonpoint.
Page 7 - ... vie est toute végétative. Dans le second , à la vie végétative s'ajoute la vie animale. Dans le troisième, à la vie végétative et à la vie animale , s'ajoute encore la vie morale. Et pour résumer en termes encore plus concis...
Page 96 - ... marquent la nonchalance et la pesanteur , car son tempérament est froid et humide , son pouls lent ; il mange lentement et boit beaucoup. Par-tout le bilieux veut dominer, par-tout il heurte de front ce qui lui fait obstacle; violent et emporté, querelleur et audacieux , il se confie dans ses forces ; il est intrépide dans les périls.
Page 95 - Le bilieux , comme le feu , aspire toujours à s'élever ; le pituiteux tend , ainsi que l'eau, à retomber sans cesse. Le premier, toujours tendu , sec , fibreux, a le teint foncé, olivâtre , tirant sur le jaune , ou une couleur haute; la taille maigre, forte, dégagée; une peau dure et velue ; ses mouvemens sont brusques, ardens; son naturel impétueux ; sa voix âpre et résonnante; il boit peu, mange beaucoup et vite.
Page 95 - Les femmes sanguines ont de l'embonpoint, des couleurs vives , des formes rondes ; elles sont coquettes , dissipées , gaies , volages , peu passionnées , mais plutôt dépensières ou joueuses ; elles ont un cœur excellent ; l'on peut les accuser d'inconséquence, non de malignité. Les...