Elémens de littérature, Volume 5Persan, 1822 - Literature |
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âme Aristote assez beauté carac caractère cause chant choses Cicéron Cléon cœur comique couleurs crime Démosthène désinences dieux dire doit donner enfans Epiménide Eschine esprits événemens exemple fable faible familier finale Fingal force génie goût Grecs gueur Henriade Homère hommes idée images imitation jamais l'action l'âme l'amour l'art l'autre l'e muet l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'histoire l'homme l'Iliade l'illusion l'image l'imagination l'imitation l'intérêt l'orateur L'Oreste l'un laisse langage langue Lucain lyrique malheur Mémoires Ménélas ment Mérope merveilleux mœurs Molière moral mort mouvemens narration nasal nature naturel objets Oreste parler passer passions pathétique peindre peint peinture pensée père personnage peuple plaisir poëme poésie poète poétique présente Pyrrhus qu'un quæ raison rendre ressemblance ridicule rien Rome s'il saisir scène sensible sentimens sentiment serait seul simple simplicité sion style sujet suppose tableau Tacite théâtre Théramène Thucydide Tibère tion Tite-Live tragédie vérité vertus veut vices Virgile voilà vraisemblance yeux Zaïre
Popular passages
Page 349 - Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence... Ciel! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi!
Page 175 - Couronner tour à tour l'esclave et la princesse ; Immoler Troie aux Grecs, au fils d'Hector la Grèce ! Tout cela part d'un cœur toujours maître de soi, D'un héros qui n'est point esclave de sa foi.
Page 346 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux. Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes; Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes; Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux; Ses longs mugissements font trembler le rivage.
Page 119 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux. Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi...
Page 119 - Quel esprit ne bat la campagne? Qui ne fait châteaux en Espagne? Picrochole, Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux...
Page 349 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple...
Page 199 - Rome et dans toute l'Europe moderne , n'a jamais été que celui d'un comédien ; chez les Grecs , au contraire, c'était une espèce de ministère public , religieux , politique ou moral. Ce fut d'abord à la religion que la lyre fut consacrée , et les...
Page 310 - Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 218 - ... les éloges qu'on se réserve, et par lesquels on se dédommage ; soit pour s'autoriser à dire impudemment d'autrui encore plus de mal que de soi-même. Observez attentivement celui qui emploie cet artifice; vous verrez que dans ses principes il attache peu d'importance à ces fautes dont il s'accuse...
Page 175 - Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un Conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la Perfidie a de quoi vous tenter. Et vous ne me cherchez que pour vous en vanter. Quoi ? Sans que ni serment, ni devoir vous retienne, Rechercher une Grecque, Amant d'une Troyenne...