Mithridate. Iphigénie en Aulide. PhèdreLefèvre, 1822 - French drama |
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... douleurs , quand des bruits trop certains M'annoncèrent du roi l'amour et les desseins ; Quand je sus qu'à son lit Monime réservée , Avoit pris , avec toi , le chemin de Nymphée3 ! Hélas ! ce fut encor dans ce temps odieux 4 ' Cette ...
... douleurs , quand des bruits trop certains M'annoncèrent du roi l'amour et les desseins ; Quand je sus qu'à son lit Monime réservée , Avoit pris , avec toi , le chemin de Nymphée3 ! Hélas ! ce fut encor dans ce temps odieux 4 ' Cette ...
Page 18
... douleur ! Quelle mesure dans le dessein qu'elle annonce de se donner la mort ! ce n'est point une menace fastueuse : c'est le désespoir d'un cœur noble et géné- reux . ( G. ) 2 Quand ce mot est au figuré , comme sous vos auspices , pour ...
... douleur ! Quelle mesure dans le dessein qu'elle annonce de se donner la mort ! ce n'est point une menace fastueuse : c'est le désespoir d'un cœur noble et géné- reux . ( G. ) 2 Quand ce mot est au figuré , comme sous vos auspices , pour ...
Page 20
... mais elle manque d'harmonie . ( L. ) Sans compter tout le reste , dans le vers suivant , est un hémistiche inutile au sens , nécessaire à la rime . ( L. B. ) Quelle vive douleur attendrit mes adieux ? Je m'en souviens 20 MITHRIDATE .
... mais elle manque d'harmonie . ( L. ) Sans compter tout le reste , dans le vers suivant , est un hémistiche inutile au sens , nécessaire à la rime . ( L. B. ) Quelle vive douleur attendrit mes adieux ? Je m'en souviens 20 MITHRIDATE .
Page 21
... douleur attendrit nos adieux , et quelques autres vers , rappellent au moins le poëte , si l'on ne voit pas encore le poëte tragique , ( L. ) Vous croyez qu'abusant de mon autorité Je prétends attenter à ACTE I , SCÈNE II . 21.
... douleur attendrit nos adieux , et quelques autres vers , rappellent au moins le poëte , si l'on ne voit pas encore le poëte tragique , ( L. ) Vous croyez qu'abusant de mon autorité Je prétends attenter à ACTE I , SCÈNE II . 21.
Page 34
... douleurs Qui m'affligeoient ici , le tourmentoient ailleurs . PHOEDIME . Sait - il en sa faveur jusqu'où va votre estime ? Sait - il que vous l'aimez ? MONIME . Il l'ignore , Phoedime . Les dieux m'ont secourue ; et mon cœur affermi N'a ...
... douleurs Qui m'affligeoient ici , le tourmentoient ailleurs . PHOEDIME . Sait - il en sa faveur jusqu'où va votre estime ? Sait - il que vous l'aimez ? MONIME . Il l'ignore , Phoedime . Les dieux m'ont secourue ; et mon cœur affermi N'a ...
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Common terms and phrases
ACHILLE ACTE AGAMEMNON amant amour ARBATE ARCAS Argos ARICIE Atrides Aulide avoit beauté Calchas cher CHOEUR ciel CLYTEMNESTRE cœur connois coupable crime cruel d'Achille d'Agamemnon d'Euripide d'Hippolyte d'Iphigénie déesse déja dessein Diane dieux discours douleur ennemi épouse époux ÉRIPHILE esclave étoit Euripide femme fille fils foible foiblesse frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen IPHIGÉNIE ISMÈNE j'ai l'amour l'armée l'autel L'ESCLAVE l'hymen laisse larmes Lesbos long-temps Louis Racine m'en madame main malheur MÉNÉLAS mère Mithridate moi-même MONIME monstre mort mortels mourir Mycène n'étoit NOURRICE OENONE PANOPE par-tout parler paroît passion père perfide Pharnace PHEDRE PHOEDIME pleurs poëte pouvoit prince qu'un reine Romains sais sang scène secret seigneur Sénèque sentiments seroit seul soin sort tendresse Théramène Thésée tragédie Trézéne triste Troie trouble Tyndare ULYSSE vaisseaux Vénus veux victime vœux Voilà vois vous-même Voyez Racine Xipharès yeux
Popular passages
Page 208 - Vous ne démentez point une race funeste; Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
Page 415 - Que fais-je? Où ma raison se va-t-elle égarer? Moi jalouse! et Thésée est celui que j'implore! Mon époux est vivant, et moi je brûle encore ! Pour qui? Quel est le cœur où prétendent mes vœux? Chaque mot sur mon front fait dresser mes cheveux.
Page 379 - Hélas! je ne t'ai pu parler que de toi-même. Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.
Page 206 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de Père. C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 416 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit. Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie, Je rends dans les tourments une pénible vie.
Page 416 - Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 369 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus; Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune; Mes seuls gémissements font retentir les bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Page 391 - Mourons : de tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre ? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi : Je ne crains que le nom que je laisse après moi.
Page 374 - En public, en secret, contre vous déclarée, J'ai voulu par des mers en être séparée. J'ai même défendu par une expresse loi Qu'on osât prononcer votre nom devant moi. Si pourtant à l'offense on mesure la peine, Si la haine peut seule attirer votre haine, Jamais femme ne fut plus digne de pitié, Et moins digne, Seigneur, de votre inimitié.
Page 388 - O toi qui vois la honte où je suis descendue , Implacable Vénus , suis-je assez confondue! Tu ne saurais plus loin pousser ta cruauté. Ton triomphe est parfait; tous tes traits ont porté. Cruelle, si tu veux une gloire nouvelle, Attaque un ennemi qui te soit plus rebelle.