The Classic French ReaderD. Appleton & Comopany, 1857 |
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Page 24
... demande pas mieux que d'aller avec vous . Je ne suis pas de ceux dont on dit : Quand le pain est mangé , bonsoir la compagnie . Tout le monde sait dans notre village que les Pança ne sont point des ingrats . Quand je vous ai parlé de ...
... demande pas mieux que d'aller avec vous . Je ne suis pas de ceux dont on dit : Quand le pain est mangé , bonsoir la compagnie . Tout le monde sait dans notre village que les Pança ne sont point des ingrats . Quand je vous ai parlé de ...
Page 28
... demande la permission de tremper un petit morceau de pain dans une de ces grandes marmites . Pardi ! frère , lui répondit le cuisinier , l'intention du riche Gamache n'est pas que ce jour soit un jour de jeûne . Cher- chez , prenez une ...
... demande la permission de tremper un petit morceau de pain dans une de ces grandes marmites . Pardi ! frère , lui répondit le cuisinier , l'intention du riche Gamache n'est pas que ce jour soit un jour de jeûne . Cher- chez , prenez une ...
Page 42
... demande ce que c'est que les paroles que vous dites ici . Mad . Jour . Ce sont des paroles bien sensées , et votre conduite ne l'est guère . M. Jour . Je ne parle pas de cela , vous dis - je ; je vous demande , ce que je parle avec vous ...
... demande ce que c'est que les paroles que vous dites ici . Mad . Jour . Ce sont des paroles bien sensées , et votre conduite ne l'est guère . M. Jour . Je ne parle pas de cela , vous dis - je ; je vous demande , ce que je parle avec vous ...
Page 47
... demande pardon : je ne songeais pas que vous êtes jeune ; et je rêve le plus souvent . Je vous prie d'excuser mon impertinence . SCÈNE IV . CLÉONTE , COVIELLE . ( Cléonte est piqué contre Lucile qu'il vient de rencontrer et qui , au ...
... demande pardon : je ne songeais pas que vous êtes jeune ; et je rêve le plus souvent . Je vous prie d'excuser mon impertinence . SCÈNE IV . CLÉONTE , COVIELLE . ( Cléonte est piqué contre Lucile qu'il vient de rencontrer et qui , au ...
Page 49
... demande que je médite il y a longtemps . Elle me touche assez pour m'en charger moi - meme ; et , sans autre détour , je vous dirai que l'honneur d'être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m'accorder . M. Jour ...
... demande que je médite il y a longtemps . Elle me touche assez pour m'en charger moi - meme ; et , sans autre détour , je vous dirai que l'honneur d'être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m'accorder . M. Jour ...
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Common terms and phrases
Allons avez bataille d'Austerlitz beau Bélisaire belle c'était Carthage cents écus cher cheval chose cœur coup Crisp danse demande Dieu dire dit-il Doct don Quichotte enfants Eras Ernest êtes femme fille fils Flè French Fros gens Gér Géronte Gil-Blas Grèce Guillaume Harp HARPAGON homme j'ai j'avais j'en Jacq jamais jeune Jose Maria Jour Juan laisse m'en madame de Sévigné madame Jourdain mademoiselle maî main maître de danse make maladie manger Mart Méd médecin ment mieux monde monsieur monsieur de Pourceaugnac Moustache notaire one's Oron Oronte parler Pasq passer pauvre pense père Périclès personne petite peuple pistoles plaisir porte Pourc Pourceaugnac prep pron Qu'est-ce qu'un raison Régulus rien s. m. pl sais Sancho Sbrig Scap Scapin SCÈNE SUIVANTE sera seul Sgan Sganarelle songe sorte souper tion trouve vais valet veux voilà voleurs voulez voulez-vous
Popular passages
Page 253 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 141 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 262 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient; Plus d'amour, partant 2 plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.
Page 109 - Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants , tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se. mettait aux fenêtres ; si j'étais aux Tuileries...
Page 142 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent : parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.
Page 237 - De sa puissance immortelle Tout parle, tout nous instruit ; Le jour au jour la révèle, La nuit l'annonce à la nuit.
Page 219 - ... dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie.
Page 217 - Le précieux far niente fut la première et la principale de ces jouissances que je voulus savourer dans toute sa douceur, et tout ce que je fis durant mon séjour ne fut en effet que l'occupation délicieuse et nécessaire d'un homme qui s'est dévoué à l'oisiveté.
Page 264 - Mais, le moment d'après, cette petite troupe fut entourée : le roi, qui était en bottes selon sa coutume, s'embarrassa dans ses éperons et tomba : vingt et un janissaires se jettent aussitôt sur lui; il jette...
Page 169 - L'argent et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.