| Jean Alexandre C. Buchon - 1824 - 536 pages
...abrègent si considérablement ce cbapitrc et le suivant, qu'ils sont presque mécouuoissab'es. J. li tre part et qu'il se combatte.» Adonc, dit le roi...Baseleà son frein, qui enuis (avec peine) l'eut laissé; ei aussi eussent plusieurs bons chevaliers de la comté de Luxembourg qui étoient tous de-lez (près)... | |
| Jean Froissart - Burgundy (France) - 1824 - 528 pages
...gens à (avec) une grand'vaillance : « Seigneurs, vous êtes mes hommes, mes amis et mes compagnon s; à la journée d'huy je vous prie et requiers très...Moine de Baseleà son frein, qui enuis (avec peine) Teut laissé; et aussi eussent plusieurs bons chevaliers de la comté de Luxembourg qui étoient fous... | |
| Jean Froissart - 1824 - 566 pages
...à (avec) une grand'vaillance : « Seigneurs, vous êtes mes h ommes , mes amis et mes compagnon s ; à la journée d'huy je vous prie et requiers très...avancement aimoient,lui accordèrent Là étoit le Moine de Basele à son frein, qui enuis (avec peine) l'eut laissé; et aussi eussent plusieurs bons chevaliers... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1831 - 478 pages
...prêt à joindre l'ennemi , il dit à sa suite : « Seigneurs , vous êtes mes amis, je vous requiers que vous me meniez si avant que je puisse férir un coup d'épée. » Les chevaliers répondirent que volontiers ils le feraient. Et à donc, afin quils ne le perdissent... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - France - 1831 - 406 pages
...aussi vous proteste « de ne vous laisser aujourd'hui, tant que « vie me durera. Je vous requiers que vous « me meniez si avant que je puisse férir un « coup d'épée. » Les chevaliers répondirent t « que volontiers ils le feraient, et adouc, afin i• qu'ils ne le... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 624 pages
...prêt à joindre l'ennemi, il dit à sa suite: «Seigneurs, vous « êtes mes amis ; je vous requiers que vous me meniez si avant que je puisse férir un coup d'épée. » Les chevaliers répondirent que volontiers ils le f croient. Et à donc, afin qu'ils ne le perdissent... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - France - 1834 - 570 pages
...prêt h joindre l'ennemi, il dit à sa suite: « Seigneurs , vous élcz mes amis , je vaut requiers que vous me meniez si avant que je puisse férir un coup d'épée. » Les chevalier* répondirent que volontiers il* lejèroient. Et à donc , ii/in qu'ils ne le perdissent... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Church history - 1836 - 396 pages
...prêt à joindre l'ennemi, il dit à sa suite : «Seigneurs, vous « êtes mes amis ; je vous requiers que vous me meniez « si avant que je puisse férir un coup d'épée. » Les chevaliers répondirent que volontiers ils le feroient. Et adonc , afin qu'ils ne le perdissent... | |
| François Paul Émile Boisnormand de Bonnechose - Great Britain - 1837 - 600 pages
...Seigneurs, vous êtes mes hommes, mes amis et mes compagnons, je vous prie donc aujourd'huv et requiers que vous me meniez si avant que je puisse férir un coup d'épée. « Et ceux qui étaient là près de lui et à qui son honneur était cher, lui accordèrent sa demande et pour acquitter... | |
| Jean Rey - Flags, French - 1837 - 618 pages
...estes mes hommes et mes amis; « à la journée d'huy, je vous prie et requiers très spé« cialement que vous me meniez si avant que je puisse « férir un coup d'épée. » En effet deux d'entre eux lièrent son cheval au leur par les freins et dans cet état se précipitèrent... | |
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