... compte, afin d'avoir le temps de prendre votre avis. MARAIS. Si je pouvois oublier que le mariage est un sacrement, ce seroit peut-être là le cas de désirer les institutions de Lycurgue. Un Spartiate disoit à son voisin : Vous n'ave\ point d'enfants... Essais historiques sur Paris - Page 67by Germain François Poullain de Saint-Foix - 1767Full view - About this book
 | M. de Saint-Foix (Germain-François Poullain) - 1778
...toute la Nation. Vous nave% point d'Enfans de votre Femme ; cependant , elle me paraît très-propre à en donner à la. République : je vous prie de me la prêter , difoit un Spartiate à fon Voifin j & le Voifin , fuiVant les belles inftitutiohs de Lycurgue, prctoit & devoit prêter fa Femme , par... | |
 | 1782
...difoit à fon voifin : Vous n'avez pas d'enfms de votre femme , cependant elle me parok très -propre à en donner, à la République, je vous prie de me la prêter. Cet échange aurait fans doute été approuvé des Cafuiftes Jui/s , qui prétendent qu'un mari ponvoit... | |
 | Louis-Pierre Manuel - Paris (France) - 1794 - 330 pages
...disoit à son voisin: vous n'avez point d'enfans de votre femme ; cependant elle me paroît propre à en donner à la république , je vous prie de me la prêter. Le divorce vaudra encore mieux : c'est aux loix à le permettre , c'est aux mœurs ft le proscrire.... | |
 | Guillaume Imbert de Boudeaux - 1879
...disoit à son voisin : Vous n'ave\ point d'enfants de votre femme; cependant elle me paroît propre à en donner à la république; je vous prie de me la prêter. Le divorce vaudra encore mieux : c'est aux lois à le permettre, c'est aux mœurs à le proscrire.... | |
 | Guillaume Imbert de Bourdeaux, Octave Uzanne - France - 1879 - 325 pages
...disoit à son voisin : Vous n'ave\ point d'enfants de votre femme; cependant elle me paroît propre à en donner à la république; je vous prie de me la prêter. Le divorce vaudra encore mieux : c'est aux lois à le permettre, c'est aux mœurs à le proscrire.... | |
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