Oeuvres complètes, Volume 1E. Ledoux, 1821 |
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... petite nou- velle espagnole du comte de Belflor , dans le Diable boiteux : elle fut la source où j'en puisai l'idée . Le faible parti que j'en ai tiré leur laissera peu de regrets de n'avoir pu m'être bons à quel- que chose . La ...
... petite nou- velle espagnole du comte de Belflor , dans le Diable boiteux : elle fut la source où j'en puisai l'idée . Le faible parti que j'en ai tiré leur laissera peu de regrets de n'avoir pu m'être bons à quel- que chose . La ...
Page 19
... petite pièce qui , la toile baissée , ne laissent rien dans le cœur . Pour moi , lorsqu'un sujet tragique m'a vive- ment affecté , mon âme s'en occupe délicieuse- ment pendant l'intervalle des deux pièces , et je sens long - temps que ...
... petite pièce qui , la toile baissée , ne laissent rien dans le cœur . Pour moi , lorsqu'un sujet tragique m'a vive- ment affecté , mon âme s'en occupe délicieuse- ment pendant l'intervalle des deux pièces , et je sens long - temps que ...
Page 45
... petites boucles à ses souliers carrés et à talons hauts , une perruque à la bri- gadière ou un ample bonnet , un grand chapeau à la Ragotzi , une cravate nouée et passée dans une bouton- nière de l'habit , un surtout de velours noir par ...
... petites boucles à ses souliers carrés et à talons hauts , une perruque à la bri- gadière ou un ample bonnet , un grand chapeau à la Ragotzi , une cravate nouée et passée dans une bouton- nière de l'habit , un surtout de velours noir par ...
Page 46
... petites man- chettes ; fichu carré et croisé sur la poitrine ; tablier de batiste très - long ; barrette à l'anglaise sur la tête ; point de chapeau ' . La scène est à Londres , dans une maison écartée , appartenante au comte de ...
... petites man- chettes ; fichu carré et croisé sur la poitrine ; tablier de batiste très - long ; barrette à l'anglaise sur la tête ; point de chapeau ' . La scène est à Londres , dans une maison écartée , appartenante au comte de ...
Page 58
... petite pause , dit froidement : Monsieur Drink , vous êtes le plus sot coquin que je connaisse ! ( Il tire sa bourse et la lui donne . ) Vous n'êtes plus à moi ; sortez ; mais si la moindre in- discrétion ... DRINK . Est - ce que j'ai ...
... petite pause , dit froidement : Monsieur Drink , vous êtes le plus sot coquin que je connaisse ! ( Il tire sa bourse et la lui donne . ) Vous n'êtes plus à moi ; sortez ; mais si la moindre in- discrétion ... DRINK . Est - ce que j'ai ...
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Common terms and phrases
ACTE Ah ah Alban ANDRÉ assez avez avez-vous Barbier de Séville BARON BARTHOLO Beaumarchais BETSY CAPITAINE cent mille chanter charmant cher chose clavecin cœur colère comédie comte Almaviva comte de Clarendon Cowerly d'Eugénie demain désespoir diable dire docteur don Basile douleur DRINK Est-ce éternue êtes EUGÉNIE femme fille fille mal élevée frère gaiement genre sérieux gens homme honnête j'ai j'avais j'en jalousie jamais joie l'ai l'honneur l'instant lettre Lindor m'avez m'en MADAME MURER mademoiselle Madrid main malheur mariage MELAC MÉLAC FILS MÉLAC PÈRE milady milord monseigneur monsieur Aurelly Monsieur Dabins monsieur de Mélac monsieur Figaro nièce oncle pardon parler PAULINE pays de Galles pièce plaisir pleurant Qu'est-ce qu'un raison regarde reste rien ROBERT ROSINE s'il SAINT-ALBAN sais salon SCÈNE IV SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII sentiment sera sera ma femme seul sieur SIR CHARLES soir sort théâtre trouble tuteur vais valets veux voilà yeux
Popular passages
Page 340 - Sierra-Morena, l'Andalousie ; accueilli dans une ville, emprisonné dans l'autre, et partout supérieur aux événements ; loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là ; aidant au bon temps ; supportant le mauvais ; me moquant des sots, bravant les méchants ; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde...
Page 339 - L'ennui te vengera bien d'eux. FIGARO. Ah ! comme je leur en garde ! morbleu ! LE COMTE. Tu jures ! Sais-tu qu'on n'a que vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges ? FIGARO. On a vingt-quatre ans au théâtre ; la vie est trop courte pour user un pareil ressentiment. LE COMTE.
Page 15 - Que me font à moi, sujet paisible d'un État Monarchique du dix-huitième siècle, les révolutions d'Athènes et de Rome? Quel véritable intérêt puis-je prendre à la mort d'un tyran du Péloponèse ? au sacrifice d'une jeune Princesse en Aulide ? Il n'ya dans tout cela rien à voir pour moi, aucune moralité qui me convienne.
Page 340 - ... aidant au bon temps ; supportant le mauvais ; me moquant des sots, bravant les méchants ; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde ; vous me voyez enfin établi dans Séville, et prêt à servir de nouveau Votre Excellence en tout ce qu'il lui plaira m'ordonner.
Page 361 - ROSINE Vous me faites trembler, monsieur Figaro. FIGARO Fi donc, trembler! mauvais calcul, madame. Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur.
Page 324 - Je ne sais si elle est propre à la supporter, ou si je m'étais trompé d'abord en le supposant : mais sans entrer dans les raisons qui m'ont fait changer d'avis, celle-ci, madame, répond à tout. Notre musique dramatique ressemble trop encore à notre musique chansonnière pour en attendre un véritable intérêt ou de la gaieté franche.
Page 372 - Telle bouche le recueille, et •piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil. Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription.
Page 302 - ... sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur. Voilà le fond, dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un drame, un opéra, et coetera.
Page 19 - Si le rire bruyant est ennemi de la réflexion, l'attendrissement, au contraire, est silencieux ; il nous recueille, il nous isole de tout. Celui qui pleure au Spectacle est seul; et plus il le sent, plus il pleure avec délices, et surtout dans les pièces du genre honnête et sérieux, qui remuent le cœur par des moyens si vrais, si naturels. Souvent, au milieu d'une scène agréable, une émotion charmante fait tomber des yeux des larmes abondantes et faciles, qui se mêlent aux traces du sourire...
Page 18 - La moralité du genre plaisant est donc ou peu profonde, ou nulle, ou même inverse de ce qu'elle devrait être au théâtre.