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Le marchand de bagatelles, p. 113. En quoi fripon, ibid. Les mages, c'eft-à-dire nos moines, p. 114. Les gens de lettres, ibid. Comment vivent entr'eux, p. 115. Ceux qui font eftimables, p. 117. Le grand tribunal, p. 118. Les financiers, p. 119. Le miniftre, 120. La folliciteufe, p. 121. La belle Théone ou la vertueuse, p. 122. Voyez

Ithuriel.

BABYLONE: eft la même chofe que Babel ville de Dieu, (voyez Babel), t. 38. p. 174. Par qui fondée felon les Perfans, ibid. Qui l'a bàtie, t. 16. p. 46. Sous quel nom connue des Orientaux, p. 47. Connaiffance qu'on en a t. 38. p. 174.

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BABYLONE (princeffe de): (voyez Formofante ). Pourquoi l'auteur de ce roman le recommande à Fréron, t. 45. p. 186. Au gazetier eccléfiaftique, ibid. A M. Riballier, ibid..

BABYLONNIENNES (dames): étrange coutume à laquelle elles étaient affujetties felon Hérodote, t. 38. p. 175 et t. 39. p. 340. Voyez Hérodote.

BABYLONIENS, devenus Perfes; t. 16. p. 50. Letir fyftême réligieux, p. 53. Ufage abfurde et infàme qu'He rodote fuppofa établi parmi eux, p. 54. Comment on doit interpréter ce qu'il en raconte, p. 55.

BACCHUS (l'ancien) les marbres fur lefquels il a écrit fes lois donnent lieu à l'hiftoire des deux tables de Moyfe, t. 34. p. 126. Etait une divinité arabe, p. 131 et t. 33. P. 207. Defcendait de Chus, t. 34. p. 126. Comparé Moyfe à caufe des deux rayons qui fortaient de fon front. ibid. Reffemblance prodigieufe de fon hiftoire avec celle de ce légiflateur, t. 38. P. 180 et t. 33. p. 256 et 263. Le parallèle qu'on en a fait étendu et détaillé par plufieurs écrivains célebres, t. 38. p. 181. Sur quoi l'évêque d'Avranches appuye cette reffemblance, ibid. N'était pas autre chofe que le Mifem des Arabes qui était auffi le Moyfe des Hébreux, t. 33. p. 13. Rapprochemens qui le font croire, ibid. Pris auff pour Noé, ibid. et t. 16.' p. 122 et 123. et t. 34. p. 25. Pris auffi pour Jofué par Bochart, t. 16. p. 123. Voyez Mifem et verge magique. BACCHUS (prêtreffes de): faifaient vou de chafteté, t. 29. p. 439.

BACHA: fignification de ce mot, t. 23. p. 194.

BACHAUMONT : l'un des plus aimables hommes de fon tems, t. 20. p. 77. Il y a beaucoup de traits de lui dans

le voyage de Montpellier par Chapelle, ibid. Voyez auffi Defmahis.

BACON (Roger): en quoi ne fut qu'un charlatan et en quoi recommandable, t. 38. p. 186 et suiv. Abfurdités qu'il débite, p. 187. Paffe mal-à-propos pour l'inventeur de la poudre à canon, p. 188: et t. 17. p. 312.

BACON (François): quel eft le plus grand fervice qu'il ait rendu à la philofophie; t. 38. p. 190. Détails anecdotiques fur cet homme célèbre, p. 197. Quel eft le plus fingulier et le meilleur de fes ouvrages, p. 198. Ne connaiffait point encore la nature, mais favait et indiquait tous les chemins qui y mènent, p. 199. Eft le père de la philofophie expérimentale, ibid. Veut qu'on faffe des expériences et que ce foit par leur moyen qu'on interroge la nature " t. 21. p. 183. A quoi mène felon lui le plus ou moins de philofophie, t. 43. p. 323. Regarde les principes de la gravitation comme probables, t. 31. p. 174. Veut qu'on le prouve par des expériences, ibid. Plus eftimable dans fes travaux littéraires que dans sa place de chancelier, t. 19. p. 163. N'était connu avant Voltaire que fous le rapport de cette place, t. 70. p 29. Détails fur fes ouvrages de littérature, t. 38. p. 201. Bourfe qu'il reçut d'une femme et crime qu'on lụi en fit, t. 52. p. 143.

BACON-MORRIS: forme le projet de fe tuer et ce qui l'en empêche, anecdote, t. 43. p. 233. Pourquoi obligé de fortir de Rome; autre très-piquante, p. 234.

BACQUENCOURT (M. de): lettres que lui écrit Voltaire, t. 63. p. 279 et 319.

BADAUD: étimologie de ce mot prise de l'italien et non du latin comme on l'a prétendu dans le Dictionnaire de Trévoux, t. 38. p. 202. Pourquoi on l'a appliqué aux Parifiens plutôt qu'à tout autre peuple, ibid. Il y a des badauds partout, ibid.

BADAJOZ (bataille de), gagnée par le duc d'Albur querque fur les Efpagnols t. 20. p. 246.

BADE (le prince de) prend Landau, t. 20. p. 512. Battu par le maréchal de Villars, p. 513. Anecdote à ce fujet, ibid.

BADE-DOURLAC (la margrave de): lettres qu'elle écrit à Voltaire, t. 66. p. 368, 369, 375, 376, 378 et 403. Celles qu'elle en reçoit, p. 371 (il s'y trouve un trèsjoli quatrain); 382, 390, 396 et 397.

BAGDAT: devient le fiége de l'empire des Califes, t. 16.

BAI

p. 323. Opinions différentes fur la fondation de cette ville, 79 ibid.

BAGIEUX, chirurgien-major des gendarmes de la gardė etc. Lettres d'amitié que lui écrit Voltaire et 520. Autres fur différens fujets, t. 56. p. 354 et t. 54. p. 420 t. 57 p. 11.

BAGLIONE (les): comment s'établiffent à Pérouse t. 43. p. 123.

BAGUETTE DIVINATOIRE: Voyez verge magique.

BAJAZET furnommé le Foudre donne des fecours à Andronic, t. 17. p. 416. Ordonne à Jean Paléologué de détruire la fortereffe qu'il a élevée et eft obéi, p. 417. Bat l'armée chrétienne en Hongrie, ibid. Témoigne du mépris aux Français qui fe trouvent dans cette armée ibid. Reçoit les ambaffadeurs de Tamerlan avec hauteur et mépris, p. 420. Eft battu et pris par ce conquérant à la bataille d'Angora, ibid. En fut if enfermé dans une cage? p. 421. Sa femme en reçut-elle quelqu'affront, ibid. BAJAZET, tragédie de Racine: vers de cette pièce cités comme un modèle d'expofition, t. 49. p. 327.

BAIF: eft le premier qui ait traité en français lé fujet Electre, t. 4. p. 115. Son ouvrage n'eft qu'une traduction de l'Electre de Sophocle, ibid.

BAILLET (Adrien ) critique célèbre pendant le fiècle de Louis XIV, t. 20. p. 53.

BAILLEUL (Nicolas ), furintendant des Finances fous Louis XIV, t. 20. p. 38.

BAILLOL: nommé roi d'Ecoffe par Edouard I. roi d'Angleterre, t. 17. p. 300.

BAILLONI (maifon de): à quelle époque poffédait Péroufe, t. 17. p. 544. Voyez Baglione.

BAILLY (M) de l'académie des fciences et auteur de Phiftoire de l'Aftronomie ancienne : Lettre que lui écrit Voltaire à l'occafion de cette hiftoire, t. 63. p. 133, 162, 172 et 344.

BAINAST (M.) d'Abbeville : lettre que lui écrit Voltaire au fujet du temple du Goût, t. 52. p. 158.

BAISER (le): était une manière de faluer très-ordinaire dans toute l'antiquité, t. 38, p. 204. Exemple qu'on en donne, ibid. Fut pratiqué dans la primitive églife dans les Agapes, p. 206. De nos jours par les Piétistes p. 208. Dangers de cette pratique, p. 209.

BAISER (peinture du) par le Guarini, t. 38. p. 203. Traduction libre des vers du poëte italien, p. 204.

BAISER LES PIEDS (coutume de): par qui introduite dans l'empire, t. 25. p. 40. Par quels papes arrogée au pontificat, ibid.

BAIüs, docteur de Louvain: fes propofitions, t. 21. p. 345. Condamné à Rome, ibid. Se retracte, p. 346.

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BALAAM.: détails fur ce prophète t. 34. p. 154 et Suiv. Son colloque avec fon aneffe, p. 157. Ses prophéties, p. 159. Dans quel tems fon hiftoire a été écrite ibid. Voyez l'article qui fuit.

BALAC ROI DES MOABITES: confulte Balaam, t. 34. p. 154 et 155. Réponse qu'en reçoivent ceux qu'il lui a envoyés, ibid. Va au devant du prophète, p. 157. Leur entrevue et ce qu'il lui prédit, p. 159.

BALANCE ÉGALE ou raifon pour ôter aux jéfuites l'éducation de la jeuneffe, t. 46. p. 103. Raifons pour la leur conferver, p. 104.

BASLE : comment la réforme s'y opère, t. 18. p. 174. BALIN, orfèvre pourquoi mis au rang des artistes célèbres, t. 20. p. 205.

BALINCOURT (Teftu de): maréchal de France, t. 20.

P. 22.

BALMERINO (lord), pair écoffais : condamné à mort pour avoir pris les armes en faveur du prétendant, t. 22. p. 218. Comment fubit fon fupplice, p. 219.

BALTA fignification de ce mot, t. 23. p. 217.

BALTAGI MEHEMET : grand vifir pour la feconde fois et fes différentes fortunes, t. 23. p. 218. Reçoit ordre d'aller combattre les Mofcovites, ibid. Affemble fon armée près d'Andrinople, p. 221. Son expédition, t. 224. Accorde une fufpenfion d'armes aux Ruffes, p. 230. conclut la paix, p. 231. Demande à Vienne le paffage pour le roi de Suède, p. 234. Lui intime l'ordre de quitter les terres de l'empire turc, p. 235. Lui retranche fon Thaïm, p2 236. Eft relégué, p. 238. Pourquoi fe conforme aux intentions d'Alicoumourgi, p. 245.

BALTAGIS ce qu'ils font, t. 23. p. 217.

BALTUS (le jéfuite ) : apprécié, t. 42. p. 198. Ecrit contre l'ouvrage de Fontenelle fur les oracles, ibid. Son opinion abfurde à ce fujet, t. 16. p. 133.

BALUZE, littérateur célèbre du fiècle de Louis XIV, t. 20. p. 53. Ses travaux et les motifs de la difgrace qu'il effuye, ibid.

BALZAC (Jean-Louis): notice hiftorique fur ce littérateur, t. 20. p. 53. Par quel genre de mauvais goût

fe

fe diftingua, t. 40. p. 491. Ce qui a décrédité fes lettres, t. 48. p. 374. Jugement qu'on en porte, p. 377 et 378. Reproche qu'on peut faire à fon ftyle, t. 49: et 289 et t. 43. p. 223. En quoi eftimable dans fon tems, t. 21. p. 252. Fragmens d'une lettre qu'il écrit à Scuderi dans laquelle il rend juftice au célèbre Corneille alors perfécuté par fes contemporains, t. 5o. p. 98. Lettre qu'il écrit à celui-ci, à l'occafion de Cinna, p. 182. Remarques fur le style de cette lettre, ibid. et p. fuiv.

BALZAC D'ENTRAGUES, l'une des maîtreffes d'Henri IV. fauffement foupçonnée d'avoir fait affaffiner ce prince, t. 19. p. 37.

BAN: ce que fignifie ce terme, t. 25. p. 131. Convoqué par Louis XIV; t. 20. p. 385.

BANAIAS: a-t-il du obéir à l'ordre de tuer Adonias aux pieds des autels, t. 29. p. 323.

BANDINI (Bernard): l'un des affaffins de Laurent de Médicis, lui eft livré par Bajazet II. t. 17. p. 543. BANIANS habitent la prefqn'ile en deça du Gange et defcendent des anciens peuples de l'Inde, chez lefquels Pythagore alla puifer fa philofophie, t. 16. p. 189. t. 18. p. 287. et t. 41. p. 137.

BANISSEMENT: d'un malfaicteur en pays étranger paraît une infraction au droit des gens; t. 38. p. 211.

BANNI: (un homme) de fa patrie eft-il encore de la patrie, t. 38. p. 212. Peut-il s'armer contre elle? ibid. Raifons qui tendent à réfoudre cette queftion à l'affirmative, ibid.

BANQUE entre particuliers, ce que c'eft et quel eft fon but, t. 38. p. 212. Ses opérations, p. 213. Banque d'état très-différente de la précédente, p. 216.

BANQUEROUTE : tems auquel on n'en connaiffait pas et pourquoi, t. 38. p. 217. Le mot et la chofe viennent d'Italie, p. 218. Anecdote fur celle qu'éprouva un homme de lettres qu'on foupconne être Voltaire lui-même, p. 219. BANQUEROUTIER : en Italie, quel était autrefois fon fort, t. 38. p. 218. En Angleterre, fe déclare par la voie des papiers publics, ibid. En France traité tantôt avec rigueur et tantôt avec indulgence, p. 219.1

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BAPTÊME par IMMERSION, fource de tous les rites t. 16. p. 53. En ufage chez les anciens Perfes, p. 304. Chez les Indiens voifins du Gange, t. 26. p. 494. t. 38. p. 220. Chez les Hébreux, t. 38. p. 221. Par ASPERSION fes avantages et comment administré, p. 223. De FEU, Tab, des mat. Tome LXXI.

F

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