fupreme la font aveugle et purement mécanique, p. 419.* En quoi Spinofa diffère d'eux, t. 39. p. 301. Quelle en eft l'efpèce la plus commune, t. 18. p. 215. Les véritables font en très-petit nombre, t. 33. p. 178. Combien pernicieux à la fociété, p. 179. Nomenclature de ceux qui le furent chez les anciens, t. 38. p. 301. A quelle époque il y en eut à Londres, t. 32. p. 178. A laquelle en Italie, ibid. Voyez les deux articles cideffous. ATHÉES (fociété d'): fingulière contradiction de ceux qui foutenaient qu'elle était impoffible, t. 16. p. 89. Pourrait-elle fubfifter? Difcuffion à ce fujet. t. 38. p. 116 et fuiv. ATHEISME qui lui a donné naiffance, t. 18. p. 214. Fortement réfuté, t. 32. p. 416 et fuiv. Peut caufer autant de mal que les fuperftitions les plus barbares, p. 428. C'eft la philofophie des fcélérats, p. 430. Cepen dant il y a des athées vertueux, p. 435. La théologie avait jeté beaucoup de gens dans cette erreur de l'efprit, la philofophie les en a retirés, t. 38. p. 89. Comment on le prouve, ibid. et p. fuiv. Quels font les principes qui peuvent y conduire, p. 95. Celui des Chinois, t. 47. p. 200. ATHÉÏSME (dialogue fur l') entre M. Freind qui parle contre et le jeune Birton qui parle pour, t. 45. p. 302 à 336. ATHENAGORE profeffe dans l'école d'Alexandrie et qui lui fuccède, t. 33. p. 313. Comment difculpe les premiers chrétiens des accufations intentées contre eux, t. 43. P. 482. ATHENES: fon état fous la domination turque, t. 17. P. 448. ATHENIENS: leur tolérance religieufe, t. 16. p. 118. Ne s'en écartèrent qu'une feule fois et s'en repentirent, ibid. Avaient un autel dédié aux Dieux étrangers ou inconnus t. 30. p. go. Loi barbare qu'ils avaient portée contre l'étranger qui s'introduifait dans leurs affemblées ; t. 39. p. 175. Etaient un peuple aimable, t. 14. p. 53. Le théâtre une de leurs inventions, ibid. A quoi on s'occupait avant qu'on y jouât la tragédie, ibid. et p. 54. ATHLONE (le comte d'), général hollandais: ce qui fe paffa entre lui et Marleboroug, t. 20. p. 510. ATLANTIDE (ile): hiftoire de fa fubmerfion, t. 42. P. 323. Se trouve dans le Timée de Platon, ibid. et p. 324. Quelle en eft l'époque felon Platon lui-même, t. 39. p. 141. La perte de cette île, fi elle était vraie, ferait la plus grande des révolutions qu'aurait éprouvé le globe, t. 16. p. 7. Sous quel point de vue on peut en confidérer l'engloutiffement, t. 38. p. 450. ATOMES : quels philofophes en ont admis la doctrine, t. 38. 123. Sont indivisibles P. ATRÉE ET THIESTE, tragédie de Crébillon critique de cette pièce t. 6. p. 180 et t. 13. P.. 268. Voyez Crébillon et Pélopides ATTALE, empereur romain quel il rampe, t. 16. P. 368. , p. 127. créé par Alaric fous le ATTAIGNANT (M. l'abbé de l'): lettre en vers et en profe que lui écrit Voltaire au fujet de quelques couplets que lui avait envoyés cet abbé, t. 15. p. 367. ATTILA, ROI DES HUNS : dévafte tout de la Chine aux Gaules, t. 16. p. 368. A quelle époque vint ravager l'Italie et quel droit il y avait, t. 43. p. 120 et 396. Son entrevue avec Léon évêque de Rome et contes abfurdes qu'on fait à cette occafion, t. i6. p. 369. (Voyez Saint Léon). Ne prit jamais le titre de fléau de Dieu, t. 43. p. 3g6. Remarque critique et judicieufe fur l'expédition de ce conquérant et fur fa perfonne, t. 51. p. 341. Epouse sa fille Efca felon l'ufage des Scythes, t. 41. p. 300. Par qui ce fait est allégué et le dégré de crédibilité qu'on doit lui accorder, ibid. ATTILA, ROI DES HUNS, tragédie de Corneille : pourquoi Voltaire s'eft abftenu de commenter cette pièce indigne du génie de Corneille, t. 51. p. 339 et 340. ATTIRET (le jéfuite): deffinateur à la cour de la Chine " t. 38. p. 247. Defcription qu'il fait d'un palais de l'empereur plus grand que la ville de Dijon, ibid. et pages juiv. ATTRACTION ce qu'on entend par ce mot, t. p. 130, 162 et 231. Examen de fes effets et des lois auxquelles elle est soumise, p. 131 et fuiv. Il y a attraction ou tendance mutuelle entre le foleil et les planètes, p. 133, 192 et fuiv. Exifte également dans toutes les parties de la matière, p. 199. Calcul admirable de Newton à ce fujet, ibid. ཉིད. 128. AVARICE: définition et acception de ce mot, t 38. p. 1 AVAUX (le comte d'): ambassadeur en Hollande fous le règne de Louis XIV. Avis qu'il donne à ce prince au fujet du numéraire que les réfugiés fortaient de France,t. 30. p. 187. Réponse de Louis, ibid. Autres avis fur les fuites funeftes de la révocation de l'édit de Nantes ibid. et p. 188. Eft ambaffadeur auprès de Jacques II. quoique ce prince foit détrôné, t. 20. p. 426. AUBE (M. d'), neveu de Fontenelle : épigramme fur fa mort, t. 14. p. 318. AUBEPINE (Charles d'), chancelier de France, t. 20. p. 36. Notice fur ce magiftrat, ibid. AUBERT (M. l'abbé): ce qu'il marque à Voltaire en lui envoyant le recueil de fes fables, t. 7. p. 226. Lettre de celui-ci à ce fujet, t. 56. p. 30. Epitre en vers de l'abbé à laquelle cette lettre donne lieu, t. 70. p. 228./ Lettre qu'il reçoit de l'auteur au fujet de la feconde édition de fes fables qu'il lui avait adreffée, t. 57. p. 141. AUBETERRE (le brave d'): le feul colonel tué au fiége de Bruxelles, t. 47. p. 61 et 62. AUBETERRE (M. le marquis): fe trouve dans fa jeuneffe à la bataille de Fontenoi et eft depuis ambaffadeur à Rome, et chargé de négociations relatives à l'abolition des jéfuites, t. 12. p. 231 et 242. AUBIGNAC (l'abbé d'), auteur d'une pratique du théâtre : fit une tragédie en profe dont la première représentation ne fut point achevée, t. 38. p. 38. et t. 39. p. 191. Comment s'était accrédité dans les plus grandes maisons de Paris, t. 51. p. 224. Calomnia Corneille, t. 1. P. 13, Injures qu'il lui prodigua, t. 51. p 225. et t. 39. p. 191. Ce que lui répondit, cet homme célèbre, t. 48. p. 10. Notice qui lui eft relative, t. 20. p., 50. AUBIGNÉ (Comte d'), frère de madame de Maintenon : ce qu'il obtint de fa foeur, t. 21. p. 149. Réponse qu'il lui fait lorfqu'elle lui écrit qu'elle voudrait être morte. AUBIGNÉ (Théodore Agrippa d' ) ; ce qu'il rapporte au fujet du duc de Guife, t. 10. p. 229. AUBIGNÉ (madame d'): quelles leçons d'économie elle reçoit de madame de Maintenon fa belle-foeur,t. 39. p. 439. AUBIN (madame la marquife de Saint): voyez quatrain. AUBOURG rôle qu'il joue dans l'affaire des Jonquai, t. 30. p. 381 et fuiv. AUBRAI (le lieutenant civil d'), père de la Brinvilliers pourquoi périt par le poifon, t. 21. p,129. et 130. Sa defcente officielle à Port-Royal des champs, p. 353. et 354. AUBRI: curé de Saint-André-des-Arcs à Paris, porte et engage Pierre Barrière à affaffiner Henri IV, t. 19. p. 28. Se réfugie chez le legat du pape, ibid. Ecartelé en effigie par arrêt du parlement, ibid. AUBRI (Antoine) : écrivain du fiècle de Louis XIV t. 20. p. 52. Fut le premier qui décéla la fauffeté du teftament politique du cardinal de Richelieu, ibid. AUBUSSON (Pierre): défend Rhodes contre les Turcs t. 17. p. 448. AUBUSSON (fabriques d'), t. 21. p. 195. AUCH ( archevêque d' ) : ambaffadeur de Louis XII à Rome. Voyez Jules II. Autre qui prétend que l'auteur n'ira jamais en Paradis, t. 59. p. 233. Le mandement du même, figné J. F., t. 48. p. 62. Sa lettre pastorale au fujet de celle qui fut publiée en 1764, t. 46. p. 188. AUDIBERT (M.), négociant à Marseille, et de l'académie de la même ville. Lettre que lui écrit Voltaire au fujet des Calas, t. 57. p. 430, Autre en vers et en profe t. 15. P: 365. Autres fur différens fujets inférés dans la correfpondance générale, t. 58. p. 139. t. 61. p. 277 et 535. t. 62. p. 407. et t. 63. p. 192. AUDOYER, miniftre proteftant: pendu pour fa croyance, t. 48. p. 245. * AUDRA (l'abbé), profeffeur d'histoire à Toulouse : pourquoi perfécuté, t. 17. p. 199. Lettre en vers et en profe que lui écrit Voltaire t. 15. p. 327. Autres inférées dans la correfpondance générale, et relatives aux Sirven. Voyez les tables du t. 61. p. 565. AUDRAIS, commiffionnaire de l'auteur à Déli, t. 42. p. 114. Sa converfation avec un jéfuite convertiffeur, ibid. AVEÏRO ( duc d'): pourquoi attente avec fa famille à la vie du roi de Portugal, t, 22. p. 348. Voyez Tavora. AVENTURE INDIENNE: Voyez Pythagore. AVENTURES (petites ), propres à faire faire des réflexions fur les lois, t. 41. p. 477: AVERTISSEMENT: effentiel ou inutile fur la défense de mon oncle, t. 27, p. 181. AVERTISSEMENTS DES ÉDITEURS: voyez éditeurs. AVEUGLE-NÉ (hiftoire de l'), auquel le fameux Chéfelden fait l'opération; t. 39. p. 359. AVEUGLES qui veulent juger des couleurs : t. 45. p. 449 et 450. Sourd qui leur donne tort et qui s'établit de fon côté juge en mufique, ibid. mot P. AUGURE: de quelle langue on prétend faire dériver ce t. 38. 130. Comment devint un objet de fuperftition et d'imposture, p. 132 et suiv. Cette efpèce de di̟vination périt avec l'empire romain, 132. AUGURE (1') romain: fa doléance et confeil qu'on lui donne, t. 30. p. 12. AUSBOURG, ville impériale, la foule qui ait confervé les reftes, quoique défigurés, du nom d'Augufte, commun à tant de villes, t. 22. p. 87. AUGUSTE (Octave): à quel point était fuperftitieux, t. 5. p. 173, Exemple de cette fuperftition, t. 58, p. 134. Quels préfages il prend fur ce rapport pour le gain de la bataille d'Actium, ibid. Excès de cruauté auxquels il fe livre après cette bataille, t. 5. p. 178. Sa clémence envers Cinna fortemeut révoquée en doute, ibid, et t. 38. p. 141 et fuiv, Quelles furent fes mœurs, p. 137. Exemple qu'on donne de fa dépravation, ibid. Ses différentes cruautés, p. 139. Détails fur fa perfonne et fa divinité, t. 43. p. 292, Combien il y eut de confpirations contre cette efpèce de dieu, p. 393. Eft le premier qui joignit les légions au peuple pour travailler aux chemins, t. 38, p. 473. Ceux qu'il fit exécuter, p. 140, Baffement flatté par Virgile et Horace, t. 5. p. 173. Ce qu'en dit Tacite; ibid. L' Ariofte, ibid. et t. 38, p. 138, Pourquoi fut tant loué, t. 43. p. 333. Eut d'abord un fphynx pour cachet et emblème, t. 5. p. 179. Pourquoi lui en fubftitua un 'autre et quel il fut, ibid. Raillerie auquel ce dernier pouvait l'expofer, ibid. Pourquoi appelé fils de Cépias, p. 183. Voyez Racine (Louis). AUGUSTE (fiècle d') : quels hommes l'ont illuftré, t. 20. P. 120. AUGUSTE d'abord électeur de Saxe, t. 24. p. 114. Eluroi de Pologne, p. 117, 120 et 139. et t. 23. p. 46. Son caractère, t, 23. p.46. Sa cour, ib. Soutenu par le czar Pierre-le-Grand contre Charles XII, t. 24. p. 145 et f. et p. 155, 160, 162 et 243. Attaque ce dernier en Livonie, t. 23, p. 46. Affiége Riga, p. 70. Eft obligé d'en lever le fiége, ibid. Se ligue avec le czar à Birzen, p. 81, Fait des mécontens dès le commencement de fon règne, p. 91 et 92. Convoque une diète malgré lui, p. 93. Demande la paix à Charles XII, p. 97. Ses propofitions refufées, p. 98 et 99. Un de fes chambellans prifonnier, p. 99, Eft abandonné par la majorité des fénateurs, p. 100 et 101. Ses occupations p. 102, Cherche le roi de Suède , p. 103. Perd la bataille de Cliffau, p. 104. Convoque une diète à Marienbourg, p. 106. La transfère à Lublin, ibid. Se retire à Thorn et dans les Palatinats, p. 108. En danger d'être pris, p. 113. Se rend maître de Varsovie et en chaffe Stanislas. p. 120. Premier avantage qu'il remporte fur les Suédois, p. 122. |