ABBADIE (Jacques), écrivain du fiècle de Louis XIV, t. 20. p. 47. Quel ouvrage lui fit honneur, et quel lui fit tort, ibid. Défend quelque fois la vérité avec les armes du menfonge, t. 33. p. 164. Cas qu'il fait de l'apologie de la religion chrétienne, par Tertullien, p. 83. Regarde comme authentique les lettres de Pilate à Tibère et la propofition de ce dernier de mettre Jésus au rang des Dieux, t. 40. p. 151. Mort en démence à Dublin, t. 33. p. 164. ABBASSIDES (califes) : à quelle époque commencent leur dynastie, t. 16. p. 323. ABBAYE: ce qu'on entend par ce mot, t. 37. p. 23. Propofition faite en France, en 1575, de les mettre toutes en commandes, p. 33. Pourquoi ce projet n'eut pas lieu, ibid. Des femmes en ont poffédé, ibid. On en donnait aux reines pour leurs menus plaifirs, ibid. Sully, proteftant, en eut une, ibid. Hugues Capet n'était riche qu'en abbayes, ibid. ABBÉ : fignification de ce mot et fa racine, t. 37. p. 23. Décifion du concile de Paris fur ce titre ibid. N'était point prêtre dans les premiers fiècles de l'églife, p. 31. Etait le père fpirituel de fes moines, p. 34. Voyez MontCassin. ABBÉ , gros décimateur: mis en comparaison avec le curé de campagne à portion congrue, t. 39. p. 211 et 212. ABBÉ DE SAINT-CYRAN (Duverger de Haurane ), a publié un traité fur le fuicide, qui eft devenu un des livres les plus rares de l'Europe, t. 38. p. 402. Paffage qu'on en cite et qu'on examine, ibid. ABBÉS BÉNÉDICTINS : puiffans avant Charlemagne, t. 16. p. 423. Ont des fiefs et des ferfs, ibid. ABDALA, roi de Tolède, épouse la fœur d'Alfonse V, roi de Léon, t. 17. p. 10. ABDALA, brigand qui défola le vafte empire du Mogol. Son origine et fon expédition dans l'Inde, t. 26. p. 384 et 385. Pille Déli, p. 525. ABDERAME, gouverneur de l'Espagne pour le fultan d'Egypte, s'en empare pour fon propre compte, t. 16. p. 323. Ses conquêtes, ibid. Eft tué par Charles-Martel, ibid. ABDIAS, contemporain de Jéfus, et l'un des plus célèbres difciples des apôtres, t. 33. p. 78. A écrit l'hiftoire de ces derniers et l'a remplie de fables qui la rendent abfurde t. 38. p. 518. Ce qu'il rapporte de St.-Jean, lorfque celui-ci fe prépara à la mort, t. 42. p. 64. De St.-Paul, qu'il accufe d'avoir provoqué le tumulte dans lequel St-Jacques le mineur fut lapidé, p. 277. et t. 35. p. 279. Comment raconte le combat de Pierre et de Simon le magicien t. 33. p. 78. et t. 38. p. 519. Détails qu'il donne fur ce même Simon, t. 35. 232 et 233. En contradiction avec Arnobe, ibid. P. ABDICATION de Philippe V, t. 22. p. 11. De Victor Amédée, duc de Savoie, p 38 et fuiv. Obfervations fur les quatre princes qui la firent dans le même fiècle, p. 39.. ABEILLES (obfervations fur les ), t. 37 p. 35 et fuiv. N'ont ni roi, ni reines, p. 36. Erreur dans laquelle on eft tombé fur ce qui les concerne t. 31. 9 p. 407. Voyez Virgile, Mandeville et écrivains facrés. ABELIENS : voyez Adamites. ABENADA, général du Miramolin de Maroc, qu'il trahit, t. 17. p. 13. ABEN-ESRA, fameux rabbin, t. 17. p. 533. et t. 47. p. 396. ABERRATION DES ÉTOILES découverte par Bradley, t. 22. p. 401 et 402. ABGARE, roi d'Edeffe (lettres d') à Jésus-Christ, et réponses, regardées comme apocryphes, t. 37. p. 424. ABIMELECK, roi de Gerar: enlève Sara, t. 34. p. 45. Commentaire fur cette aventure, ibid. et fuiv. Enlève Rébecca, p. 58. Commentaire à ce fujet, ibid. ABIMELEO, fils de Gédéon : maffacre fes 70 frères, t. 34. p. 202. Ce qu'on obferve fur ce fratricide inoui, ibid. Malgré ce crime règne fur Ifraël, p. 203. ABINGTON ( milord) : notice qui lui est relative, t. 12. p. 328. ABIRON : Voyez Aaron. ABLANCOURT (Nicolas Perrot d' ), écrivain du fiècle de Louis XIV, t. 20 p. 47. Ce qu'on a dit de fes traductions, ibid. Abfurdité qu'on lit dans fon épître dédicatoire mife à la tête des commentaires de Céfar et dédiés au Grand Condé, t. 38. p. 441. ABOUGIAFAR-ALMANZOR : fixe le fiége de l'empire des califes à Bagdat, t. 16. p. 323. ABRABANEL, fameux rabbin, t. 17. p. 533. ABRAHAM: fait époque pour les Occidentaux, et n'en fait point pour les Orientaux, t. 37. p. 41. On diffère fur l'époque de fa naiffance, p. 42. Calculs et incertitudes à ce fujet, ibid. et p. 51. Autre fur le degré de parenté entrẹ lui et Sara, p. 44. Fut d'abord appelé Abram, t. 34. p. 29. A quelle époque Dieu lui fit changer de nom, p. 34. Obfervation fur l'âge qu'il devait avoir quand il quitta fon pays, p. 29. Quel intervalle a pu s'écouler entre le déluge et fon voyage en Egypte, t. 37. p. 45. Son âge alors, t. 27. p. 364. Celui de Sara, p. 365. Obfervations fur les préfens qu'il reçut par rapport à elle, ibid. Etait un perfonnage confidérable et connu des Perfes, des Chaldéens, des Mages, etc., t. 37. p. 46 et 50. et t. 34. p. 32. ( voyez Ibrahim) A été pris pour le Brama des Indiens, t. 37. p. 46 et 53. t. 34. p. 32 et 34. et t. 16. p. 71 et fuiv. Confondu quelquefois avec Zoroastre, t. 34. p. 32 et 34. Regardé par les Arabes comme le fondateur de la Mecque t. 37. p. 50 et 6o. Quel refpect avait pour lui Mahomet, et comment il en parle dans le Coran, ibid. Objections critiques fur le commerce immédiat que ce patriarche eut avec Dieu, fes victoires et fes combats, p. 47 et 50. t. 34. p. 32 et 34. Quel repas. il donna aux anges qui lui rendirent vifite, t. 34. p. 36. Vers fur cette vifite, t. 15. p. 47. Pourquoi s'avifa d'être père avec Agar, t. 11. p. 219. Sa conduite envers elle, t. 37. p. 104. (voyez Agar) Confor mité du facrifice qu'il veut faire de fon fils avec celui d'Iphigénie, t. 33. p. 264. Autres obfervations fur quelques traits de fon hiftoire, t. 16. p. 73 et 74. Prix qu'il donna de l'antre d'Hebron, qui devint le lieu de fa fépulture, t. 43. p. 189. Opinions des Mufulmans fur le tombeau de ce patriarche, t. 3. p. 213. Voyez encore pour ce qui le concerne, l'ouvrage intitulé: Défenfe de mon oncle, t. 27. p. 208. ABRAM : Voyez l'article précédent. ABRANTÈS (duc d'): voyez Harrach. ABRÉGÉ de l'Hiftoire Univerfelle depuis Charlemagne jufques à Charles-Quint. Voyez Effai fur les mœurs et l'efprit des Nations. ABSALON fils de David, fait affaffiner fon frère Amnon parce qu'il a outragé fa foeur Thamar, t. 34. p. 285. Etait le plus bel homme dans Ifraël, p. 286. Conjure contre fon père, p. 287. Eft maître de Jérufalem, p. 289. Déshonore les femmes de David, ibid. Revenu annuel qu'il tirait de fa chevelure, t. 43. p. 189. ABSENCE: fes dangers en amour, t. 11. p. 78. ABSOLUTION du pape : pourquoi follicitée par Fran çois I, t. 18. p. 122. ABSOLUTIONS pour apoftafie, bigamie, héréfie, homie ride à fon corps défendant ce qu'il faut payer en France pour les obtenir, t. 39. p. 422. ABSTINENCE des viandes voyez Viandes. ABU BEKER: pourquoi nommé calife au préjudice d'Ali, . 16. p. 316. Son éloge, p. 317. Son teftament, ibid. ABULGASI : cité comme hiftorien des Tartares, t. 17. P. 175. ABUL-MOHAMMED-MOUSTAPHA ce qu'il raconte de Zoroastre, t. 43. p. 494. ABUS: définition de ce mot, t. 37. p. 62. Ceux qu'on impute à la nature, t. 36. p. 316. A la fociété, p. 319. Gouvernent les états, t. 37. p. 62. Ce que peuvent répondre les nations auxquelles on en reproche, ibid. La politique les conferve presque toujours, p. 66. Voyez Vers à fentence. ABUS (appel comme d'): differtation à ce fujet, to 37. p. 63 et fuiv. ABYSSINIE: Voyez Ethiopie. ACABAR, fils de Humaiou, règne dans l'Inde et Ꭹ . établit une puiffance durable, t. 26. p. 520. Ce qu'en dit le père Catrou, p. 521. ACADÉMICIEN voyez Académifte. ACADÉMICIEN DE LYON (fentiment d'un ) fur quelques endroits des commentaires de Corneille, voyez Clément. ACADÉMICIENS (nos premiers) l'opprobre de la nation, t. 43. p. 193. Leurs noms aujourd'hui une injure, ibid. Voyez Chapelain et Cotin, académiciens qui, en 1736, allèrent au Nord mefurer un degré du méridien > et ramenèrent deux Laponnes, t. 12. p. 36. ACADÉMIE origine de ce mot, t. 37. p. 72. Abus qu'on en fait, ibid. Les Italiens ont été les premiers qui en ont eu, ibid. En France, les membres des différentes acadédémies fe font toujours refpectés, p. 73. Quel académicien manqua à cette bienféance, ibid. ACADÉMIE ANGLAISE (projet d'une) pour la langue, à l'inftar de notre académie française pourquoi ne réuffit pas, t. 43. p. 192. Hommes illuftres qui devaient la compofer, ibid. ACADÉMIE FRANÇAISE : fon origine et fes prérogatives t. 47. p. 3 et 16. Sa création et les premiers réglemens t. 37. p. 70. Oppofition que mit le parlement de Paris à cet établiffement, t. 26. p. 236. Ne reçoit aucun académicien qui ne foit réfident à Paris, t. 47. p. 4. Cas où elle dérogea à cette loi, ibid. A rendu de grands fervices à la langue françaife, t. 37. p. 72. Ce qu'elle fait et ne devrait pas faire, t. 43. p. 196. Ce qu'elle devrait faire et ne fait ACADÉMIE des Infcriptions et Belles-Lettres époque de fon établissement, t. 21. p. 247. Son but, t. 43. p. 194. Sa tâche, t. 37. p. 73. Ses mémoires eftimés chez l'étran¬ ger, t. 43. p. 594. Reproche qu'on lui fait, ibid ACADÉMIE d'Architecture: époque de fon établiffement, t. 21. p. 275. ACADÉMIE de Peinture: époque de fon établissement, t. 21. p. 276. ACADÉMIE DES SCIENCES en France époque de fon établissement, t. 21. p. 245. Ridiculement conftituée par l'abbé Bignon, t. 43. p. 191. But et nature de fes recherches, p. 194. En quoi était très-utile, t. 37. p. 73. ACADÉMIE de Toulouse: voyez Touloufe. ACADÉMIES: leur origine, t. 25. p. 48. A quoi peuvent fervir, t. 43. p. 191. ACADEMIES de province ont produit un grand bien, t. 37. p. 73. ACADÉMIES des Sciences: leur utilité, t. 43. p. 191. ACADÉMISTE: ce que ce mot fignifie et fà différence d'avec le mot académicien, t. 37. p. 72. ACCORD (l') de la religion et de l'humanité, libelle intolérant, dont l'auteur donne l'analyse, t. 3o. p. 184 et fuiv. Accusé : doit-on lui permettre un confeil ou un avocat, t. 29. p. 338. ACHÉ (le chevalier d'): bleffé à Fontenoi, diffimule devant le roi la douleur qu'il reffent, et y fuccombe, t. 224 p. 129.7 ACHMET I; fon règne malheureux, t. 19. p. 287. |