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décerné de peines contre les mères qui détruisent leur fruit, t. 27. p. 407. Pourquoi il leur eft défendu de manger de la graiffe et du boudin, p. 408. Leur propreté, p. 409. Leur gaieté dans les fêtes, p. 410. Ce qu'ils entendaient par gonorrhée, p. 411. Les femmes de leurs rois ne devaient pas être trop nombreufes, p. 413. Tems où ils ne pouvaient approcher des leurs, ibid. Pouvaient vendre leurs enfans, p. 416. Eurent parmi eux des fupplices recherchés, p. 417, Peu d'hommes ont péri chez eux par le poifon, t. 39. p. 549. Leurs lois militaires, t. 27. p. 405. Furent les feuls peuples qui n'admirent point d'enfer, t. 40. p. 9. Eurent des efclaves, p. 90. Leurs lois à ce fujet, ibid. Se vantent mal-à-propos de n'avoir jamais fervi fous perfonne, ibid. Enumération des fervitudes qu'ils ont fubies, ibid. Leur difperfion, t. 41. p. 154. Avanies et perfécutions qu'ils ont éprouvées chez divers peuples, p. 156 La conféquence de leur ignorance, t. 37. p. 51 et 82. Pourquoi refufèrent des contributions à Alexandre, p. 152. Com÷ ment l'apaifèrent, p. 153. Plagiats qu'on leur reproche, t. 33. p. 263. Comment procédaient à la recherche de la vérité dans une procédure criminelle, t. 43. p. 364. (Voyez Torture). Epoque à laquelle ils étaient les feuls hommes fur la terre qui euffent raifon, t. 42. p. 335. Quand ils ont ceffé de l'avoir et quand il n'y eut que les chrétiens qui euffent le fens commun, ibid. Comment n'étaient pas intolérans, t. 43. p. 343. Pourquoi de tous les ennemis de la religion chrétienne leurs écrits ont toujours été les plus redoutables pour elle, t. 47. p. 395. Ont employé et employent toute forte de moyens pour détruire le dogme de la divinité de Jéfus, t. 42. p. 79. Quel eft le livre le plus extravagant qu'ait produit leur aveuglement à ce fujet, p. 80. (Voyez Sepher, Toldos Jefchut). Maffacrés par les Croifés, t. 17. p. 113 et 114. Pourquoi devraient affaffiner tous les Turcs, t. 30. p. 168. Epoque où ils furent chaffés de l'Allemagne t. 25. p. 266. Perfécutés en Espagne, t. 18. p. 258. Leur nombre et leur richeffe dans cette contrée du tems de Ferdinand et d'Ifabelle, t. 17. p. 526. Chaffés par eux, p. 527 et fuiv. Leur état, en Europe, à différentes époques, P 530 et fuiv. Leur nombre actuel, t. 27. p. 383. A quelle époque quelques-unes de leurs familles fe font établies à la Chine, t. 16. p. 274. Nom qu'on leur y donne, t. 36. p. 113. Leur portrait tracé par main de maître,

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p. 265. Comment peint dans l'Epitre à Uranie, t. 12, p. 68 et 69. Ce qu'on en dit dans l'ouvrage intitulé: Défense de mon oncle, t. 27. p. 234, 235 et suiv. Voyez Filles, Secte abominable, Médicis (Catherine de), Juif (lettre d'un) écrite de Conftantinople à fes frères répandus, et non difperfés fur la terre, t. 46. p. 275. On y paffe les différentes religions en revue, p. 276.

JULES II: année de fon exaltation, t. 25. P. 19. Pon tife guerrier, ibid. Son caractêre, t. 45. p. 248. Fit et mangea Dieu en fe fouillant de fang et de carnage, t. 40. p. 154. Augmenta l'état eccléfiaftique, t. 25. p. 19. Ses acquifitions, t. 29. p. 96. Fut le moteur de la ligue de Cambrai, t. 25. p. 391. Quel était fon grand deffein, p. 392. Accorde l'inveftiture de Naples au roi Ferdinand d'Arragon, p. 393. Déclare la guerre à la France, ibid. Ses expéditions militaires, ibid. Force Borgia à lui reftituer une partie des villes dont il s'était emparé, t. 18. p. 14. Comment trompe le cardinal d'Amboife, p. 16. Excommunie fes ennemis, p. 20. S'empare de la Romagne p. 21. Songe à chaffer les Barbares de l'Italie, p. 22. RéConcilié avec Venife, fe ligue avec elle contre les Français, ibid Leur débauche les Suiffes, p. 23. A quel prix met Ferdinand le catholique dans fes intérêts, ibid. Emploie jufqu'aux Turcs contre Louis XII, p. 25. Se bat et s'empare de Mirandole, ibid. De Parme et de Plaifance p. 33. Achève ce qu'Alexandre VI avait commencé, t. 43. p. 124. (Voyez Alexandre VI). Comment Louis XII en fut la dupe, ibid. (Voyez Louis XII). Comment l'archevêque d'Ausch le traitait, ibid. Publia la bulle de la Cruzade, t. 17. p. 528. (Voyez Cruzade). Pourquoi Jaiffe croître fa barbe, t. 18. p. 98. En introduit la mode ibid.

JULES III: année de fon exaltation, t. 25. p. 19. Paffait pour voluptueux, ibid. Fit cardinal fon porte-finge, ibid. Rétablit à Trente le concile qui avait été transféré à Bologne, t. 18. p. 519. Excommunie les affaffins de Martinufius, p. 521. (Voyez Martinufius).

JULES CÉSAR tragédie traduite de Shakespeare par Voltaire; examen de cette pièce, t. 1. p. 312. Obfervations de d'Alembert qui lui font relatives, t. 68. p. 209.

JULIEN DE LA ROVERE: pape fous le nom de Jules II, voyez Jules II.

JULIEN (l'empereur): la gloire de l'empire romain, pouvait plus qu'aucun autre en retarder la chute, t. 16.

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P.

par-

p. 366. Sobre, chafte, défintéreffé et clément, t. 41. p.
183. Sublimité de fes principes, t. 16. p. 119. Forcé d'a-
bord d'embraffer à l'extérieur le chriftianifme pour fauver
fa vie, t. 33. p. 127. Etait ftoïcien et par conféquent phi-
lofophe et religieux, ibid. Gouverna en fage, t. 35. p. 327
et 328. Vécut trop peu pour la gloire et le bonheur de
l'empire, t. 33. p. 131. Aima-t-il les dieux d'auffi bonne
foi qu'il détefta la fecte chrétienne, t. 35. p. 329 Com-
ment cette double question eft réfolue, ibid. A-t-il jamais
été chrétien, et eft-it probable qu'il eût pu l'être, t. 37.
p. 443. Erra fur le dogme et non fur la morale, t. 32.
146. Voulut étouffer les divifions des chrétiens, et n'y put
parvenir, t. 38. p. 533. Pourquoi long-tems regardé comme
un monftre, t. 41. p. 183. Par qui calomnié, p. 190. L'eft
d'une manière abfurde par Grégoire de Naziance et Théo-
doret, t. 43. p. 334. Lettre de ce prince qui donne une
idée du fanatifme des Galiléens qu'ils n'ont point perdu,
p. 183. Dix chrétiens confpirent contre lui, et il leur
donne, ibid. et p. 189. Differtation fur le miracle arrivé
lorfque ce prince entreprit de rebâtir le temple de Jéru-
falem, p. 185. Pourquoi donna des ordres pour difconti-
nuer cette reconftruction, t. 28. p. 33. Eft infulté par ceux
d'Antioche, et au lieu de les punir, fe contente de les
rendre ridicules, t. 43. p. 334. Idée qu'il donne du zèle
des chrétiens dont il était le contemporain, p. 480. De
leurs déportemens réciproques quand ils font divifés de
croyance et d'opinions, p. 491. Pourquoi conçut-il de l'a-
verfion pour leur fecte, t. 41. p. 191, et t. 33. p. 6. Re-
proche qu'il leur fait, p. 61. L'empire s'en glorifie, comme
homme de lettres, t. 43. p. 125. Pardonne à ceux qui
avaient écrit contre lui, t. 29. p. 329. Grands hommes.
auxquels il eft juftement comparé, t. 41. p. 184 et 188.
Les abfurdités qu'on lui impute tombées en difcrédit, p.
184. Ses calomniateurs réduits à lui prêter des ridicules,
ibid. Quand fe montrait réellement philofophe, t. 42.
p. 290. Dut fa vie et fa fortune à l'impératrice Eufebie,
t. 41. p. 191. Idée qu'il donne du caractère des Parifiens,
oppofée à celle qu'on en a aujourd'hui, t. 40. p. 351.
(Voyez Parifiens). A quoi il compare la langue celtique
que de fon tems on parlait dans la Gaule, t. 16. p. 244.
Ce qu'il penfait de la défenfe que Dieu fit à l'homme de
manger du fruit de l'arbre de la fcience du bien et du mal,
t. 34. p. 10. Eloge de ce prince, t. 16. p. 366, et t. 28. p.
31. Ses vertus, t. 41. p. 188. Détails qui lui font relatifs,

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t. 28. p. 34 et fuiv. t. 33. p. 128 et fuiv. t. 35. p. 325 et
fuiv. t. 37. p. 445, et t. 41. p. 195. La Bletterie n'en a
fait qu'un fuperftitieux, t. 52. p. 254. N'a pas eu les ri-
dicules qu'on lui attribue, p. 263. Voyez la Bletterie
Léontius, Théodoret, Paulian, Nonotte et Taurobole.
Qui a traduit fon fameux difcours, t. 49. p. 234. Cette
traduction fauffement attribuée à Voltaire par l'évêque
d'Anneci, ibid.

JULIEN: faux meffie qui parut dans le fixième fiècle,
t. 42. p. 83. Battu, pris et condamné au dernier fup-
plice, ibid.

JULIEN (le cardinal): fa réponse à Procope le rafé
t. 17. p. 413. Porte Ladislas IV à rompre la paix qu'il
a conclue folemnellement avec Amurath II, p. 423.
Périt à la bataille de Varne, p. 430, et t. 25. P. 358.

JULIEN (le comte): fon histoire et celle de fa fille, très-
fufpecte, t. 16. p. 479. Appelle les Maures en Espagne
ibid.

JULIEN (madame de Saint): épitres que lui adreffe
Voltaire, t. 13. p. 208 et 278. Son portrait, t. 14. p. 269.
Vers qui lui font adreffés par le même, ibid. et p. 388.
Lettre en vers et en profe qu'il en reçoit, t. 15. P. 358.
Lettres feulement en profe, et faisant partie de la Corref-
pondance générale, t. 59. p. 454 et 531, t. 6o. p. 542,
t. 61. p. 50, et la table des t. 62. p. 427, et t. 63.

:

P. 374.
JUPITER lieu de fa naiffance et de fa fépulture, t. 6.
p. 82. Etymologie de fon nom, ibid. Tous les peuples, ex-
cepté les Egyptiens, l'ont armé du tonnerre, p. 83. Idée
qu'en avaient les Grecs, t. 33. p. 208. Les Romains, p.
213. Les payens en général, t. 32. p. 191. Son effence dé-
finie dans un vers d'Orphée, p. 192. Pourquoi amoureux
de Mnémofyne, t. 45. p. 444. Ses deux tonneaux t. 55.
p. 323.

JUPITER - AMMON pays où fut fon temple, t. 18.
P. 419.

JURA (habitant du mont): voyez Claude (Moines de
Saint-). Leur fupplique au chancelier, t. 29. p. 499.
Leur requête au roi, p. 500 et fuiv.

JURÉS : établis en Angleterre par Alfred, t. 16. p. 536.
JURÉS DE JUGEMENT : leur premier devoir t. 30.
p. 241.

JURISDICTION ECCLÉSIASTIQUE: il n'en peut exister au-
cune, fi elle n'a été concédée par le fouverain, t. 39. p.

A

420. Conféquences qu'on tire de ce théorème politique
ibid. et fuiv.

:

JURIEU miniftre proteftant qui s'acharna contre Bayle
et le bon fens, t. 12. p. 25 et 28, t. 29. p. 234, t. 42. p.
282;
t. 43. p. 33, et t. 47. p. 532. Prophétife en Hollande, t. 21.
p. 335, et t. 33. p. 34. Ses prophéties, t. 42. p. 430 et fuiv.
JURISPRUDENCE : quand elle eft mauvaise, multiplie
les crimes, t. 3o. p. 273. Faits qui le prouvent, ibid.
FRANÇAISE fes abus, t. 22. p. 391 et fuiv. Ses contra-
riétés d'une province à une autre, t. 29. p. 263.

JURONS des différentes nations de l'Europe, t. 11. p. 77.
JUSSUF bacha, grand vifir, t. 24. p. 230, et t. 23. P.
238. Accufé de corruption, t. 24. p. 232. Dépofé, t. 23.
P. 279.

JUSTE LIPSE: Voyez Amelot de la Houffaie.

JUSTE (l'homme): fa fécurité, t. 8. p. 418. Sa réfigna-
tion dans les revers, p. 432.

JUSTE et INJUSTE les principes en font gravés dans
nos cœurs par la main de l'Éternel, t. 41. p. 198. Que
doit-on regarder comme tel, t. 36. p. 250. Ce qui pourrait
en contredire l'idée qu'on s'en ferait formée, p. 254.

JUSTICE SUPREME DE DIEU (vers fur la): t. 1. p. 399,
vers 27 et fuiv.

P. 1.

JUSTICE (l'idée de): est une vérité du premier ordre,
t. 32. p. 129. Faits qui le prouvent, ibid. Vers de Corneille
qui le nient, et mal placés dans la bouche d'un ministre
130. Se forme néceffairement de la même manière dans
tous les êtres capables des combinaisons néceffaires pour
acquérir cette idée, p. 131. Eft la bafe fondamentale de
toute morale, p. 137. Agit également fur toutes les na-
tions, quoique les lois qu'elle dicte foient différemment
interprétées, ibid.

JUSTIN (Saint-) : époque à laquelle il vivait, t. 33.
p. 81. Eft le premier qui parle de la Trinité, ibid. Son ou-
vrage falfifié fur ce point, ibid. Comment fuppofe que les
hommes et les femmes doivent reffufciter, p. 82. Croyait,
d'après Platon, la préexistence des ames, ibid. Argument
qu'il tire en faveur de l'immortalité de cette fubftance, et
fur quoi il le fonde, t. 38. p. 524. Ce qu'il dit des habits
des Ifraëlites, confervés miraculeufement pendant qua-
rante ans, t. 34. p. 168. Preuves qu'il donne du dénom-
brement qui eut lieu lors de la naiffance du Chrift, et
de l'éclypfe qui arriva à fa mort, t. 42. p. 176. Suppofe
des lettres écrites par Pilate à Tibère, et les cite, t. 33.

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