p. 206. Pourquoi ce qui n'eft qu'une fédition dans un
autre pays eft une révolution en Angleterre t. 42. p. 257.
Eft la contrée du monde où la religion ait été le plus
favamment et le plus fortement combattue et défendue
t. 21. p. 282 et 283. Quels y font les effets du vent d'eft,
t. 49. p. 16. Voyez Agriculture.

ANGLETERRE (parlement d'): comparé au fénat de Rome, t. 42. p. 254. En quoi cette comparaifon eft jufte, ibid. En quoi n'y a aucun rapport, ibid. Différence effentielle, p. 255.

ANGLETERRE ( fchifme d') : ́allégorie dans laquelle on en a fait l'histoire, t. 36. p. 127 et 128.

ANGLETERRE (hiftoire d'): faits qui prouvent qu'on a eu raison de dire que c'était au boureau à l'écrire, t. 43. 256.

P.

ANGLETERRE ET IRLANDE: comment la donation en fut faite aux papes par le roi Jean, t. 39. p. 384. Examen de cette vaffalité, p. 385.

ANGLETERRE (NOUVELLE): peuplée par les Puritains, perfécutés en Angleterre par Laud, t. 18. p. 367. Voyez Raleig.

ANGLICANE (religion) : détails qui lui font relatifs, t. 37. p. 356.

ANGLAIS tableau de leur gouverment, t. 40. p. 515. et fuiv. En ont-ils puifé l'idée chez les anciens Germains? t. 29. p. 393. Leur législation, t. 40. p. 521. Voyages de leurs navigateurs, t. 18. p. 468 et 469 Leurs poffeffions en Amérique, p. 362 et fuiv. Leurs grandes entreprises, P. 469. Leurs manufactures et ce qui leur facilite les moyens d'en élever, ibid. Fondations dues chez eux à de fimples citoyens, ibid. et 474. Comment traités par leur gouvernement felon leur goût, p. 471. Ont été les maîtres des autres nations en fait de philofophie, t. 21. p. 283. N'ont point fait autant de progrès dans les arts t. 3. p. 228. Depuis quelle époque ont le plus avancé vers la perfection, t. 21. p. 280. A laquelle ont été les précepteurs des Allemands, t. 25. p. 37. Ont égalé les monarques ou fuppléé à leur magnificence dans l'encouragement des arts et la récompenfe du mérite, t. 2. p 10. Exemples de ce fait, ibid. Quand maîtres de tout le commerce en Ruffie, t. 24. p. 34 et 35. Leur amitié avec le czar Pierre-le-Grand, t. 23. p. 239. Sont les premiers qui ayent rangé leurs forces navales en bataille dans l'ordre où l'on combat aujourd'hui, t. 22. p..82. En tous tems

fupérieurs aux Français fur mer, p. 313. D'où provient cette fupériorité, ibid. Reproches qu'on fait à leur milice, relativement à la bataille de Fontenoi, t. 12. p. 241. Leur puiffance dans l'Inde, t. 22. p. 255. Prennent Pondichéri, et en rafent les fortifications, p 304 et 305. Ruinent les établiffemens français dans l'Inde, p. 309 et 310. En Afie et en Afrique, p. 310 et 311. En Amérique, p. 311 et 312. Prennent Belle-Isle, ibid. Font une defcente à Saint-Caft et font repouffés avec perte, p. 312. S'emparent de la Havane, p. 315. De Manille et des Philippines, p. 316. Ce qui leur fut cédé à la paix de Paris p. 318 et fuiv. Auteurs de leur nation qui ont écrit contre la religion chrétienne, t. 47. p. 346. Voyez lord Herbert, Charbury, Hobbès, lord Shaftersbury, Thomas lord Bolingbroke, Walfton, Collins, Toland, Chubb, Tailor, Tendal, Voolafton. Notice fur quelques-uns de leurs mets, t. 11. p. 268. Liberté et propriété eft leur cri, t. 42. p. 437. Eft auffi celui de la nature, ibid. Leura hiftoriens fe font formés à l'école de Voltaire, t. 70. p. 94. Leur conftitution (voy. Conftitution anglaife). Pourquoi des Anglais efclaves à Alger font remis aux fers, t. 20. p. 390 et 391. Voyez Damfreville.

ANGLAIS leur théâtre : quel en eft le caractère, t. 1. p. 299. Quels en font les defauts, t. 40. p. 497. Ceux qu'ils reprochent au nôtre, ibid. Y donnent plus à l'action. que nous, t. 1. p. 309. L'amour qu'ils y introduifent dégénère quelquefois en débauche, p. 312. Sont dans l'ufage de terminer chaque acte dans une pièce par une comparaifon, t. 3. p. 234. Voyez Théâtre.

ANGLAIS pourquoi préfente une requête au roi pour être pendu, t. 45. p. 64.

ANGOISSES: ce mot mal-à-propos banni du discours, et non remplacé, t. 50. p. 284.

ANGOS (le chevalier d'): obferve un lézard à deux têtes dans lequel il croit remarquer deux volontés, t. 37.

P. 211.

ANGOULEME (Louife de Savoye ducheffe d') : ennemie du connétable de Bourbon, t. 18. p. 115. Motifs de fon inimitié, ibid. En perfécuta les amis, p. 116.

ANGRIA colonie de pirates dans l'Inde, t. 26. p. 400. Son hiftoire, ibid. et fuiv.

ANGUILLARA: a traduit Ovide en vers italiens

P. 6.

t. 47.

ANHALT (prince d'): victoire qu'il remporte pour le roi

de Pruffe aux portes de Dresde, t. 22. p. 147. Son éloge ibid.

ANHALT-ZEREST (princeffe de): lettre qu'elle écrit à Voltaire, t. 67. p. 329 et 360.

ANJOU (René d'); comment appelé à régner à Naples, t. 17. p. 299.

ANJOU (duc d') : frère d'Henri FII, appelé par les Flamands, t. 18. p. 445. Reconnu pour duc de Brabant et comte de Flandres, p. 446. Veut fe rendre abfolu, ibid. Se couvre de honte et fe retire en France, ibid.

ANJOU (duc d'): comment élu roi de Pologne, t. 10. p. 203. Revient en France à la mort de fon frère Charles IX.

ANIKA homme riche, habitant les environs d'Archangel: époque à laquelle il découvre les Samoïèdes, t. 24. P. 48.

ANIMAUX : les différentes facultés qu'ils ont reçues de l'être fuprême, t. 13. p. 113. Le principe d'action qui agit en eux eft libre, t. 32. p. 175 et 176. (voyez Ame). Defcartes les a cru machines, t. 14. p. 181. Tous ceux de chaque efpèce font égaux entre eux, t. 39. p. 465. Apologue en vers fur cette égalité, ibid. Obfervations fur le pacte que Dieu fit avec eux, t. 14. p. 185 et 189. Ceux qui ont parlé, p. 181. Ceux qui font réputés immondes t. 37. p. 310, 311 et 312. Les Egyptiens furent les premiers qui les diftinguèrent en impurs et non impurs, t. 34. p. 133. Ceux qu'on peint avec nos faints, t. 11. p. 374. ANIUS roi et prêtre, t. 42. p. 451.

:

ANNALES : une infinité de peuples n'en ont point, t. 37. p. 359. Egyptiennes, Chaldéennes, Perfanes, etc. entièrement perdues, p. 361. Dans lefquelles il faut aller chercher les barbaries et les maffacres en fait de religion, t. 42. p. 46.

ANNALES DE L'EMPIRE: où et quand Voltaire y travailla, t. 48. p. 152 et 153. En fait préfent à un libraire de Colmar, ibid. Le feul des abrégés chronologiques qu'on puiffe lire de fuite, t. 70. p. 79. Détails anecdotiques fur cet ouvrage, t. 49. p. 130.

ANNALES DE L'EUROPE menfonges que contient cet ouvrage, t. 28. p. 251.

ANNAT (le jéfuite ), confeffeur de Louis XIV, ni docte, ni docteur, t. 21. p. 354 et 355. Livre qu'il fait contre le miracle opéré par les janféniftes fur l'oeil de la petite Perrier, p. 355. Eft fifflé par eux ibid. ANNATES l'époque de leur établiffement incertaine,

t. 37. p. 363. Leur inconvenance, t. 29. p. 128. Sont une exaction et en produifent beaucoup, t 37. p. 363 et fuiv. ANNE PALATINE de Bohenberg, femme de l'empereur Rodolphe, t. 25. p. 14.

ANNE PALATINE, femme en fecondes noces de l'empereur Charles IV, t. 25. p. 16.

ANNE DE SILÉSIE femme en troifièmes nôces de l'empereur Charles IV, ibid.

ANNE DE HONGRIE, femme de l'empereur Ferdinand I, P. 20.

ANNE, fille de l'empereur Ferdinand I, et ducheffe de Bavière

, P. 20.

ANNE D'AUTRICHE, fille de l'empereur Maximilien II, et femme de Philippe II, roi d'Efpagne, p. 21.

ANNE, fille de Ferdinand, duc de Tyrol, et femme de l'empereur Mathias, dont il n'a point d'enfans, p. 21.

ANNE PÉTRONA, impératrice de Ruffie, t. 24. p. 57. Epoufe le duc de Holftein, p. 364. Son règne, p. 369. Comment traite les Français faits prifonniers lors du fiége de Dantzik, t. 22. p. 46 et 47.

ANNE DE BOULEN : refufe de répondre à la paffion de Henri VIII à moins qu'il ne l'époufe, t. 18. p. 199. Devient fa femme et fait fon entrée comme reine , P. 203. Comment et pourquoi paffe du trône à l'échafaud, p. 207 et 208.

ANNE DE CLÈVES : comment Henri VIII en devint amoureux, t. 18. p. 209. L'epoufe et la répudie, ibid. ANNE DE BEAUJEU, foeur de Charles VIII : régente de France pendant la minorité de ce prince, t. 17. p. 516. ANNE DE BRETAGNE : fiancée à Maximilien, et mariée à Charles VIII, t. 17. p. 518. Aimait Louis XII, encore duc d'Orléans, p. 518 et t. 18. p. 4. Devient fa femme, t. 43. p. 124. Plaifante menace qu'elle lui fait, ibid. Affi dévote qu'impérieufe, ibid.

ANNE D'AUTRICHE, femme de Louis XIII et mère de Louis XIV: galanterie qu'elle introduit à la cour de France, t. 21. p. 83. Comment répond à l'amour de Richelieu, t. 19. p. 73, 80 et 81. Comment à celui de Buckingham, ibid. Perfécutée, ibid. Montmorenci touché de fes charmes, p. 105. Traitée en criminelle pour avoir écrit à la ducheffe de Chevreufe, p. 117. Régente de France, t. 20. p. 32 et 218. Surintendante des mers, p. 32. Epoque à laquelle fe démet de cet emploi, ibid. Forcée de faire la

guerre à fon frère Philippe IV, roi d'Espagne, p. 219. Fait de Mazarin le maître de la France et le fien, p. 227, Au défaut de quel prélat elle lui donna fa confiance, ibid. Miftifiée par les Parifiens, p. 237 et 238. S'enfuit de Paris et fe réfugie à Saint-Germain, p. 238. Revers qu'elle avait déjà effuyés, ibid. Implore la protection du grand Condé, p. 239. (Voyez Condé grand). Affront qu'elle reçoit du marquis de Jarfai, p. 244. Forcée par les circonftances et les partis de nommer le coadjuteur au cardinalat, p. 249. Ce qu'elle dit à Mazarin fur la paffion du roi pour la Mancini, p. 284. Refte fans crédit après le mariage du roi, p. 289. Voyez Richelieu (cardinal de ), Mazarin (cardinal de), Motteville et Voiture.

ANNE, reine d'Angleterre: fuccède à Guillaume IÏÍ t. 20. p 471. Entre dans toutes fes vues, ibid. Fournit des fecours à Léopold contre la France, ibid. et p. fuiv. Titre que lui donne ce prince, t. 20. p. 508. S'il eft probable qu'elle ait favorifée l'entreprise du prétendant, t. 21. p. 25 et 26. Gouvernée par la ducheffe de Marlboroug, p. 51. Il lui fallait une favorite, p. 52. Choifit miladi Masham: Comment rompit avec les Marlboroug, p. 53. Protège Sacheverel, p. 54 ( voyez Sacheverel ). Tâche en vain d'ouvrir à fon frère le chemin du trône, ibid. et p. 76. Motifs qui l'y déterminaient, ibid. et 77. Pourquoi ne secourut point Barcelone affiégée par Berwick, p. 72. Epoque de fa mort, t. 16. p. 77. Ses miniftres perfécutés après fon règne, ibid. et t. 24. p. 263.

ANNE COMMÈNE jugement qu'elle porte de Robert Guiscard, t. 16. p. 553. Voyez Commène (Anne). ANNE DE GONZAGUE : ne mérite pas que Boffuet s'oc cupe d'elle, t. 49, p. 210.

ANNE DU BOURG, confeiller au parlement de Paris: arrêté par les ordres de Henri II, t. 28. p. 232. Jugé par une commiffion, ibid. Périt martyr du proteftantifme, ibid. Son fuplice multiplie les réformés plus que les livres de Calvin, ibid. Son héroïque conftance lors de fon exécution, t. 32. p. 364. Par qui exhorté dans ce cruel inftant, ibid.

ANNÉE: pourquoi les prêtres entreprennent de la rẻgler chez différentes nations, t. 42. p. 298. Se trompent et font redreffés par les géomètres, p. 299. On y ajoute un jour en quatre ans, ibid. Jeux célébrés en mémoire de cet ufage, ibid. Méthon combine une cycle qui concilie l'année lunaire avec la folaire, ibid. Jules-Céfar