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deux royaumes lorfqu'elle fut découverte, t. 16. p. 13. Combien alors était peu avancée en civilifation, ibid. Preuve qu'elle n'a pas été connue des anciens avant Chriftophe Colomb, t. 18. p. 345. Sénèque le tragique en avait prédit la découverte, t. 39. p. 22 et 23. Ses productions précieuses, t. 18. p. 306 et 313. Ne reffemblent point à celles de notre hémisphère, t. 37. p. 40. Variété dans l'efpèce humaine qu'on y remarque, t. 18. p. 314. La feule religion qu'on y trouva lorfqu'on la découvrit p. 315. Aucune raifon n'empêche de croire que les hommes qu'on y rencontra alors n'en fuffent originaires et n'y aient été placés par Dieu comme les arbres et les plantes qu'on y trouva, t. 37. p. 241 et 242. Ce qui pourrait excufer tout fyftême contraire, p. 243. Differtation fur fa population, t. 42. p. 373. Comment a pu l'être, t. 16. p. 37. Comment n'a pu l'être autant que l'Europe et l'Afie, p. 39. Ne contient qu'un feul peuple qui ait de la barbe ibid. Obfervation fur ce phénomène, ibid. Comment les richeffes qui en viennent circulent dans l'ancien continent, t. 18. p. 307. Fléaux qu'on en a apportés, p. 309. Dévastée par ceux qui vinrent pour en convertir les ha bitans, p. 310.

AMÉRICAINS, compofés d'efpèces d'hommes différentes t. 18. p. 314. Leur religion lors de la découverte de l'Amérique, p. 315. Leurs fuperftitions cruelles, p. 316. Antropophages, ibid. Sodomiftes au Bréfil, p. 319. Voyez Vers à fentence.

AMI: Voyez Vers à fentence.

AMI (1) des hommes: ce qu'il avance fur les moines t. 45. p. 62.

AMIS leur ingratitude envers l'homme devenu infortuné, t. 7. p. 92, 93, 168 et 169.

AMIANTE, lin incombuftible, t. 24. p. 52.

AMIENS (ville d'); furprise par les Espagnols et reprise par Henri IV, t. 19. p. 21 et 22.

AMINTA (12) du Taffe charme encore tous ceux qui entendent l'italien, t. 18. p. 99:

AMIRAUX (grands) de France fous Louis XIV, t. 20.

p. 32.

AMITIÉ vers de La Fontaine en faveur de cette confolation de la vie, t. 48. p. 284. Examen de ces vers, p. 285. Autres fur le même fujet extraits de la Henriade, ibid. Autres extraits d'un épître de l'auteur fur le même fujet, ibid. Eft le beaume de la vie, t. 36. p. 122. On

aurait

aurait dû en faire un précepte de religion, ibid. Ce qu'en dit madame la marquife de Lambert, t. 48. p. 291. Ses héros ne fe trouvent que dans la fable, t. 37. p. 243. Ne fe commande pas plus que l'amour et l'eftime, ibid. Eft le mariage de l'ame et un contrat tacite entre deux perfonnes vertueuses , p. 244. Les hommes vertueux ont feuls des amis, ibid. De quels élémens toute autre union fe forme-t-elle? ibid. L'enthousiasme de l'amitié plus fort chez les Grecs et les Arabes qué chez nous, ibid. Etait un point de religion chez les premiers, ibid. Sa compagne, la vérité t. 12. p. 203. Tous jurent par fon nom et peu lui font attachés, p. 204 (Voyez Vers à fentence). Où en eft fitué le temple, p. 203. Qui le fonda, ibid. Nom qu'en offre la façade, ibid. Y appelle et promet un prix à ceux qui lui feront fidelles et les mieux unis, p. 204. Foule qui s'y préfente et parmi laquelle on diftingue deux courtifans, p. 205. Quel événement les défunit et les écarte du temple, ibid. Quatre dévots qui fe croyent amis, mais que l'intérêt fépare, ibid. Deux jeunes gens qui, à peine arrivés au temple, y prennent querelle, p. 206. Deux filles qui fe trouvent rivales et deviennent ennemies ibid. Zaire qui fort du temple pour aller on ne sait trop où, ibid. La déeffe abandonnée et le prix laiffé-là, p. 207. Envoi du poëme, ibid. Voyez Fontaine-Martel (madame). AMITIÉ (invocation à l'), t. 12. p. 34 et 35.

AMMAN (M.), fecrétaire de M. l'ambaffadeur de Naples. Lettre en vers latins qu'il reçoit de Voltaire, auquel il avait adreffé de jolis vers dans cette langue, t. 15. p. 185. AMMIEN MARCELLIN, cité au fujet de l'empereur Julien, t. 28. p. 32. Voyez auffi Oracles et Nonotte. AMMONITES: Comment facrifiaient leurs enfans à Moloch, t. 10. p. 243.

AMNON, fils de David, outrage et fait violence à fa four Thamar, t. 34. p. 284. Quelles furent les fuites de leur incefte P. 285.

AMONTONS (Guillaume): excellent mécanicien, t. 20.

p. 50.

AMOUR: fon empire, t. 9. p. 6 et 7. Il y en a une infinité de fortes, t. 37. p. 245. Dans un pays d'athées ferait adorer la divinité, p. 246. Différentes manières dont on envisage ce fentiment, p. 245. C'est l'étoffe de la nature que l'imagination à brodée, ibid. Signe qui en caractérife l'exiftence, t. 14. p. 326. Quel fpectacle peut en donner l'idée, t. 37. p. 245. Portrait de ce Dieu, t. 10. Tab. des mat. Tome LXXI.

C

p. 174. Autre tracé par J. B. Rousseau, t. 48. p. 293. Ses deux carquois, t. 7. p. 291. t. 11. p. 377. Leurs différens effets, ibid. Son temple, t. 10. p. 172, 173 et 180. A quel accident peut furvivre, t. 37. p. 246. Quand devient vertu, p. 249. N'en eft prefque jamais le prix, t. 7. P. 25. Eft compatible avec l'efprit, t. 15. p. 130. Intimide la fierté, t. 9. p. 306. Infpire le courage, p. 318. Anime les arts, t. 14. p. 56. Les hommes ont reçu le don de le perfectionner, t. 37. p. 246. Attentions qui en reffèrent les liens, ibid. Eft un mal difficile à guérir, t. 18. p. 84. Ses fuites cruelles, t. 9. p. 41. Fléau terrible qui en empoifonne les plaifirs, t. 37. p. 246. Se permet la rufe, t. 9. p. 74. Rôle qu'il joue dans la poëfie, t. 7. p. 287. Celui qu'il remplit dans la Henriade, t. 10. p. 173, 176 et fuiv. Invocation à ce Dieu, t. 9. p. 31 et 33. Couplets où il eft célébré, p. 114 et 115. Ce qu'il était dans les villes grecques t. 29. p. 387. Confidéré dans les pièces dramatiques, t. 2. p. 6. Comment il faut en parler au théâtre, p. 20. Dans la tragédie t. 3. p. 225. Y eft fouvent ridicule, t. 4. p. 11. Exemple de ce fait, ibid. et pages fuiv. Pourquoi introduit dans Brutus et la plupart de nos tragédies, t. 1. p. 310. Pourquoi les Grecs ne hafardaient pas cette paffion fur leur théâtre, ibid. et 311. Défaut des Français et des Anglais à ce fujet, ibid. et 312, Le Français a mieux réussi à en parler et pourquoi, t. 2. p. 20 et 21. Ce qu'il faut pour que cette paffion foit digne du théâtre tragique, t. 1. p. 312 et 313. et t. 51. p. 238. Quels auteurs l'ont traité avec fuccès, t. 51. p. 106. Comment le fut d'abord fur la fcène française, t. 50. p. 458. Ne l'a été fur aucune autre avec convenance, p. 398 et 399. Ce qu'il faut éviter en en traitant, t. 51. p. 365. Voyez Vers à fentence, et au mot Crainte.

AMOUR (le temple de l'): extrait de la Henriade, t. 48. p. 295. Autre par Fénélon, tiré du Télémaque, P. 297. Examen de cette pièce, p. 298.

AMOUR DE DIEU (la théorie de l') a allumé plus de haines parmi les théologiens qu'aucune autre de leurs querelles, t. 37. p. 249. Les difputes des jéfuites et des janféniftes, celles de Fénélon et Boffuet citées pourexemples, ibid. Analyse philofophique de ce fentiment p. 250 et fuiv.

AMOUR-PROPRE: ce que c'est, t. 37. p. 253. Anecdotes qui en donnent une idée, ibid. Auffi nécessaire

à l'homme que le fang qui coule dans fes veines, t. 32. p. 66.

AMOUR (1) de foi: don du ciel, t. 12. p. 41. Condamné par les dévots, ibid. et p. 42.

AMOUR SOCRATIQUE ET PLATONIQUE: à applaudir fi c'est un fentiment honnête, t. 37. p. 254. A abhorrer fi c'eft une débauche, ibid. Contrastes qu'il offre sous ce dernier rapport, ibid. Cas où il ne pourrait être qu'une faibleffe et celui où il devient une abomination dégoû tante , P. 255. Erreurs qui ont porté les modernes à accufer les Grecs de cet excès, ibid. N'a pu être recom mandé par aucune loi, p. 257 et 259. (Voyez Sextus Empiricus). Confidérations philofophiques fur cette turpitude, p. 259 et fuiv. Ne doit pas être confondu avec le fentiment qu'on a diftingué par amour socratique ou platonique qui n'était point, dans l'antiquité, un amour infame, p. 256. C'eft le mot qui nous a trompé fur la chofe, ibid. Eclairciffemens à ce fujet, ibid. et p.fuiv. AMOURS (les deux): pièce de vers adreffée à madame la marquife du Chatelet, t. 14. p. 288.

AMPHILOCHUS (oracles d'): voyez Oracles. AMPHILOQUE (Saint): représentation qu'il fait à Théodofe-le-Grand, et ce que cet empereur aurait dû lui répondre, t. 43. p. 198.

AMPHITRION (') de Molière et de Plaute tiré d'un conte indien, t. 49. p. 240. Ce conte, ibid.

AMPLIFICATION : eft plutôt un défaut qu'une figure de réthorique, t. 37. p. 261. Fut en général celui des Grecs. excepté de Demosthènes et d'Ariftote, p. 272. Quand l'orateur amplifie-t-il, p. 261. Erreur des gens de collège à cet égard, p. 262 Morceaux de Virgile qui font des images et non des amplifications, ibid. Paffages du rôle de Phèdre qui feraient des amplifications fi la paffion et l'à-propos ne les avaient dictés, p. 263 et fuiv. Exemple d'une véritable amplification pris dans l'Electre de Crébillon p. 264. Analyse qu'on en fait, ibid. Le récit de Théramène dans la Phèdre de Racine regardé par un grand nombre de littérateurs comme une amplification, p. 269. Juftifié de ce reproche, p. 270. Exemple d'une amplification vicieufe qui fe trouve dans la première fcène de la tragédie de Pompée, p. 271.

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AMPOULE (Sainte): qui le premier en accrédita la fable, t. 16. p. 379. Cas qu'il faut faire de ce conte, t. 19. p. 345,

C &

AMRI bâtit la ville de Samarie, et pourquoi lui donne ce nom, t. 34. p. 317.

AMSTERDAM: fon état lors de l'infurrection des PaysBas, t. 18. p. 440 Ce qu'elle fut par la fuite, p. 450. Eft fur le point de tomber au pouvoir des Français t. 20. p. 338. Généreufe réfolution de fes magiftrats, p. 342. Perce fes digues, p. 343.

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AMURAT I: paffe en Europe par le moyen des Gênois, t. 17. p. 415. Va s'établir à Andrinople, ibid. Difcipline les janniffaires, p. 416. Eft affaffiné, ibid.

AMURAT II: compté parmi les héros, t. 25. p. 357. Pouvait l'être parmi les philofophes, ibid, et t. 17. p. 427. Epoufe une princeffe. chrétienne, p. 426. Abdique deux fois et deux fois obligé de reprendre la couronne " P. 427. Prend Theffalonique, ibid. Conclut folemnellement la paix avec les chrétiens, ibid. et t. 25. p. 357. Comment rompue par eux, t. 17. p. 488. Quitte fa retraite pour les punir de leur perfidie, p. 428, 429 et t. 25. p. 357. Plaint Ladiflas, tué à la bataille de Varne et le fait enterrer avec pompe, t. 17. p. 430. Retourne vivre dans fa folitude, ibid,

AMURAT III: fes conquêtes, t. 19. p. 286. Comment réprime une émeute de janniffaires, ibid.

AMURAT IV: comment fe fait refpecter des janiffaires t. 19. p. 288 et 289. Ses exploits contre les Perfes, p. 289. Prend Bagdad, t. 17. p. 457. Son mérite et fes vices, t. 19. p. 289. Secourt le grand mogol Sha-Gean,

ibid.

ANA ou recueil d'anecdotes: le peu de crédit qu'il convient de leur accorder, t. 41. p. 63. Lequel des recueils de ce genre contient le plus de menfonges, et lequel plus de chofes inftructives, t. 37. p. 276.

ANABAPTISTES: pourquoi nommés ainsi, t. 18. P. 181. Préchèrent l'égalité, p. 182. Leur manifefte digne de Licurgue, ibid. Réclamèrent les droits du genre-humain, mais les foutinrent en bêtes féroces, ibid. Ravagent l'Allemagne au nom de Dieu, p. 182 et 184 S'emparent de Munfter, p. 184. Veulent furprendre Amfterdam, p. 185. Ceux d'aujourd'hui paifibles et irréprochables, ibid. Doctrine de ceux d'Angleterre et nom qu'on leur y donne, p. 212. Deux femmes de leur fecte brûlées à Londres ibid.

ANACHORETTE: voyez Vertu.

ANACLET, fils d'un juif, devenu pape, t. 16. p. 556.

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