ACHMET II: Contemporain de Louis XIV, t. 20. p. 14. ACHMET III: idem. t. 20. p. 14. Succède à Mustapha, t. 23. p. 195. Comment gouverne, p. 196. Sa lettre à Charles XII, p. 240. Déclare la guerre au Czar, p. 243. et t. 24. p. 205. Etablit fa cour à Andrinople, t. 23. p. 244. Lettre qu'il écrit au bacha de Bender, p. 248. Son difcours au Divan, au fujet du départ de Charles XII, p. 252 et 253. ACHERI (Luc d') : compilateur qui écrivit pendant le fiècle de Louis XIV, t. 20. p. 47. ACYLLY ( le chevalier d'): connu fous le nom de Cailly t. 20. p. 67. Attaché à Colbert, et célèbre par fon recueil d'épigrammes, ibid. Apréciation de fon ftyle, ibid. ACOMAT cas que faifait Voltaire de ce rôle remarquable dans la tragédie de Bajazet de Racine, t. 3. p. 4 et 10. AÇORES (bataille navale des), t. 18. p. 456. Sort qu'é-, prouvent les Français qui y font faits prifonniers, ibid. ACOSTA (Uriel): abandonne le judaïfme, t. 33. p. 8. Ce qu'on doit penfer de fon abjuration, ibid. Ce qui lui arriva à Amfterdam, t. 47. p. 405. ACTES DES APÔTRES : contraires en plufieurs endroits aux évangiles, t. 35. p. 49. Ont été multipliés par l'imposture ou la pieuse curiofité des fimples, p. 59. Les Ebionites en fupposèrent, ibid. ACTES de Sainte-Thècle et de Saint-Paul: confidérés comme apocryphes, t. 37. p. 423. Voyez Thècle et Paul. ACTES SINCERES de dom Ruinard: contes abfurdes qu'ils contiennent, t. 33. p. 106. et t. 28. p. 27. Commencent par l'hiftoire de Jacques, frère aîné de Jéfus, t. 33 p. 102. Ce qu'il faudrait en retrancher, t. 38. p. 529. Ce qui ferait. néceffaire à ce monument pour le rendre authentique, ibid. Ce qu'on y raconte du martyre de Saint-Romain et de la converfion miraculeufe de Saint-Geneft, t. 39. p. 335 et 336. ACYNDINUS (Septimius): fa conduite envers une femme qui commet un adultère pour fauver la vie de fon mari, t. 37. p. 101. ADALGISE, fils de Didier, roi de Lombardie tente en vain de recouvrer les états de fon père, t. 25. p. 46. ADAM: inconnu à toute la terre (excepté en Palestine) jufqu'au tems où les livres des Juifs ont été répandus, t. 35. p. 242. t. 36. p. 319. t. 37. p. 74, 76, 77 et 78, et t. 39. p. 20. Cru géant, t. 34 p. 188. Cru hermaphrodite t. 37. p. 80. Sa formation et celle d'Eve, regardée comme une allégorie, p. 81. Eut toujours depuis une côte de moins, felon Saint-Auguftin, t. 34 p. 12. Ne peut être. ADAMITES fe dépouillaient de leurs vêtemens pour chanter les louanges de Dieu, t. 43. p. 183. Imités en ce point par les Abeliens, ibid. ADDISSON en quels termes Voltaire en parle, t. 21. p. 282. t. 2. p. 5. t. 38. p. 19. t. 40. p. 496. Eft le premier Anglais qui ait fait une tragédie raifonnable, t. 47. p. 278. Paffage fublime de fa tragédie de Caton, t. 38. p. 19. Eloge de cette pièce, t. 47. p. 279. et t. 1. p. 300. Défaut qu'on peut y reprendre, t. 47. p. 280. Traduction en vers français du beau monologue qui s'y trouve, p. 279. Coutume du théâtre anglais à laquelle Addiffon s'eft affervi, t. 2. p. 19. Son drame fur la mort de Socrate, t. 8. p. 398 et 399 Ce qu'il ofa hafarder fur la fcène anglaife ne conviendrait pas à la nôtre 9 t. 1. p. 301. Juftice qu'il rend à la fcène française, t. 40. p. 497.` Reproches qu'on lui a fait au fujet de fon poëme intitulé: la Campagne d'Hochstet, t. 12. p. 212 et fuiv. ADDO (le prophète): difcours qu'il adreffe à Jéroboam et prédiction qu'il lui fait. t. 34. p. 311. Miracles qu'il opère, ibid. Sa défobéiffance et fa fin tragique, p. 313 et 314. ADÉLAÏDE-DU-GUESCLIN, tragédie, t. 2. p. 121. Quand jouée pour la première fois,, p. 115. Ne réuffit point, ibid. Pourquoi? p. 116. Remife au théâtre en 1752,1 fous le titre d'Amélie ou le Duc de Foix; obtient un plein fuccès, p. 115 et 225. Reparaît fous fon premier titre en 1762, et fuccès qu'elle obtient, p. 115 et 116. Lettre de Voltaire à ce fujet, p. 116. Ce qu'il penfe de ce jugement contradictoire du public, p. 117. Anecdotes qui offrent des exemples de pareilles contradictions ibid. et page 118. Mot d'un plaifant qui, lors de la première représentation de cette pièce, contribue à fa chute, p. 117, et t. 70. p. 26. Autre anecdocte, t. 5. p. 226. Vers de cette pièce qui fe trouve dans la Henriade t. 2. p. 136, vers 16. Autre imité de la Sophonisbe de Corneille, p. 161 et 190. Négligence des éditeurs de Paris dans l'impreffion de cette pièce, t. 1. p. 4. Variante qui lui eft relative et que l'auteur adreffe à M. de Cideville, t. 52. p. 187. Obfervations que fait l'auteur lui-même fur fa tragédie, p. 190 et 200. ADÉLAÏDE, une des concubines de Charlemagne, t. 25. p. 5. ADELAIDE, femme de Louis-le-Begue, t. 25. p. 7. ADÉLAÏDE, marquife de Montferrat, fille d'Othon-leGrand, t. 25. p. 9.. ADÉLAÏDE, reine de Pologne, Henri IV, t. 25. p. 11. fille de l'empereur ADÉLAÏDE de Ruffie, femme du même prince, ibid. ADELAIDE, fille du marquis de Vohenbourg, femme de l'empereur Frédéric I, t. 25. p. 12. Répudiée, ibid. et p. 155. ÁDÉLAÏDE, fille de Rodolphe II, roi dé Bourgogne, femme de l'empereur Othon I, t. 25. p. 9 et 97. ADÉLAÏDE, abbeffe de Gandersheim, fille de l'empereur Henri III, t. 25. p. 11. ADÉLAÏDE, Comteffe de Bourgogne, fille de Louis-le Débonnaire, t. 25. p. 6. ADELBERT, duc de Toscane, célebre par fa femme Théodora, t. 25. p. 86 Eft defpotique dans Rome, ibid. ADHELME (Saint): pourquoi couchait avec les plus jolies filles, t. 48. p. 183. ADHEMAR (M. le marquis d'): lettre en vers et en profe que lui écrit Voltaire, t. 15. p. 232. Celle qu'il écrivit à cet homme célèbre, t. 70. p. 218. ADLERFELD, auteur d'un journal des Campagnes de Charles XII, t. 23. p. 10 et fuiv. ADMINISTRATION : caufes qui la rendent mauvaife, t. 31. P. 440. La routine en eft une des principales, et la fource des erreurs en fait de gouvernement, p. 466. Exemple qui le prouve, ibid. ADMINISTRATION PUBLIQUE: Penfées qui lui font relatives, t. 29. p. 23 et fuiv. ADOLFHE DE NASSAU, empereur d'Allemagne année de fon avènement à l'empire, t. 25. p. 15. Comment et pourquoi fut élu, p. 230. A pour compétiteur Albert d'Autriche, ibid. S'unit avec l'Angleterre contre la France, i ibid. Injuftice qu'il commet, ibid. et p. 231. Quelles en furent les fuites, ibid. Comment déposé, p. 232. Eft tué, ibid. Année de fa mort, p. 15. Sa femme, ibid. Şes enfans, ibid. ADOLPHE DE NASSAU, tué à la bataille de Spire, t. 17. p. 210. ADOLPHE, fils d'Arnaud, duc de Gueldre: fes différens avec fon père, t. 17. p. 514. t. 34. ADOLPHE DE SCHAVEMBOURG, électeur de Cologne à la place de Herman de Neuvidt, t. 25. p. 411. ADONAï, le Dieu de David et de Salomon p. 302. Adoré en concurrence avec d'autres divinités. par le roi Manaffé, p. 356. Obtint un culte exclufif fous le règne de Jofias, p. 357. N'était qu'un dieu local, t. 32. p. 352. Ce qu'il commandait à fes adorateurs, p. 351. Le même qu'Adonis, t. 33. p. 202. Voyez Adonis et Origène. par ADONIBEZEC, roi vaincu et mutilé Juda et Siméon t. 34. p. 192. Avant d'être vaincu donnait les reftes de fa table à foixante-dix rois, ibid. ADONIS: notice fur cette divinité, t. 11. p. 136. ADOPTION : très - commune en Orient, t. 34. p. 33. ADORATION OU ADORER: quelle était l'acception de ces mots chez les anciens peuples de l'Orient, t. 34. P. 380. ADORER: idées difparates que préfente ce mot, t. 37. p. 83 et 84. Il n'eft pas aifé d'expliquer le fens que lui donnaient les Egyptiens, les Grecs et les Romains, p. 87. D'après celui qu'on peut lui donner, Alexandre ne fe fit pas adorer dans l'Inde, mais bien Augufte dans l'empire p. 155 et fuiv. ADRIEN (l'empereur): fa lettre au conful Servianus fur l'Egypte et fa capitale, t. 33. p. 16. t. 35. p. 282. t. 37. p. 160. ADRIEN I. (le pape): époque de fon exaltation > t. 25. p. 5. Eft avec Léon III un des premiers papes. qui fe faffe baifer les pieds t. 16. P. 381. et t. 25. p. 40. Rang qu'occupent fes légats au concile de Nicée, t. 25. p. 5. Sa conduite lors de ce concile t. 16. 9 P. 425 et 427. Lettre qu'il écrit à l'impératrice Irène, au fujet de la donation faite par Charlemagne au Saint-Siége t. 25. p. 45. Sacre les deux fils de ce prince, Pépin et Louis, p. 47. (voyez ces mots ). Obfervations fur les monnaies frappées à Rome en fon nom, ibid. et t. 16. p. 384. Engage Charlemagne à répudier la fille de Didier, t. 16. p. 399. Epoque de fa mort, t. 25. p. 52. Charlemagne fuppofé en avoir fait l'épitaphe, ibid. Voyez donation de Conftantin, au mot Conftantin. ADRIEN II: année de fon exaltation, t. 25. p. 7. Le premier qui fait porter la croix devant lui, ibid. Pourquoi excommunié par le patriarche Photius, ibid. Comment fe conduit dans l'affaire de Lothaire et de Valrade, t. 16. p. 499. Son différent avec Hincmar de Reims et Charles-le-Chauve au fujet de la dépofition de Hincmar de Laon, dépofé par le concile de Douzi, t. 39. p. 238. Lettre vigoureufe que lui écrit Charles-le-Chauve, ibid. ADRIEN III: année de fon exaltation t. 25. P. 7. ADRIEN IV: Anglais, fils d'un mendiant, mendiant lui-même et depuis un grand homme, t. 25. p. 12 et 155. t. 17. p. 52 et 53. et t. 19. p. 233. Année de fon exaltation, t. 25. p. 12. Sa conduite avec Frédéric BarbeTouffe, p. 155 et fuivantes, Etrange tableau qu'il fait expofer aux yeux du public, t. 17. p. 56. Cède au roi de Sicile, qui l'affiége, tout ce qu'exige ce prince, p. 57. Lettre qu'il écrit au roi d'Angleterre, Henri II, ibid. Lui donne l'Irlande, p. 58. ADRIEN V: année de son exaltation, t. 25. p. 14. ADRIEN VI: d'abord précepteur de Charles-Quint, et fait pape par fon influence, t. 25. p. 19. t. 18. p. 94. et 113. t. 19. p. 233. Année de fon exaltation, t. 25. p. 19. Pourquoi haï des Romains, ibid. Convenait que l'églife avait befoin de réforme, t. 18. p. 177. Ce qu'on écrivit à fa mort fur la porte de fon médecin, t. 25. p. 19. ADRIEN, dernier patriarche de Ruffie, t. 24. p. 131. ADRUISE, fille de l'empereur Henri-l'Oifeleur, mariée à Hugues, comte de Paris, t. 25. p. 8. ADULTÈRE: origine et racine de ce mot, t. 37. p. 90. Dans quels termes on en parle aujourd'hui dans les fociétés, p. 92. Ses conféquences. p. 93. Eft un crime chez tous les peuples de la terre, t. 29. p. 312. Celui de la femme dont parle l'évangile, t. 37. p. 99. Son hiftoire n'eft tacontée que par Saint Jean, et n'a été ajoutée dans fon évangile qu'après coup, ibid. Contradictions fur ce fait. ibid. Cas fingulier d'un adultère rapporté par Saint-Auguftin, t. 37. p. 100. Bayle plus févère que ce faint dans le jugement qu'il en porte, p. 101. Voyez Vers à fentence. |