BERNABÉ (évangile de), t. 35. p. 71. BERNARD, Comte de Barcelonne, amant de l'impéra trice Judith, t. 25. p. 64. Sort que lui fait éprouver Pepin, roi d'Aquitaine, p. 65. BERNARD, roi d'Italie, petit - fils de Charlemagne, t 25. p. 5 et 58. Tige de la maifon de Vermandois, p. 5. Mécontent de Louis-le-Debonnaire, p. 60. Lui fait la guerre et y eft malheureux, p. 61 Sa fin tragique, ibid. et t. 16. p. 448 et 449. p. BERNARD (Saint): notice hiftorique fur ce faint. t. 11. 308. Prêche une croifade en France pour la Terre-Sainte, t. 17. p. 127. Refufe d'en être le chef, p. 128. Engage Louis le jeune à y entrer, p. 127 La prêche auffi en Allemagne, t. 25. p. 65 Ses miracles, t. 17. p. 128. Cas qu'il faut en faire, t. 19. p. 345. En quoi ne fut pas prophête, t. 25. p. 165. Singulière révélation qu'il eut, t. 37, p. 26. A pu paffer pour un des beaux efprits de fon fiêcle, t. 17. p. 376. Ce qu'il enfeigna fur l'ame, t. 41. p. 441. Déclare la fuzeraineté du pape une ufurpation, t. 16, p. 557. Portrait qu'il trace des Romains de fon tems, t. 17. p. 50. BERNARD, prêtre efpagnol : élu évêque de Tolède par le peuple, t. 17. p. 12. BERNARD VAN-GALLEN, évêque de Munfter: fes deportemens, t. 33. p. 147. BERNARD (Samuel): était d'une vanité ridicule, t. 13. p. 20. Anecdote relative à ce ridicule, ibid. Sa paffion pour les chofes d'éclat, t. 24. p. 245 et 246. Prête 200 mille écus à la Suède, p. 243. Epitre que lui adreffe Voltaire, fous le nom de madame Fontaine Martel, t. 13. P. 19. BERNARD (Jacques), littérateur eftimé du fiècle de Louis XIV, t. 20. p. 60. BERNARD (le Gentil), auteur d'une description du hameau, en vers de quatre fyllabes : vers de même mesure adreffés par Voltaire à M. Berger, fur cette defcription t. 15. p. 95. Lettre en vers et en profe que lui écrit cet homme célèbre, p. 147 Voyez Quatrain. Voyez auffi au t. 14. p. 289 et 306. BERNARD (mademoiselle ), auteur de quelques pièces de théâtre, auxquelles Fontenelle eut part, t. 20. p. 53. BERNE (le canton de), embraffe la réformation, t. 18. p. 170. Par quelle aventure elle y fut introduite, t. 30. p. 283 et fuiv. et t. 38. Р 305. BERNIER (François), célèbre par les voyages qu'il publia, t. 20. p. 60. Voulut avec Gaffendi, renouveller le fyftême des atômes d'Epicure, ibid. Son erreur fur le droit de propriété du Grand-Mogol, t. 18. p. 394. BERNIERES (la préfidente de ): lettres que lui écrit Voltaire, et n'offrant que des détails de fociété. Voyez les tables du t. 52. p. 499. BERNIN (chevalier); voyez Bernini. BERNINI (le chevalier), architecte célèbre en Italie, par plufieurs chefs-d'œuvres, t. 21. p. 199. Eft appelé en France par Louis XIV, ibid. Munificence de ce prince envers lui, ibid. Comment ne la mérita pas, p. 200. Ce qui l'étonna en arrivant à Paris, ibid. et t. 12. p. 26 et 27. BERNIS (M. l'abbé, depuis cardinal de ) : fait d'abord des vers contre Voltaire, et enfuite devient fon ami, t. 48. p. 172. Devient auffi celui de madame de Pompadour, et remplace Rouillé au ministère, p. 173. Lettre qu'il reçoit de Voltaire, au fujet de fa promotion au cardinalat, t: 56. p. 65. Autres du même, en profe et en vers, t. 15. p. 338 et 362. Autre du même fur le poëme des quatre Saifons et fur le cardinal Bembo, t. 61. p. 101 et 111. BERNOULLI (Jacques): ce qu'il avance fur les comètes, t. 21. p. 249. BERNOULLI (Jean): voyez Quatrain. BERNOUILLI (les), géomètres qui ont illuftré la Suiffe, t. 20. p. 228. BERNSTOF (M. le comte de), premier miniftre du roi de Danemarck. Lettre de remerciement que lui écrit Voltaire, relativement aux Sirven, t. 6. p. 43. BEROSE: on croit que c'eft dans l'hiftoire qu'il a écrite qu'a été puisée celle du déluge de la Genèfe, t. 34. p. 23. Voyez Xiffultre. BERRI duc de), frère de Louis XI, empoifonné par fon confeffeur, t. 17. p. 462. BERRIN (le fieur): voyez Couplets. BERRUYER (le jéfuite), comment et dans quel ftyle a commenté la bible, t. 41. p. 68. BERTAUD, évêque de Seez: madrigal qu'on en cite comme un modèle de fineffè et délicateffe d'efprit, t. 40. p. 113. BERTHOL tige de la maifon de Maurienne, dont defcendent les ducs de Savoye, t. 17. p. 3. BERTHE, mère de Charlemagne on ne fait d'elle que fon nom, t. 25. p. 37. BERTHE, fille de Charlemagne, t. 25. p. 5. BERTHE (la reine ), époufe et parente du roi Robert: pourquoi accouche d'un canard et eft répudiée, t. 43, P. 479. Voyez Robert roi de France. BERTHE, fille d'Othon de Savoye, femnte de l'empereur Henri IV, t. 25. p. 11. BERTHE, ducheffe de Carinthie, fille de l'empereur Henri IV, t. 25. p. 11. BERTIER (le jefuite), auteur du journal de Trevoux : relation de fa maladie et à quoi on en attribue la caufe t, 46. p. 83. Potion qu'on lui fait prendre, p. 84. Sa confeffion, p. 85. Meurt, et aveu qu'il fait en mourant, p. 91. Apparaît au frère Garaffe, continuateur du journal, ibid. Ce qu'il lui révèle et confeils qu'il lui donne, p. 92. BERTRADE: époufe Philippe I, roi de France, t. 16. p. 540. Cenfares de Rome à ce fujet, ibid. BERTRAND: nom que prend d'Alembert dans quelques lettres qu'il adreffe à Voltaire, t. 69. p. 140 et fuiv. BERTRANDI (Pierre), évêque d'Autun: étrange affertion qu'il avance, t. 37. p. 65. BERWICK: à la tête des troupes de Philippe V, gagne la bataille d'Almanza fur Galloway, t. 21. p. 20. Anecdotes tirées de fes mémoires, ibid. et p. 21. On peut les confulter fur la campagne de 1708; mais avec précaution, et pourquoi, p. 18. Malborough lui écrit pour porter Louis XIV à entamer une négociation, pour la paix, p. 29. Obligé par la cour à faire une réponse négative, ibid. Erreur qui fe trouve dans fes mémoires au fujet de la bataille de Malplaquet, p. 42. Précaution à prendre fur l'efpèce de mémoires de ce genre cités par Voltaire, ibid. Affiége et prend Barcelone, p. 72. Ses mémoires cités au fujet du teftament de Louis XIV, p. 165. Motifs de la lettre qu'il écrit à fon fils, le duc de Liria, contre. lequel il devait combattre, t. 22 p. 8. Va commander dans les Cevennes, t. 21. p. 341 et 342. Péril qu'il court à Nifmes, ibid. Ses mémoires cités au fujet du Prétendant, t. 20. p. 486. De Chamillart, p. 495. Lettre en profe et en vers que lui écrit un homme dont on ignore le t. 48. p. 381. nom, BESA (oraclé d'un dieu appelé ) : voyez Oracles. BISOGNE (four), fingulier nonain dont il eft parlé dans la Pucelle, voyez l'analyfe de ce poëme, art. Pucelle (poëme de la ), chant 10 et 11. BESME fon origine, t. 10. p. 221. Propofitions des Rochellois à fon fujet, ibid. Par qui tué, ibid. BESSIERES (mefdemoifelles): vie fingulière de leur tante, t. 55. P. 285. BESSIN (M.), curé de Plainville, digne de la première cure du Parnaffe, t. 59. p. 11. BESTIALITÉ: où cette turpitude eut lieu, t. 34. p. 137. A été commune, t. 6. p. 83. Doutes fur ce qui eft rapporté des fruits de ces accouplemens, p. 84. Peines décernées par le lévitique contre ce crime immonde, t. 27. P. 215, BETE DE L'APOCALYPSE: fon fens myftique, t. 42. p. 180. Sert à trouver le tems auquel l'apocalypfe a été compofée, ibid. BETES Confidérations fur la faculté qui les fait agir, et au moyen de laquelle elles ont des perceptions, t. 38. p. 258. t. 34. p. 195 et fuiv. Opinion de Descartes fur leur organisation, t. 32. p. 85. et t. 36. p. 243.. De Pereira, ibid. Du cardinal de Polignac, p. 344. et 345. De la Génèfe, qui eft en contradiction avec Defcartes, t. 32. p. 85. Pacte que Dieu fit avec elles, t. 34. p. 24. BETFORD ( duc de), le feul qui affifte aux funérailles d'Henri V, t. 17. p. 355. Sa conduite dans le procès de la Pucelle d'Orléans, p. 357 et fuiv. BETHZABÉ, femme d'Urie infpire de la paffion à David, t. 34. p. 280. Quelles en furent les fuites, ibid. et p. fui. (voyez David). Salomon naquit de cette union, P. 282. BETHSAMÉS village de la Judée où l'arche d'alliance eft miraculeufement conduite, t. 38. p. 261 et 262. Nombre prodigieux de fes habitans frappés de mort fubite pour avoir ofé confidérer cette arche, p. 262. Ouvrage anglais qui révoque ces faits en doute, p. 263. BéTISI (marquis de): voyez Varbourg. BETTINELLI (R. P.), fervite de Vérone lettre que lui écrit Voltaire fur quelques littérateurs italiens et particulièrement fur Marini, t. 57. p. 79. BEUF (l'abbé le), favant très- verfé dans l'hiftoire de France, t. 20. p. 60. BEUVRON (le comte de): bleffé à la bataille de Dettinguer, t, 22. p. 92 BEZONS (maréchal de ), t. 20. P. 23, BIANCHI (M. le docteur): ce que lui écrit Voltaire fur l'art dramatique, t. 58. p. 220. Voyez auffi au mot Italie. BIBIENA (le cardinal): reftaurateur de la comédie en Italie, t. 3. p. 324. t. 18. p. 99. t. 38. p. 5. et t. 47. p. 264. BIBLE : quelques perfonnes propofent de s'en tenir à ce feul livre, t 41. p. 436. Ce qui paraît s'oppofer à ce projet et en quoi dangereux, ibid. (Voyez Ecriture Sainte). Fut une fource d'héréfie pour les premiers chrétiens, p. 439. Fut ignorée jufqu'au règne d'Aurélien quoique traduite en grec, t. 37. p. 74. On voudrait savoir de quelle, date eft la défenfe de la traduire en langue vulgaire, t. 59. p. 230. Enfin expliquée par les aumoniers du roi de Pruffe, t. 34 et 35. Ce que fignifie les quatres lettres initiales qui font en tête du titre de cet ouvrage, t. 34. p. 4. Chaque article de ce commentaire étant traité à part, voyez les mots Genèfe, Exode Lévitique, Nombres, Deutoronome, Jofué, Efdras, Efther, Prophètes, Daniel, Ezechiel, Ozée, Jonas et Machabées. p. BIBLIOTHÈQUE: effraye lorfqu'elle contient deux cents. mille volumes et guérit de la paffion d'imprimer, t. 38. p. 265 Pourquoi il faut fe confoler d'ignorer ce qu'elle renferme t. 28 256. Celle de Paris eft, fans contredit, le plus beau monument qu'il y ait en France, t. 38. p. 266. S'eft enrichi fous le règne de Louis XIV de plus de trente mille volumes, t. 21. p. 246. Ce qu'elle en contient aujourd'hui, p. 247. Il y a quatre mille bibliothèques confidérables en Europe, t. 38. p. 267. BIBLIOTHÈQUE d'Alexandrie brûlée par les lieutenans d'Omar, t. 16. p. 319. Du Vatican, et par qui augmentée ; t. 19. p. 236. BIBLIOTHÈQUE raifonnée: cas que Voltaire faifait du journal qui portait ce titre, t. 49. p. 37. BIBLIOTHÈQUE françaife: voyez Rouffeau (J. B. ) BIBLIOTHÈQUES : dans quel cas elles feraient moins nombreufes et plus utiles, t. 41. p. 447 BIELFIELD (baron de): lettre d'amitié que lui écrit Voltaire, t. 57. p. 418. BIEN (le) et le mal: allégories par lefquelles on a voulu fignifier leur origine, t. 38. p. 374 et 285. Argument preffant de Lactance à ce fujet, p. 283. BIEN (tout eft): thèse difficile à foutenir, t. 38. P. 281. Philofophes qui s'en font occupé, p. 286. |