Revue de la Normandie, Volume 1Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet E. Cagniard, 1862 - Normandy |
Other editions - View all
Common terms and phrases
année artistes assez avaient avons Bailliage baron belle bibliothèque impériale Bresle Burke C'était Caen cercueils chanoines chapelle Charles château d'Anet château de Blainville chose cœur Collégiale comte côté crique d'Alègre d'aniline d'Oyssard devant dict Dieppe Dieu donner église époque Eugène Noël faict famille femme fief figure fille François Ier Gaultier Garguille gouverneur Grandcourt Gros-Guillaume Hallot Haute-Normandie Henri Henri IV Histoire hommes inscription j'ai Jean d'Estouteville Jean de Mauquenchy Jeanne jour l'abbé Cochet l'art l'église l'histoire lettres livres Louis main maison maître mars Mauquenchy ment Montansier monuments mort Nardoo Neuville nobles noblesse Normandie œuvres Parlement Parlement de Normandie paroisse passé peinture personne pièces pierre place Pont-de-l'Arche porte Pourville premier présent prieuré province Pucelle religieux représentant reste Revue Rouen royale saint scène seigneur de Blainville sépultures sera seul sieur sire de Blainville sorte Tavannes théâtre tion titre troupes trouve Vaudreuil verrière Villars XVIIIe siècle Yves d'Alègre
Popular passages
Page 453 - Charles, par la grâce de Dieu roi de France, à tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut.
Page 328 - Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d'une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l'homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l'atrophie de l'enfant par la nuit...
Page 288 - Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En public, à Paris', y monta la première ; Et, sottement zélée en sa simplicité, Joua les saines, la Vierge et Dieu, par piété.
Page 824 - C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins dHamilcar. Les soldats qu'il avait commandés en Sicile se donnaient un grand festin pour célébrer le jour anniversaire de la bataille d'Eryx, et comme le maître était absent et qu'ils se trouvaient nombreux, ils mangeaient et ils buvaient en pleine liberté.
Page 210 - Ils crurent qu'on les rouerait de coups de bâton au sortir de là ; ils voulurent faire leurs excuses. « Jouez, jouez seulement », leur dit-il. Le maréchal y alla ; mais le souvenir d'un si bon maître lui causa une telle douleur qu'il fut contraint de sortir tout en larmes dès le commencement de la farce.
Page 50 - Dans le procès-verbal de la séance du Conseil général de la commune de Paris, du 3 septembre 1792, il est dit : Le Conseil général renvoie au comité de surveillance...
Page 611 - A.. Archives historiques et littéraires du Nord de la France et du Midi de la Belgique. 3e série. Tome V. Valenciennes, 1856. 8°.
Page 552 - Bibliographe, le, revue bibliographique, philologique, littéraire, critique et anecdotique, rédigée par une société de bibliographes et de bibliophiles, suivie d'une notice de livres rares et curieux, la plupart non cités, à prix marqués. 1. '2. années. Paris 1862, 63. 8. E(prm€ptC Tiav ßißliotpii.wi'.
Page 322 - Voilà donc les restes d'un grand homme ! il a trouvé la mort au milieu des hasards qu'il a tant de fois bravés. » Puis il ajouta au capitaine : «Votre commission est trop respectable poiir qu'on vous arrête : » et lui fit donner un passe-port.
Page 826 - Des flammes oblongues tremblaient sur les cuirasses d'airain. Toutes sortes de scintillements jaillissaient des plats incrustés de pierres précieuses. Les cratères, à bordure de miroirs convexes, multipliaient l'image élargie des choses ; les soldats se pressant autour s'y regardaient avec ébahissement et grimaçaient pour se faire rire.