| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 706 pages
...prise de ne vouloir pas le voir, qu'on n'oseroit envisager le bout de ses forces auquel on touche , que tout se réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre toujours sans savoir si on trouvera de quoi prendre , qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 742 pages
...prise de ne vouloir pas le voir, qu'on n'oseroit envisager le bout de ses forces auquel on touche, que tout se réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre toujours sans savoir si on trouvera de quoi prendre , qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui... | |
| Alexandre Dumas - 1806 - 284 pages
...achèvera de se briser au premier choc : on n'oserait envisager le bout de ses forces, auquel on touche ; tout se réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre toujours. » Vous croyez qu'on aura plus de souci de l'armée que du peuple, de ceux qu'on... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1808 - 522 pages
...ne vouloir pas » le voir; qu'on n'oserait envisager le bout de » ses forces auquel on touche ; que tout se » réduit à fermer les yeux , et à ouvrir la main , » pour prendre toujours,, sans savoir si on trou» vera de quoi prendre.; qu'il n'ya que le mi» racle d'aujourd'hui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 432 pages
...prise de ne vouloir pas le voir, qu'on n'oseroit envisager le bout de ses forces auquel on touche, que tout se réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre toujours sans savoir si on trouvera de quoi prendre , qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui... | |
| cardinal Louis François de Bausset - Theologians - 1817 - 588 pages
...vouloir pas le voir ; qu'on » n'oseroit envisager le bout de ses forces auquel » on touche ; que tout se réduit à fermer les » yeux, et à ouvrir la main, pour prendre toua jours, sans savoir si on trouvera de quoi pren» dre ; qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui... | |
| Henri François Aguesseau - France - 1823 - 538 pages
...ne vouloir pas le »voir; qu'on n'oseroit envisager le bout de ses » forces auquel on touche ; que tout se réduit » à fermer les yeux et à ouvrir la main pour » prendre toujours, sans savoir si on trouvera » de' quoi prendre; qu'il n'ya que le miracle M d'aujourd'hui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 466 pages
...prise de ne vouloir pas le voir, qu'on n'oseroit envisager le bout de ses forces auquel on touche, que tout se réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre toujours sans savoir si on trouvera de quoi prendre, qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1826 - 480 pages
...prise de ne pas le « voir; qu'on n'oseroit envisager le bout de ses « forces auquel on touche ; que tout se réduit à « fermer les yeux et à ouvrir la main pour prendre « toujours , sans savoir où l'on trouvera de quoi « prendre; qu'il n'ya que le miracle d'aujour«... | |
| abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - France - 1827 - 528 pages
...Cambrai : « La France ne vit plus que par mi» racle , c'est une vieille machine délabrée qui va en» core de l'ancien branle qu'on a lui donné , et qui...» réduit à fermer les yeux et à ouvrir la main pourpren» dre toujours, sans savoir si on trouvera de quoi pren» dre — Les intendans enlèvent... | |
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