Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif, et annotés, pour en faciliter l'intelligenceAlexander G. Collot |
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Page 30
... vois qui c'est . SCÈNE V. Les Précédens , Paul Laurencin . Eugénie , ( s'avançant vers la porte . ) Tiens ! c'est le cher petit Paul , le frère d'André . M. Dumolard . Entre , mon enfant ... et viens m'embrasser . Paul . Bonjour ...
... vois qui c'est . SCÈNE V. Les Précédens , Paul Laurencin . Eugénie , ( s'avançant vers la porte . ) Tiens ! c'est le cher petit Paul , le frère d'André . M. Dumolard . Entre , mon enfant ... et viens m'embrasser . Paul . Bonjour ...
Page 36
... vois l'impression que cette lettre a produite sur toi . André . Ah ! monsieur ... Mon pauvre père ! quels affli- geans détails . Eugénie , ( lui prenant la main . ) Vous avez du chagrin , André ? Edouard , ( lui prenant l'autre main ...
... vois l'impression que cette lettre a produite sur toi . André . Ah ! monsieur ... Mon pauvre père ! quels affli- geans détails . Eugénie , ( lui prenant la main . ) Vous avez du chagrin , André ? Edouard , ( lui prenant l'autre main ...
Page 40
... vois pas souvent Didier . Verteuil . Et pourquoi donc ? Madame Beaumont . De peur de le détourner de ses études . Aussi bien , lorsqu'il est ici , je ne le trouve pas assez attentif aux leçons de savoir - vivre qu'on lui donne ; il ne ...
... vois pas souvent Didier . Verteuil . Et pourquoi donc ? Madame Beaumont . De peur de le détourner de ses études . Aussi bien , lorsqu'il est ici , je ne le trouve pas assez attentif aux leçons de savoir - vivre qu'on lui donne ; il ne ...
Page 41
... vois , de la trouver si charmante . Vous nous avez fait un peu attendre , mon enfant . Léonor , ( faisant à Verteuil une révérence cérémonieuse . ) C'est que Finette n'a jamais pu réussir à placer mes plumes . Je les lui ai fait ôter et ...
... vois , de la trouver si charmante . Vous nous avez fait un peu attendre , mon enfant . Léonor , ( faisant à Verteuil une révérence cérémonieuse . ) C'est que Finette n'a jamais pu réussir à placer mes plumes . Je les lui ai fait ôter et ...
Page 54
... vois . Ô M. Verteuil ! je suis transporté de plaisir . Permettez - vous que j'aille la faire voir à mon maître ? Je cours , et je reviens comme le vent . Verteuil . Je le veux bien . Dites - lui que je ne vous l'ai pas donnée pour ...
... vois . Ô M. Verteuil ! je suis transporté de plaisir . Permettez - vous que j'aille la faire voir à mon maître ? Je cours , et je reviens comme le vent . Verteuil . Je le veux bien . Dites - lui que je ne vous l'ai pas donnée pour ...
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Common terms and phrases
Abner Acaste Adieu aime Alceste Allons âme amis amour Athalie Auguste avez Baptiste Belle-Main bonheur Camille Caroline Cécile Célimène charmante cher chose ciel Cinna cœur crois Delmar Didier Dieu dieux dire Dormeuil Dornonville Ducros Dumolard Dumont Egis Égisthe enfant esprit Est-ce êtes Eugénie Euph fils fortune Francaleu Franval Frédéric Germont gloire Gustave Hermance heureux homme Isménie j'ai j'en jamais Joad Joas Josabet jour Léonor lévites Lisette Lucile m'en Madame Beaumont Madame de Brienne Madame de Detmond Madame de Melcourt Madame Dorbeval Madame Duservant mademoiselle main malheureux Mérope Messène monde monseigneur Narbas Olivier Oronte parler pense père Phil Poligni Polyphonte Prince Qu'est-ce regarde Rémy rien rois Rondon sais salon sang SCENE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion seigneur sera seul soins sort t'en temple tyran vais Valcour venger Verteuil veux Victor voilà vois yeux
Popular passages
Page 338 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 455 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 341 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 340 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 446 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 410 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 357 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 323 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 338 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 423 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.