 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - Etiquette - 1818 - 432 pages
...les villes de province. Les femmes d'abord sortaient toutes du salon ; celles qui étoient le pins près de la porte passoient les premières ; elles...maîtresse de la maison trouvoient facilement le moyen , sans faire de scène , d'engager les quatre femmes les plus distinguées de l'assemblée à se mettre... | |
 | Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 412 pages
...dans les villes de province. Les femmes d'abord sortoient toutes du salon ; celles qui étoient le plus près de la porte passoient les premières; elles...Tout le monde arrivé dans la salle à manger , on se placoit à .table à son gré, et le maître et la maîtresse de la maison trouvoient facilement le... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - France - 1825 - 426 pages
...dans les villes de province. Les femmes d'abord sortoient toutes du salon ; celles qui étoient le plus près de la porte passoient les premières ;...Tout le monde arrivé dans la salle à manger , on se placoit à table à son gré, et le maître et la maîtresse de la maison trouvoient facilement le... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - France - 1825 - 414 pages
...que dans les villes de province. Les femmes d'abord sortoient toutes du salon; celles qui étoient le plus près de la porte passoient les premières; elles...petits complimens , mais très-courts, #et qui ne rctardoient nullement la marche. Tout cela se faisoit sans embarras , avec calme, sans empressement... | |
 | France - 1878 - 488 pages
...cela se faisait sans embarras, avec calme, sans empressement et sans lenteur. Les hommes passaient ensuite. Tout le monde arrivé dans la salle à manger, on se placait à table à son gré. Le jacobinisme avait supprimé toute espèce de compliments en proscrivant... | |
 | Alfred Franklin - France - 1908 - 382 pages
...que dans les villes de province. Les femmes d'abord sortoient toutes du salon, celles qui étoient le plus près de la porte passoient les premières; elles...Tout le monde arrivé dans la salle à manger, on se placoit à son gré, et le maitre et la maîtresse de la maison trouvoient facilement le moyen d'engager... | |
 | Anatole France - French literature - 1922 - 372 pages
...petits compliments, mais très courts et qui ne retardaient nullement la marche... Les hommes passaient ensuite. Tout le monde arrivé dans la salle à manger, on se plaçait à table à son gré. » armoires pleines de fossiles, ossements de reptiles et de poissons,... | |
 | 1909 - 1496 pages
...petits compliments, mais très courts et qui ne retardaient nullement la marche. Les hommes passaient ensuite. Tout le monde arrivé dans la salle à manger, on se plaçait à table à son gré, et le maître et la maîtresse de la maison trouvaient facilement le... | |
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Cet usage ne se pratiquoit alors que dans les villes de province. Les femmes d'abord sortoient toutes du salon ; celles qui étoient le plus près de la porte passoient les premières ; elles se faisoient entre elles quelques petits complimens, mais très-courts,... 