Style Français des meilleurs Auteurs, Volume 1 |
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Page ii
C. J. Cunninghame. assez que les Spinola , auxquels vous appartenez également pav votre mari et par Madame votre ; mère , sont une des premières fa- milles patriciennes de l'Italie d'ailleurs , j'ai toujours ceu qu'il était de la dignité ...
C. J. Cunninghame. assez que les Spinola , auxquels vous appartenez également pav votre mari et par Madame votre ; mère , sont une des premières fa- milles patriciennes de l'Italie d'ailleurs , j'ai toujours ceu qu'il était de la dignité ...
Page 35
... mari ? Mais oui , Madame la marquise , répondit - elle . — Qu'appelles - tu Madame la marquise ! crois - tu que je te saluerai d'un Madame la comtesse ? Bon quand il y a du monde , mais entre nous ! va , tu es l'enfant que j'ai élevé ...
... mari ? Mais oui , Madame la marquise , répondit - elle . — Qu'appelles - tu Madame la marquise ! crois - tu que je te saluerai d'un Madame la comtesse ? Bon quand il y a du monde , mais entre nous ! va , tu es l'enfant que j'ai élevé ...
Page 37
... mari . Tuer mon mari ! Oui le tuer , mon enfant . Il n'est pas rare de voir des hommes en mourir , Mourir , de quoi , ma tante ? De cela , ma nièce . De cela ! de faire les volontés de leurs femmes . - Oui , ma nièce , quand les ...
... mari . Tuer mon mari ! Oui le tuer , mon enfant . Il n'est pas rare de voir des hommes en mourir , Mourir , de quoi , ma tante ? De cela , ma nièce . De cela ! de faire les volontés de leurs femmes . - Oui , ma nièce , quand les ...
Page 38
... et vous paraissez ne pas comprendre ! Quand je parle des devoirs . de M. de Lignolle , j'entends ses devoirs de mari . Fort bien , ma tante . Et quand vous dites qu'il fait vos volontés , je crois que 38 STYLE FRANÇAIS .
... et vous paraissez ne pas comprendre ! Quand je parle des devoirs . de M. de Lignolle , j'entends ses devoirs de mari . Fort bien , ma tante . Et quand vous dites qu'il fait vos volontés , je crois que 38 STYLE FRANÇAIS .
Page 39
... mari ? Oui , ma tante . --- - - - Tous les jours ? Oui , ma tante . - Hé bien , ma nièce , je trouve cela fort étonnant et fort heureux . Mais , mon enfant , je te le répète , il faut user de ta raison . Ton mari n'est pas jeune , et tu ...
... mari ? Oui , ma tante . --- - - - Tous les jours ? Oui , ma tante . - Hé bien , ma nièce , je trouve cela fort étonnant et fort heureux . Mais , mon enfant , je te le répète , il faut user de ta raison . Ton mari n'est pas jeune , et tu ...
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Common terms and phrases
affreux AGAMEMNON Alzire amant amour ATHALIE Barbier Barbier de Séville beau beauté bonheur bras Brumont Buffon Calchas CENONE charme cher CHILL ciel cœur COMTE crime cruel daigne dame fort émue devoir Dieu dieux dire discours DORIN douleur doux écrivains enfant enfin femme fille force Fragment d'une scène French French lover fureur goût Guitaut Hélas héros heureux Histoire naturelle homme honneur horreur hymen IPHIGENIE J. J. ROUSSEAU j'ai j'en jamais jeune jour Julie l'âge de vivre l'amour l'auteur laisse langue LECT Lignolle long-temps m'en Madame de Sévigné Madame la comtesse main malheur MARQUIS Marquise ment Messieurs moi-même Molière Monsieur mort Mycène nièce nuit ORGON parler passer pensée père PHÈDRE plaisir plaisirs pleurs qu'un Racine reste rien Rome sais sang seigneur sentiment seul soin songe style sur-tout Tancrède Tartuffe tendre Tragédie Trézène triste vainqueur vert-doré vertu veux voilà vois voix Voltaire voulez vous-même yeux yous
Popular passages
Page 22 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : " Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 3 - Giton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l'estomac haut, la démarche ferme et délibérée; il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l'entretient...
Page 29 - Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi 1 des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 21 - Même elle avait encore cet éclat emprunté, Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille.
Page 62 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que voulant bien rompre un nœud si solennel, Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un Conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ? Non, non, la Perfidie a de quoi vous tenter.
Page 169 - J'ai conçu pour mon crime une juste terreur : J'ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur ; Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats ; Je t'ai tout avoué ; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.
Page 146 - Qu'elle-même sur soi renverse ses murailles, Et de -ses propres mains déchire ses entrailles; Que le courroux du ciel allumé par mes vœux Fasse pleuvoir sur elle un déluge de feux!
Page 4 - ... petits services; il est complaisant , flatteur, empressé; il est mystérieux sur ses affaires , quelquefois menteur ; il est superstitieux , scrupuleux , timide ; il marche doucement et légèrement , il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés , et il n'ose les lever sur ceux qui passent. Il n'est jamais du nombre de ceux qui forment un cercle pour discourir...
Page 81 - Les honneurs sont vendus aux plus ambitieux, L'autorité livrée aux plus séditieux. Ces petits souverains qu'il fait pour une année , Voyant d'un temps si court leur puissance bornée, Des plus heureux desseins font avorter le fruit, De peur de le laisser à celui qui les suit.
Page 77 - S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur Le frère d'une femme et l'amant d'une sœur; Et, rompant tous ces nœuds, s'armer pour la patrie Contre un sang qu'on voudrait racheter de sa vie ; Une telle vertu n'appartenait qu'à nous.