| French periodicals - 1828 - 686 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou...dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mt' trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure , qui fut long, j'entends sur... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient...dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mu trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure , qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou...haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...A En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore !.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou...dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je rne trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. \u bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou...vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou...vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou...vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou...du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense en» core!.... Nous deux presque sans armes, » contre eux douze...sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu 1 quand j'y pense encore I._. Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou...tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue 1 L'appeler, faire du bruit , je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était... | |
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