Chrestomathie Française, Volume 2 |
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Page 12
... tombe . Vous devez l'en aver- tir , non - seulement comme dépositaire de ses pensées , mais encore de peur que quelqu'un de ses amis ne fût assez franc pour vous prévenir . En ce cas - là , vous savez ce qu'il en arriverait : vous ...
... tombe . Vous devez l'en aver- tir , non - seulement comme dépositaire de ses pensées , mais encore de peur que quelqu'un de ses amis ne fût assez franc pour vous prévenir . En ce cas - là , vous savez ce qu'il en arriverait : vous ...
Page 23
... tombe , assis dans mon jardin , je fixe mes regards sur cet ermitage solitaire , et mon imagination s'y repose . Il est devenu pour moi une espèce de propriété ; il me semble qu'une réminiscence confuse m'apprend que j'ai vécu là jadis ...
... tombe , assis dans mon jardin , je fixe mes regards sur cet ermitage solitaire , et mon imagination s'y repose . Il est devenu pour moi une espèce de propriété ; il me semble qu'une réminiscence confuse m'apprend que j'ai vécu là jadis ...
Page 30
... tombe ; c'est elle qui m'ouvrira les portes du ciel , que mon crime devait me fermer à jamais . En achevant de la lire , je me sentis défaillir , épuisé par tout ce que je venais d'é- prouver . Je vis un nuage se répandre sur ma vue ...
... tombe ; c'est elle qui m'ouvrira les portes du ciel , que mon crime devait me fermer à jamais . En achevant de la lire , je me sentis défaillir , épuisé par tout ce que je venais d'é- prouver . Je vis un nuage se répandre sur ma vue ...
Page 59
... tombé au - dessous même de son esclavage ordinaire . Les imaginations , échauffées par ces regrets , fermentèrent avec l'ardeur superstitieuse de cette époque . Un tremblement de terre , qui fut ressenti dans Constantinople , parut un ...
... tombé au - dessous même de son esclavage ordinaire . Les imaginations , échauffées par ces regrets , fermentèrent avec l'ardeur superstitieuse de cette époque . Un tremblement de terre , qui fut ressenti dans Constantinople , parut un ...
Page 79
... tombe de douleur ; une partie de ses membres perdent le mouvement : à peine les secours de l'art peuvent - ils le rappeler après plusieurs mois ; à peine les secours de la religion peuvent- ils rendre le calme à ce cœur si aimant et si ...
... tombe de douleur ; une partie de ses membres perdent le mouvement : à peine les secours de l'art peuvent - ils le rappeler après plusieurs mois ; à peine les secours de la religion peuvent- ils rendre le calme à ce cœur si aimant et si ...
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Common terms and phrases
âme beau belle bruit changer chants cher chercher chose chrétienne ciel cœur côté coup cour d'autres demande dernier devant Dieu dire discours doit donner doute enfants enfin ennemis esprit faisait fille fils fleurs flots fond font force forme garde génie gloire Grecs heureux hommes humain idées j'ai jeune jour jugement juste l'esprit l'homme laisse langue lieu livre loin lois lui-même main maître malheureux mère mieux milieu mille monde montrer monts mort mots mourir mouvement n'ai n'en nature nombre nouveau nouvelle nuit ouvrages parler paroles passer peine pendant pensée père personne peuple peut-être pieds place pleurs porte pouvait premier présent propre puisse qu'à qu'un raison regard rend reste rien rois russe s'il saint sais sang semble sens sentiment serait seul siècle soleil sort souvent terre tête tombe tour traits triste trouve vaisseau venait vents vérité veut vive voilà voit voix Voyez vrai yeux
Popular passages
Page 223 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 401 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 17 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 401 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 434 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu , cher Abner , et n'ai point d'autre crainte.
Page 460 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 489 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 351 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse ; Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté : Plus on veut l'affaiblir, plus il croît et s'élance.
Page 225 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 435 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...