Chrestomathie Française, Volume 2 |
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Page iii
... souvent à apercevoir . Où commence , dans le passé , la langue du présent ? Où finit - elle ? où faut - il cesser d'emprunter et de citer ? où la main s'arrêtera - t - elle entre l'idiome refroidi et la langue en fusion ? Et , les ...
... souvent à apercevoir . Où commence , dans le passé , la langue du présent ? Où finit - elle ? où faut - il cesser d'emprunter et de citer ? où la main s'arrêtera - t - elle entre l'idiome refroidi et la langue en fusion ? Et , les ...
Page 4
... souvent à un pluriel sous - entendu ou supposé . « Ils couraient le cerf ; Ils en avaient déjà pris un . » Voltaire . « Ils quittèrent leur maintien inso- lent pour en prendre un respectueux , » V. p . 7. note 1. 5 ) Pendant les paroles ...
... souvent à un pluriel sous - entendu ou supposé . « Ils couraient le cerf ; Ils en avaient déjà pris un . » Voltaire . « Ils quittèrent leur maintien inso- lent pour en prendre un respectueux , » V. p . 7. note 1. 5 ) Pendant les paroles ...
Page 7
... souvent un air de grandeur que la nature leur a refusé . L'archevêque s'avança d'abord vers moi , et me demanda , d'un ton de voix plein de douceur , ce que je souhaitais . Je lui dis que j'étais le jeune homme dont le seigneur don ...
... souvent un air de grandeur que la nature leur a refusé . L'archevêque s'avança d'abord vers moi , et me demanda , d'un ton de voix plein de douceur , ce que je souhaitais . Je lui dis que j'étais le jeune homme dont le seigneur don ...
Page 9
... souvent , que j'en étais aimé de manière que je pouvais compter ma fortune faite . Cela me fut confirmé peu de temps après par mon maître même , et voici à quelle occasion . Un soir il répéta devant moi avec enthousiasme , dans son ...
... souvent , que j'en étais aimé de manière que je pouvais compter ma fortune faite . Cela me fut confirmé peu de temps après par mon maître même , et voici à quelle occasion . Un soir il répéta devant moi avec enthousiasme , dans son ...
Page 21
... souvent solitaire par choix , et il y a peut - être plus d'analogie entre nos idées que vous ne le pensez ; cependant , je l'avoue , une solitude éternelle m'épouvante ; j'ai de la peine à la concevoir . - Celui qui chérit sa cellule y ...
... souvent solitaire par choix , et il y a peut - être plus d'analogie entre nos idées que vous ne le pensez ; cependant , je l'avoue , une solitude éternelle m'épouvante ; j'ai de la peine à la concevoir . - Celui qui chérit sa cellule y ...
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Common terms and phrases
ABNER AGAMEMNON ALCESTE âme anacoluthe ANTIGONE Antioche Athalie beau beauté Bélisaire bonheur Bossuet bras brillant bruit Buffon chants charme cher chose chrétienne Chrysostome Cicéron ciel cieux cœur courage Démosthène déserts Dieu dieux dire discours divine donner douleur doux ÉGISTHE enfants enfin ennemis esprit éternelle Eurydice fille fleurs flots flotte force fortune Gaïnas Gelimer gloire Grecs Hélas heureux hommes humain idées j'ai jamais JOAD joie Josabet jour l'âme l'éloquence l'esprit l'homme l'univers laisse langue larmes Lemonnier loin lois Louis XIV main maître malheureux MÉROPE monde mort mortels mourir nature noble nuit Ochozias OEDIPE ORONTE parler paroles passer pensée père permis de tuer peuple pleurs poésie poëte POLYEUCTE POLYPHONTE porte premier prince princesse qu'un raison regard reste rien rivage rois russe saint sainte alliance sais sang scène Seigneur semble sentiment serait seul siècle soleil sort souvent temple terre tombeau triste trouve vaisseau vanité vérité vertu voilà voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 223 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 401 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 17 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 401 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 434 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu , cher Abner , et n'ai point d'autre crainte.
Page 460 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 489 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 351 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse ; Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté : Plus on veut l'affaiblir, plus il croît et s'élance.
Page 225 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 435 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...