Histoire de la Vendée militaire, Volume 2Hivert, 1840 - France |
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Page 28
... campagnes c'est rompre son attache la plus forte à la société , le forcer à se retirer dans les bois , et le rendre brigand par nécessité . « Si la population qui reste n'était que de trente à qua- rante mille âmes , le plus court sans ...
... campagnes c'est rompre son attache la plus forte à la société , le forcer à se retirer dans les bois , et le rendre brigand par nécessité . « Si la population qui reste n'était que de trente à qua- rante mille âmes , le plus court sans ...
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... campagne d'outre - Loire , auprès de son père , de son beau - père , de sa belle - mère et de sa sœur , était là , por- tant un jeune enfant qu'elle allaitait . Cet enfant fut tué dans ses bras par les assassins de toute sa famille ...
... campagne d'outre - Loire , auprès de son père , de son beau - père , de sa belle - mère et de sa sœur , était là , por- tant un jeune enfant qu'elle allaitait . Cet enfant fut tué dans ses bras par les assassins de toute sa famille ...
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... il va s'adresser aux masses dispersées dans les campagnes ; les troupes révolution- naires ont frappé sans distinction de parti sur tous les êtres qui tombaient sous leurs sabres . Les sans - culottes DE LA VENDÉE MILITAIRE . 47.
... il va s'adresser aux masses dispersées dans les campagnes ; les troupes révolution- naires ont frappé sans distinction de parti sur tous les êtres qui tombaient sous leurs sabres . Les sans - culottes DE LA VENDÉE MILITAIRE . 47.
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... campagnes ne virent plus qu'une bête féroce dans les soldats républicains : à l'ap- proche d'un paysan ils se taisaient ; ils avaient l'instinct que ce paysan était un proscrit ; mais à la vue d'un bleu ils poussaient d'affreux ...
... campagnes ne virent plus qu'une bête féroce dans les soldats républicains : à l'ap- proche d'un paysan ils se taisaient ; ils avaient l'instinct que ce paysan était un proscrit ; mais à la vue d'un bleu ils poussaient d'affreux ...
Page 51
... campagne . Par l'ordre de bataille que suivaient les bleus , toujours soutenus par le croisement continuel de leurs flanqueurs , il était devenu impossible de concerter un mouvement mi- litaire . Les blancs ne pouvaient que harceler ...
... campagne . Par l'ordre de bataille que suivaient les bleus , toujours soutenus par le croisement continuel de leurs flanqueurs , il était devenu impossible de concerter un mouvement mi- litaire . Les blancs ne pouvaient que harceler ...
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Common terms and phrases
adresse angevin armée armes avaient bas Poitou bataille bleus Bocage Bonaparte braves Bretagne brigands Brottier C'était camp Canclaux cantonnements cavalerie cents Charette château Chollet colonnes infernales combat comité de salut commandement commissaire comte d'Artois conseil Convention conventionnels Couëtus coup courage curé de Saint-Laud d'armes d'Autichamp déens devait dévouement Directoire division émigrés ennemis espérances force fusiller garnison Garos général en chef gouvernement Grignon Guérin guerre Haxo Hédouville Hoche insurgés jamais Joly jour l'abbé Bernier l'Anjou l'armée laisser Loire Louis XVIII main Marigny massacres ment mille hommes monarchie MONSIEUR mort n'avait n'était Nantes néral Noirmoutiers officiers ordres pacification paix paroles patriotes pays pays de Retz paysans peuple Poitou porter pouvait premier consul prêtres prince prisonniers proclamation provinces de l'Ouest représentants répu républicains république reste révolution révolutionnaires Robrie Rochejaquelein royalistes s'était salut public sang Sapinaud sentiments seul soldats Stofflet Suzannet tête tion Travot troupes Turreau Vendée militaire Vendéens victoire Vieillevigne
Popular passages
Page 167 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 26 - A peine at-il eu le temps de prononcer cette phrase, que d'autres se sont levés pour le même objet, et ils ont réclamé du moins la faveur de l'aider. Nous avons proclamé le patriote Ance guillotineur, et nous l'avons invité à venir, en dînant avec nous, prendre ses pouvoirs par écrit, et les arroser d'une libation en l'honneur de la République.
Page 386 - Héros de la Vendée , illustre défenseur de la foi de tes pères et du trône de tes rois, salut. « Que le Dieu des armées veille à jamais sur toi; qu'il guide ton bras à travers les bataillons de tes nombreux ennemis, qui, marqués du doigt de ce Dieu vengeur, tomberont dispersés comme la feuille qu'un vent du nord a frappée!
Page 436 - Le pays vendéen réclame, à grands cris, une organisation civile. Le régime militaire ne lui convient plus. Il n'est pas assez fort non plus pour supporter le gouvernement constitutionnel. Il lui en faut un mixte, dont les agents soient pris dans les deux classes de citoyens, les réfugiés et ceux qui n'ont pas sorti du pays.
Page 229 - Sans ces conditions indispensables nous méprisons une amnistie que le crime ne doit jamais offrir à la vertu; nous braverons vos efforts et vos menaces. Aidés de nos fidèles et généreux soldats, nous combattrons jusqu'à la mort, et vous ne régnerez que sur la tombe du dernier d'entre nous.
Page 238 - Tout était convenu et arrange à l'atanrc. l'on promette , avec garantie de les remplir par la suite » ceux des articles dont on ne pourrait pas pour le moment obtenir l'exécution. Ce n'est que par des nuances douces et insensibles que les Français doivent se flatter de ramener le bonheur parmi eux.
Page 358 - Pour cet effet, je demande que le général Stofflet puisse faire passer la Loire à un corps d'élite de six mille hommes au moins ; ce corps, qui devra être augmenté par une force à peu près semblable que je demande au général Charette, se réunira, à Candé , * l'armée du général Scepeaux. » Le général Scepeaux choisira également un corps d'élite de six mille hommes...
Page 280 - C'est à vous à m'éclairer sur les moyens d'y parvenir. Je confie cependant à votre prudence l'expression d'un sentiment que je ne puis plus retenir , à présent que je puis parler moi-même à vos braves compagnons d'armes. Si cette lettre est assez heureuse pour vous parvenir à la veille d'une affaire , donnez pour mot d'ordre Samt-Louis, ralliement , le roi et la régence. Je commencerai à être parmi vous, le jour où mon nom sera associé à un de vos triomphes (i).
Page 301 - Conseil le courage de la prudence, après nous avoir si souvent accordé celui de la force. Nous stipulâmes que nous resterions armés sur notre territoire, et que nous conserverions tous les signes de ralliement sous lesquels nous avions combattu jusqu'à ce jour. Les soi-disant...
Page 369 - ... acceptés par elle comme ses régulateurs et ses libérateurs. Le nouveau duc d'Orléans, qui est errant et fugitif, n'a rien à se reprocher de tous les événements auxquels, malgré nous tous, son infortuné père a pris une large part. Je sais que ce dernier est en exécration auprès des exaltés de votre parti, et que même sa mort n'a pas éteint les haines. Que faut-il conclure de là ? C'est que le jeune duc d'Orléans est le seul moyen de transaction possible entre la république et...