Moy sentant ces hommes qui me tenoient, je me jette à la ruelle, et luy après moy, me tenant tousjours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en vouloient à luy ou à... Histoire de France - Page 448by Jules Michelet - 1856Full view - About this book
| Louis Pierre Anquetil - 1805 - 508 pages
...connoissois point cet homme , et ne savais s'il venait là pour m'offenser , ou si les archers en voulaient à lui ou à moi. Nous criions tous deux , et étions aussi effrayés l'un que l'autre. Enfin , le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers, et accorda la vie à cet homme , aux prières... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1818 - 534 pages
...travers du corps. Je ne cognoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'of« fenser , ou si les archers en vouloient à lui ou à «moi. Nous criions tous deux, et étions aussi efK frayés l'un que l'autre. » Enfin , le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers, et... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 526 pages
...travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous...étions aussi effrayés l'un que «l'autre. » Enfin', le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers et accorda la vie à cet homme, aux prières... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1819 - 526 pages
...travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme , et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous « criions tous deux , et étions aussi effrayes l'un que «l'autre. » Enfin, le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers et accorda... | |
| Biography - 1820 - 656 pages
...toujours à travers du » corps. Je ne savois si les archers » en vouloicnt à lui ou à moi ; car » nous criions tous deux , et étions » aussi effrayés l'un que l'autre.... » Enfin, Dii'ii voulut que M. de Nan» çay , capitaine aux gardes, vint, » qui me trouvant en cet état -là,... | |
| France - 1823 - 548 pages
...après moy , me tenant tousjours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme, et ne scavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous crions tous deux, et estions aussi effrayez l'un que l'autre. Enfin Dieu voulut... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pages
...après moy , me tenant tousjours à travers du corps. Je ne connoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous crions tous deux, et estions aussi effrayez l'un que l'autre. Enfin Dieu voulut... | |
| Louis Athanase des Balbes de Berton de Crillon - 1825 - 460 pages
...connaissais -point cet homme, et ne savais s'il venait là pour « m'offenser, ou si les archers en voulaient à lui ou « à moi. Nous criions tous deux, et étions aussi ef« frayés l'un que l'autre. » Enfin , le capitaine des gardes arriva , qui renvoya les archers... | |
| Henriette Amey - 1830 - 528 pages
...« toujours à travers du corps. Je ne savois si les archers en « vouloient à lui ou à moi; car nous criions tous deux, et « étions aussi effrayés l'un que l'autre.... Enfin, Dieu vou« lut que M. de Nancay, capitaine aux gardes, vint, qui me « trouvant dans cet état-là, bien... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - Europe - 1834 - 418 pages
...après moy , me tenant toujours à travers du corps. Je ne cognoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser , ou si les archers en vouloient à luy ou à moy. Nous criions tous deux, et étions aussi effrayé ' BBAHTÔME. M. de Tavannes , t, ix... | |
| |