Illustrations littéraires de la France; ou, Galerie anecdotique de nos principaux auteurs' peints par leurs actions et leurs écrits ...Lehuby, 1837 - Anecdotes |
From inside the book
Results 1-5 of 56
Page 2
... donna lui eurent bientôt rendu la santé ; mais alors il lui fallut quitter cet asile où du moins il avait du pain . Douze sous qu'on lui remit à sa sorție de l'hôpital ne pouvaient le conduire bien loin ; cependant ce fut avec ces ...
... donna lui eurent bientôt rendu la santé ; mais alors il lui fallut quitter cet asile où du moins il avait du pain . Douze sous qu'on lui remit à sa sorție de l'hôpital ne pouvaient le conduire bien loin ; cependant ce fut avec ces ...
Page 4
... donna , quelque chose qu'il pût dire pour se défendre de l'accepter . Mais cette nouvelle ayant été portée à Catherine de Médicis , qui avait destiné cette dignité à un autre , elle fit appeler Amyot dans son cabinet , où elle le reçut ...
... donna , quelque chose qu'il pût dire pour se défendre de l'accepter . Mais cette nouvelle ayant été portée à Catherine de Médicis , qui avait destiné cette dignité à un autre , elle fit appeler Amyot dans son cabinet , où elle le reçut ...
Page 11
... donna aucun relâche ; on le harcela avec acharnement ; on le peignit comme un homme dangereux , comme un monstre à séquestrer de la société . Mais ces injustices tournèrent à son avantage ; elles finirent elles finirent par le rendre ...
... donna aucun relâche ; on le harcela avec acharnement ; on le peignit comme un homme dangereux , comme un monstre à séquestrer de la société . Mais ces injustices tournèrent à son avantage ; elles finirent elles finirent par le rendre ...
Page 14
... donna son consentement , et la pièce fut mise en répétition à la Comédie Francaise . Le jour de la première représenta- tion fut un véritable événement . Les avenues du Théâtre Français furent encombrées ; toutle quartier fut en émoi ...
... donna son consentement , et la pièce fut mise en répétition à la Comédie Francaise . Le jour de la première représenta- tion fut un véritable événement . Les avenues du Théâtre Français furent encombrées ; toutle quartier fut en émoi ...
Page 32
... donna son bouclier à la bataille de Philippes , notre poète se battit bravement , et fut pré- senté au maréchal , qui , charmé de son cou- rage , se l'attacha en qualité de secrétaire . Ce fut là le commencement de sa fortune ...
... donna son bouclier à la bataille de Philippes , notre poète se battit bravement , et fut pré- senté au maréchal , qui , charmé de son cou- rage , se l'attacha en qualité de secrétaire . Ce fut là le commencement de sa fortune ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable aimable âme amis avaient beau Beaumarchais bientôt Boileau Bossuet brillante Buffon c'était carac caractère carrière célèbre Chapelain Chapelle charme cher chercher cœur Collin Collin d'Harleville comédie Corneille critique d'Alembert Dancourt Delille distingué dit-il donna douce Dufrény écrits écrivain éloges enfans esprit faisait Fénélon Fléchier Florian Fontaine Fontenelle fortune François Ier gaîté génie gloire goût Harpe Helvétius heureux homme jamais jeune jour l'abbé l'Académie l'auteur l'esprit Lebrun Lemière lettres littéraire littérature long-temps Louis Racine Louis XIV madame madame de Sévigné madame Deshoulières maître Marivaux Marmontel ment mérite mœurs Molière monde mort n'avait n'était noble ouvrages passion pensée père personne philosophe pièce plaisir poésie poète pouvait prince prit productions Quinault Racine Regnard réputation reste ridicule Rousseau s'était satire Scarron scène Sédaine semble sentimens sentiment seul Sévigné siècle sorte souvent style succès talent teur théâtre tion tragédie trouva verve vive Voltaire voulut
Popular passages
Page 29 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n'osa plus enjamber.
Page 36 - C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont , comme nous sommes , Véritablement hommes , Et meurent comme nous.
Page 230 - Ses manières y répondaient dans la même proportion, avec une aisance qui en donnait aux autres, et cet air et ce bon goût qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure compagnie et du grand monde, qui se trouvait répandu de soi-même dans toutes ses conversations...
Page 265 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Page 13 - C'est détestable, cela ne sera jamais joué; il faudrait détruire la Bastille pour que la représentation de cette pièce ne fût pas une inconséquence dangereuse. Cet homme joue tout ce qu'il faut respecter dans un gouvernement.
Page 222 - Mes jambes et mes cuisses ont fait premièrement un angle obtus, et puis un angle égal, et enfin un aigu. Mes cuisses et mon corps en font un autre, et ma tête se penchant sur mon estomac, je ne ressemble pas mal à un Z. J'ai les bras raccourcis aussi bien que les jambes et les doigts aussi bien que les bras. Enfin je suis un raccourci de la misère humaine...
Page 229 - Ce prélat était un grand homme maigre, bien fait, pâle, avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois. Elle rassemblait tout, et les contraires ne s'y combattaient point.
Page 252 - Paris commença la méthode De ces sifflets qui sont tant à la mode. « Ce fut, dit l'un, aux pièces de Boyer. » Gens pour Pradon voulurent parier. « Non, dit l'acteur; je sais toute l'histoire, Que par degrés je vais vous débrouiller : Boyer apprit au parterre à bâiller; Quant à Pradon, si j'ai bonne mémoire, Pommes sur lui volèrent largement ; Mais quand sifflets prirent commencement.
Page 116 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous.
Page 12 - C'est la comédie de Beaumarchais, il faut que vous nous la lisiez. Il y aura des endroits bien difficiles à cause des ratures et des renvois. Je l'ai déjà parcouru , mais je veux que la Reine connaisse cet ouvrage. Vous ne parlerez à personne de la lecture que vous allez faire.