Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a un souverain d' Allemagne ... |
From inside the book
Results 1-5 of 81
Page 9
... - teur et la simplicité de Bossuet , ou la facilité et la négligence de Voltaire , on est choqué du ra- mage sourd et rauque de l'abbé Arnaud . Il tourne 1 JUIN 1771 . 9 Opinion de Diderot sur le discours de réception de l'abbé Arnaud,
... - teur et la simplicité de Bossuet , ou la facilité et la négligence de Voltaire , on est choqué du ra- mage sourd et rauque de l'abbé Arnaud . Il tourne 1 JUIN 1771 . 9 Opinion de Diderot sur le discours de réception de l'abbé Arnaud,
Page 17
... Voltaire , pour servir de suite à ses ouvrages et de Mémoires à thistoire de sa Vie . On dit que cette détes- table rapsodie est d'un nommé Sabatier qui , pour gagner quelque argent , a voulu ramasser les pièces de toutes les querelles ...
... Voltaire , pour servir de suite à ses ouvrages et de Mémoires à thistoire de sa Vie . On dit que cette détes- table rapsodie est d'un nommé Sabatier qui , pour gagner quelque argent , a voulu ramasser les pièces de toutes les querelles ...
Page 18
... Voltaire que toutes les injures du Tableau philosophique . Au reste , comme il n'y a pas de si méchant livre où l'on ne puisse appren- dre quelque chose , j'ai appris dans celui - ci pour- quoi le patriarche a toujours nié si ...
... Voltaire que toutes les injures du Tableau philosophique . Au reste , comme il n'y a pas de si méchant livre où l'on ne puisse appren- dre quelque chose , j'ai appris dans celui - ci pour- quoi le patriarche a toujours nié si ...
Page 22
... Voltaire , M. de Buffon , M. d'Alembert que P ....... insultait il ya dix ans , M. Poinsinet de Sivri , M. le Brun qui a fait une ode , et M. Clément qui a déchiré le poëme de M. de Saint - Lambert et les Georgiques de l'abbé Delille ...
... Voltaire , M. de Buffon , M. d'Alembert que P ....... insultait il ya dix ans , M. Poinsinet de Sivri , M. le Brun qui a fait une ode , et M. Clément qui a déchiré le poëme de M. de Saint - Lambert et les Georgiques de l'abbé Delille ...
Page 67
... Voltaire , et jetez le reste au feu , M. de La Harpe ; si vous n'eussiez jamais fait que ce morceau sur les talens , nous aurions tous prononcé d'une voix unanime que vous n'en Jusaviez point . 6 rodaod of the newly beh b ab ta ...
... Voltaire , et jetez le reste au feu , M. de La Harpe ; si vous n'eussiez jamais fait que ce morceau sur les talens , nous aurions tous prononcé d'une voix unanime que vous n'en Jusaviez point . 6 rodaod of the newly beh b ab ta ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
assez aurait auteur beau belle billet c'était célèbre chant charmant chose Cicéron Clément Clément XIV cœur Comédie Française comédiens comète comique comte conte crois Croix du Maine d'Auban dernier diamant Diderot Dieu différens donner Dorat Druides écrit éloge enfans épigrammes esprit femme Ferney fille genre gens goût Grétry Harpe Helvétius homme intitulée j'ai jamais jeune jouer jour jugement l'abbé l'Académie l'auteur l'esprit l'Opéra lettres Linguet lire livre long-temps Louis madame madame Geoffrin mademoiselle mademoiselle Clairon mademoiselle Guimard malheur manière manque maréchal Marmontel ment mérite Molière monde Mondonville Monvel Morangiès mort musique n'en n'était opéra comique ouvrage parler parterre passé patriarche père personne peut-être philosophes pièce Piron poëme poëte premier prince Prusse public qu'un raison Raucourt représentation reste rien Rigoley rôle s'est sais scène serait seul siècle sort spectacle style succès sujet Sunni tableaux talent tête théâtre Thomas tion tragédie trouve vient voilà Voltaire
Popular passages
Page 355 - Un mauvais tableau enfante une bonne brochure : ainsi vous parlerez mieux des arts que vous n'en ferez jamais. Il se trouvera au bout du compte, dans quelques siècles, que vous aurez le mieux raisonné, le mieux discuté, ce que toutes les autres nations auront fait de mieux. Chérissez donc l'imprimerie: c'est votre lot dans ce bas monde. Mais vous avez mis un impôt sur le papier: quelle sottise! Plaisanterie à part, un impôt sur le papier est la faute en politique la plus forte qui se soit...
Page 253 - ... d'éclairs, elle voit Dieu dans le nuage; elle le voit qui secoue d'un pan de sa robe noire des foudres qui vont chercher la tête de l'impie; elle voit la tête de l'impie. Cependant la recluse dans sa cellule se sent élever dans les airs; son âme se répand dans le sein de la Divinité; son essence se mêle à l'essence divine; elle se pâme; elle se meurt; sa poitrine s'élève et s'abaisse avec rapidité; ses compagnes, attroupées autour d'elle, coupent les lacets de son vêtement qui...
Page 437 - Lorsqu'on fait un conte, c'est à quelqu'un qui l'écoute ; et pour peu que le conte dure, il est rare que le conteur ne soit pas interrompu quelquefois par son auditeur.
Page 249 - ... défigurées. Les distractions d'une vie occupée et contentieuse rompent nos passions. La femme couve les siennes : c'est un point fixe, sur lequel son oisiveté ou la frivolité de ses fonctions tient son regard sans cesse attaché. Ce point s'étend sans mesure ; et, pour devenir folle, il ne manquerait à la femme passionnée que l'entière solitude qu'elle recherche.
Page 394 - Capron, ma nièce. Ce trait est d'un bon homme, et encore assez original. Les gens de lettres avaient peu de liaison avec Piron ; ils craignaient son mordant : d'ailleurs, dans cette classe d'hommes, il n'est pas sans exemple que chacun cherche à briller à son tour dans un cercle, et lorsque Piron était quelque part, tout était fini pour les autres ; il n'avait point de conversation, il n'avait que des traits. En revanche , les roquets de la littérature le recherchaient beaucoup, et s'attachaient...
Page 261 - Thomas et d'Alembert d'avoir été trop sages. Elles nous accoutument encore à mettre de l'agrément et de la clarté dans les matières les plus sèches et les plus épineuses. On leur adresse sans cesse la parole, on veut en être écouté, on craint de les fatiguer ou de les ennuyer, et l'on prend une facilité particulière de s'exprimer qui passe de la conversation dans le style. Quand elles ont du génie, je leur en crois l'empreinte plus originale qu'en nous.
Page 243 - Si l'on rencontre sur son chemin un prince sot, il faut lui prêcher la tolérance afin qu'il donne dans le piège, et que le parti écrasé ait le temps de se relever par la tolérance qu'on lui accorde, et d'écraser son adversaire à son tour. Ainsi le sermon sur la tolérance est un sermon fait aux sots et aux gens dupes, ou à des gens qui n'ont aucun intérêt dans la chose.
Page 254 - C'est une femme qui se promenait dans les rues d'Alexandrie, les pieds nus, la tête échevelée, une torche dans une main, une aiguière dans l'autre, et qui disait : Je veux brûler le ciel avec cette torche, et éteindre l'enfer avec cette eau, afin que l'homme n'aime son Dieu que pour lui-même.
Page 33 - J'ai fait mon droit et j'ai étudié les lois. — Avec le mérite de Grotius, on pourrait ici mourir de faim au coin d'une borne. — Je sais encore une chose que personne n'ignore dans mon pays, la musique; je touche passablement du clavecin, et je crois entendre l'harmonie mieux que. la plupart de ceux qui l'enseignent. — Eh ! que ne le disiez-vous donc? Chez un peuple frivole comme celui-ci, les bonnes études ne mènent à rien ; avec les arts d'agrément on arrive à tout.
Page 377 - Helvétius ; mais la mort n'est autre chose que le regret des vivans ; si nous ne le regrettons pas , il n'est pas mort : tout comme si nous ne l'avions jamais ni connu ni aimé, il ne serait pas né. Tout ce qui existe, existe en nous par rapport à nous.