| Voltaire - 1757 - 416 pages
...pas fon. Hiftoire de l'ame j il n'ya de bon que cette apoftrophe à Eoileau ; . Satyrique flateur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point pafie le Rhin. Notre Plénipotentiaire finit par paraphrafer en quinze - cent vers ces mots attribués... | |
| Voltaire - 1770 - 444 pages
...Cela ne vaut pas fou hiftoire de l'ame , il n'ya de bon que cette apojttrophe à Boileau j Satyrique flatteur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point palTé le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphrafer en quinze cent vers ces mots attribués... | |
| Voltaire - 1773 - 404 pages
...pas fou hijïoire de famej il n'ya de bon que cette apoftrophe à Boileau >• Satyrique flateur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point paflfé le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphrafer en quinze cent vers ces mots atribués... | |
| Voltaire - 1785 - 492 pages
...d'Hochftet. Cela ne vaut pas fon Hijloire de l'ame; il n'ya de bon que cette apoftrophe à Boileau : Satirique flatteur, toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point pafle le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphrafer en quinze cents vers ces mots attribués... | |
| Voltaire - 1785 - 572 pages
...d'Hochftet. Cela ne vaut pas fon Hijloire de fame ; il n'ya de bon que cette apoftrophe à Boileau : Satirique flatteur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point paffé le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphrafer en quinze cents vers ces mots attribués... | |
| Voltaire - 1785 - 572 pages
...d'Hochftet. Cela ne vaut pas fon Hijloire de fame ; il n'ya de bon que cette apoftrophe à Boileau : Satirique flatteur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point palTé le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphrafer en . quinze cents vers ces mots attribués... | |
| Voltaire - 1792 - 490 pages
...Cela ne vaut pas fon Hiftoire de l'ame : il n'ya de bon que cette apoflrophe à Boileau : Satyrique flatteur , toi qui pris tant de peine Pour chanter que Louis n'a point pafle le Rhin. Notre plénipotentiaire finit par paraphraler en quinze cents vers ces mots atttibués... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 pages
...La Salle, Beringhen, Nogent, d'Ambre, Cavois, Fendent les flots tremblants sons un si noble poids. Louis , les animant du feu de son courage , Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage. Par ses soins cependant trente légers vaisseaux D'un tranchant aviron déja coupent les eaux : Cent... | |
| tome premier - 1800 - 354 pages
...Salle, Reringhen, ÎN'cgent, d'Ambre, Cavois, Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage. l'ar ses soins cependant trente légers vaisseaux D'un tranchant aviron déja coupeuHes eanx : Cent... | |
| France écoles normales - 1800 - 538 pages
...Salle, Beringhen, Nogent, d'Ambre, Carois » FENDENT les flots > tremblans sous un si noble poids, •» Louis les animant du feu de son courage , » Se PLAINT de sa grandeur qui 1' ATTACHE au rivage. v Par ses soins cependant trente légers vaisseaux> » D'un tranchant aviron... | |
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