Boileau, Charles PerraultCalmann Lévy, 1891 - 337 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 7
Page 53
... mari d'une si rare espèce ? ... Il esquisse les portraits du mari joueur , du mari avare , du mari prodigue orgueilleux , tous rédui- sant leur femme à l'indigence ; du mari volage , infi- dèle , qui aime partout , excepté chez lui ; du ...
... mari d'une si rare espèce ? ... Il esquisse les portraits du mari joueur , du mari avare , du mari prodigue orgueilleux , tous rédui- sant leur femme à l'indigence ; du mari volage , infi- dèle , qui aime partout , excepté chez lui ; du ...
Page 54
... mari ivrogne , avec des détails ultra - réalistes et naturalistes , et d'autres maris encore ; puis conclut ainsi : Si , dans des vers piquants , Juvénal en furie A fait passer pour fou celui qui se marie , D'un esprit plus sensé ...
... mari ivrogne , avec des détails ultra - réalistes et naturalistes , et d'autres maris encore ; puis conclut ainsi : Si , dans des vers piquants , Juvénal en furie A fait passer pour fou celui qui se marie , D'un esprit plus sensé ...
Page 146
... Mari- nisme les Rime amorose de ce dernier sont de 1602 . Voir Marc - Monnier sur le cultisme et le six - centisme , autre nom par lequel les Italiens désignent encore ce genre d'esprit : secentismo , parce que la maladie , vers l'an ...
... Mari- nisme les Rime amorose de ce dernier sont de 1602 . Voir Marc - Monnier sur le cultisme et le six - centisme , autre nom par lequel les Italiens désignent encore ce genre d'esprit : secentismo , parce que la maladie , vers l'an ...
Page 300
... Mari aux deux Femmes , la belle Guilliadon , ressuscitant , ouvrant les yeux et disant : « Dieu ! que j'ai dormi ! » Tout cela provenant peut - être de plusieurs légendes indiennes , en les- quelles on voit de même « une belle princesse ...
... Mari aux deux Femmes , la belle Guilliadon , ressuscitant , ouvrant les yeux et disant : « Dieu ! que j'ai dormi ! » Tout cela provenant peut - être de plusieurs légendes indiennes , en les- quelles on voit de même « une belle princesse ...
Page 304
... vie et la mort ; sur la tour , la sœur Anne , les yeux à l'horizon . Cette complexité et cette gradation ne sont - elles pas d'un effet à la fois très simple et très vif ? La malheureuse femme a supplié son mari de lui accorder.
... vie et la mort ; sur la tour , la sœur Anne , les yeux à l'horizon . Cette complexité et cette gradation ne sont - elles pas d'un effet à la fois très simple et très vif ? La malheureuse femme a supplié son mari de lui accorder.
Other editions - View all
Common terms and phrases
Anciens Arnauld assez Barbe-Bleue beau beauté Belle au bois Boileau bon sens bottes burlesque c'était Cendrillon chant Chapelain Charles Perrault charmante chat Chat botté choses cœur Contes de Fées Corneille critique d'abord d'Horace Dassoucy Desmarets Despréaux Dieu Dieux dire disait écrit Énée enfants Épître esprit femme fille Fontaine frère Géants genre gens goût héros Homère homme Horace imitée joli l'amour l'Art poétique l'auteur l'Épître l'esprit l'imagination laisse littéraires littérature Louis XIV lui-même Lutrin madame madame de Sévigné mademoiselle mademoiselle de Scudéry Malherbe ment Modernes Molière monde morale noble œuvre parler Parnasse parodie Pascal passer Peau-d'Ane père perruquier personnages Petit Chaperon rouge Petit Poucet Pierre Perrault plaisir PLUTON poème poésie poète premier princesse prose Pucelle qu'un Racine raison Regnier ridicule rime roman Romantisme des Classiques Saint-Amant Saint-Évremond Sainte-Beuve Sapho Satire Scarron Scudéry sent seulement siècle sœur Anne Soleil sorte style sujet talent trouve Typhon Voilà Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 109 - L'ignorance et l'erreur à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses, Venaient pour diffamer son chef-d'œuvre nouveau. Et secouaient la tête à l'endroit le plus beau. Le commandeur voulait la scène plus -exacte; Le vicomte indigné sortait au second acte (5).
Page 245 - ... d'où l'on voit avec combien d'injustice nous respectons l'antiquité dans ses philosophes; car, comme la vieillesse est l'âge le plus distant de l'enfance , qui ne voit que la vieillesse dans cet homme universel ne doit pas être cherchée dans les temps proches de sa naissance, mais dans ceux qui en sont les plus éloignés?
Page 161 - Un auteur quelquefois, trop plein de son objet, Jamais sans l'épuiser n'abandonne un sujet. S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ; II me promène après de terrasse en terrasse; Ici s'offre un perron; là règne un corridor; Là ce balcon s'enferme en un balustre d'or. II compte des plafonds les ronds et les ovales. Ce ne sont que festons, ce ne sont qu'astragales *. Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin.
Page 312 - L'amour pour l'ordinaire est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix: Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 79 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 37 - Gardez-vous, dira l'un, de cet esprit critique. On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.
Page 88 - J'achète à peu de frais de solides plaisirs ; Tantôt, un livre en main, errant dans les prairies, J'occupe ma raison d'utiles rêveries : Tantôt, cherchant la fin d'un vers que je construi, Je trouve au coin d'un bois le mot qui m'avait fui : Quelquefois, aux appas d'un hameçon perfide...
Page 35 - Qu'on vante en lui la foi, l'honneur, la probité ; Qu'on prise sa candeur et sa civilité ; Qu'il soit doux, complaisant, officieux, sincère : On le veut, j'y souscris, et suis" prêt à me taire. Mais que pour un modèle on montre ses écrits; Qu'il soit le mieux renté de tous les beaux esprits; Comme roi des auteurs, qu'on l'élève à l'empire.
Page 206 - On ne vit plus en vers que pointes triviales; Le Parnasse parla le langage des halles : La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint un Tabarin.
Page 171 - Que les vers ne soient pas votre éternel emploi Cultivez vos amis, soyez homme de foi : C'est peu d'être agréable et charmant dans un livre, II faut savoir encore et converser et vivre.