La HenriadePanckoucke, 1772 - 480 pages |
Common terms and phrases
affez affurer ainfi au-lieu auffi bataille d'Ivry Beaumelle beautés Bourbon buftes c'eft c'eſt Camoens caufe Chant chofe Chrétiens Ciel Cieux combats Commentaire Critique d'Aumale defcription defirs deftin Dieu Difcorde difcours dife dire dit-il efprits ennemis Epique eſt expreffion facrés faibleffe faifait fang fans fecond Vol fecours fecret fein femble fens fent ferait fervir fes yeux feul fiècle filence foit fon cœur fon Poème font fous fouvent ftile fublime fuivans fuivant fujet fureur gloire guerre Guife Henri Henri IV Henriade Héros Homère jufte l'Amour l'Ariofte l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Epopée l'Hiftoire l'Iliade laiffe Lecteur Ligue Ligueurs long-tems main malheureux mauvaiſe Mayenne Milton Mornay mort n'eft n'eſt Nation Note paffé parle penfée perfonne Peuple plaifir plaifirs plufieurs Poéfie Poème épique Poéte préfente prefque prétend Prince puiffe raifon refpect refte Religion Rois Rome S.-Louis s'eft ſes ſon Taffe tems tranquile trône Turenne Valois vertu Virgile voit Voltaire
Popular passages
Page 219 - S'élancent loin des rangs, d'une course assurée : Sanglants, couverts de fer, et la lance à la main, D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit, leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues...
Page 446 - Aux yeux de Paris enchanté , Reçois en ce jour un hommage Que confirmera d'âge en âge La sévère postérité. Non , tu n'as pas besoin d'atteindre au noir rivage Pour jouir des honneurs de l'immortalité ; Voltaire, reçois la couronne Que l'on vient de te présenter : 11 est beau de la mériter Quand c'est la France qui la donne!
Page 449 - Si j'ai partagé avec toute l'Europe vos regrets, madame, sur la perte de cet homme incomparable, vous vous êtes mise en droit de participer à la reconnaissance que je dois à ses écrits. Je suis sans doute très-sensible à l'estime et à la confiance que vous me marquez; il m'est bien flatteur de voir qu'elles sont héréditaires dans votre famille.
Page 219 - ... ciel brûlant, deux effroyables nues Qui, portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs, et volent sur les vents : De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent: La foudre en est formée, et les mortels frémissent.
Page 59 - C'était à la faveur des ombres de la nuit. De ce mois malheureux l'inégale courrière Semblait cacher d'effroi sa tremblante lumière: Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable...