Cours de littérature, Volumes 5-6C. Delagrave, 1893 - French literature |
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... laissé la libre dispo- sition d'une petite fortune . 2o Débuts littéraires ( 1654-1668 ) , depuis la traduction de l'Eunuque de Térence jusqu'à la première édition des Fables . Il est protégé d'abord par Fouquet ( Adonis , le Songe de ...
... laissé la libre dispo- sition d'une petite fortune . 2o Débuts littéraires ( 1654-1668 ) , depuis la traduction de l'Eunuque de Térence jusqu'à la première édition des Fables . Il est protégé d'abord par Fouquet ( Adonis , le Songe de ...
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... Laisse tomber des fleurs et ne les répand pas . Comment la Fontaine fut - il amené à écrire la Captivité de saint Malc ( 1673 ) , poème édifiant , dédié au cardinal de Bouil- lon , et qui commence par une pieuse invocation à la Vierge ...
... Laisse tomber des fleurs et ne les répand pas . Comment la Fontaine fut - il amené à écrire la Captivité de saint Malc ( 1673 ) , poème édifiant , dédié au cardinal de Bouil- lon , et qui commence par une pieuse invocation à la Vierge ...
Page 28
... laisse tout seul admirer leurs attraits . Térence est dans mes mains ; je m'instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse . Je le dis aux rochers : on veut d'autres discours . Ne pas louer son siècle est parler à ...
... laisse tout seul admirer leurs attraits . Térence est dans mes mains ; je m'instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse . Je le dis aux rochers : on veut d'autres discours . Ne pas louer son siècle est parler à ...
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... laissé . » Mais l'ignorance de la Fontaine fut celle d'un siècle où l'on parlait beaucoup d'Ésope sans le connaître davantage , où Benserade réduisait en quatrains ses fables , où Lenoble et Boursault les portaient au théâtre 2 , où l ...
... laissé . » Mais l'ignorance de la Fontaine fut celle d'un siècle où l'on parlait beaucoup d'Ésope sans le connaître davantage , où Benserade réduisait en quatrains ses fables , où Lenoble et Boursault les portaient au théâtre 2 , où l ...
Page 6
... laissé pour notre part que la gloire de les bien suivre . » Et pourtant le naturel est le plus fort , et la seconde fable n'est pas moins originale que la première ; elle est bien française , la peinture des misères du bûcheron qu ...
... laissé pour notre part que la gloire de les bien suivre . » Et pourtant le naturel est le plus fort , et la seconde fable n'est pas moins originale que la première ; elle est bien française , la peinture des misères du bûcheron qu ...
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Common terms and phrases
acte aime Alceste amoureux Ariste Arnolphe assez BACCALAUREAT Bélise Boileau bon sens bourgeois Bourgeois gentilhomme BREVET SUPÉRIEUR Bruyère caractère Célimène choses Chrysale Clitandre cœur comédie de Molière comique Corneille Critique d'Alceste d'Harpagon dénouement DEVOIR DE LICENCE dire don Juan Dorante Dorine dramatique écrit Ésope esprit fable fabuliste farce Femmes savantes Fénelon fille Fontaine Fontenay-aux-Roses gaulois gens gentilhomme goût Harpagon Henriette homme honnête imité jeune Jourdain jugement l'Avare l'École des femmes l'École des maris l'esprit l'homme l'Impromptu leçon lière lui-même Lysidas Madelon maître mariage Mascarille Misanthrope Mme Jourdain Molière monde morale Orgon Oronte parler passion pédant peint pensée père personnages Philaminte Philinte philosophie plaire plaisir Plaute poète portrait portraits pourtant Précieuses ridicules préciosité précisément premier prose prude qu'un raison renard rien rire Sainte-Beuve sait satire scène semble sent serait seulement Sganarelle sincère surtout taine Tartuffe Térence théâtre Timon tragédie traits Trissotin trouve Valère valet vérité veut Voltaire vrai XVIIe siècle
Popular passages
Page 65 - Moquons-nous donc de cette chicane où ils veulent assujettir le goût du public, et ne consultons dans une comédie que l'effet qu'elle fait sur nous. Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 13 - Clitandre a l'heur de vous plaire si fort. Sur quel fonds de mérite et de vertu sublime Appuyez-vous en lui l'honneur de votre estime ? Est-ce par l'ongle long qu'il porte au petit doigt Qu'il s'est acquis chez vous l'estime où l'on le voit?
Page 17 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 45 - Usage : c'est la façon de parler de la plus saine partie de la Cour, conformément à la façon d'écrire de la plus saine partie des Auteurs du temps.
Page 21 - Qu'il pouvait doucement laisser couler son âge ! Vous n'avez pas chez vous ce brillant équipage, Cette foule de gens qui s'en vont chaque jour Saluer à longs flots le soleil de la cour : Mais la faveur du ciel vous donne en récompense Du repos, du loisir, de l'ombre et du silence, Un tranquille sommeil, d'innocents entretiens ; Et jamais à la cour on ne trouve ces biens.
Page 1 - Tous les malheurs des hommes, tous les revers funestes dont les histoires sont remplies, les bévues des politiques, et les manquements des grands capitaines, tout cela n'est venu que faute de savoir danser.
Page 32 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout, Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait: De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ah du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 11 - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
Page 35 - Oui, je vois ces défauts, dont votre âme murmure, Comme vices unis à l'humaine nature ; Et mon esprit enfin n'est pas plus offensé De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants, et des loups pleins de rage.
Page 22 - Il ne fallait, pour fournir à ces entretiens, ni bon sens, ni jugement, ni mémoire, ni la moindre capacité; il fallait de l'esprit, non pas du meilleur, mais de celui qui est faux , et où l'imagination a trop de part.